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jeudi 22 mars 2018

Quand Johnny Hallyday s'engageait pour la lutte contre le... cancer


Je tombe, l'autre jour, sur l'information qui suit :


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On y apprend notamment ceci :
Au moment de l'enregistrement de ce message vidéo, Johnny Hallyday était déjà engagé dans un rude combat contre la maladie. Le soutien de sa communauté de fans lui paraissait alors essentiel dans sa noble démarche : "Venez nombreux car tous les bénéfices de cette soirée permettront de financer l'institut Rafael et une future maison du cancer et de l'après-cancer...
Je rassure tout le monde : c'est probablement la dernière fois que j'évoque feu Johnny Hallyday sur ce blog. Il est vrai que j'ai été le tout premier à taper sur l'ex-idole des jeunes fraîchement disparue. Rendez-vous compte ! Alors que de partout montaient les clameurs des fans éplorés, quelqu'un a osé s'en prendre à l'inconséquence d'un quidam pris en flagrant délit de mensonge, disons d'auto-parjure, dans la mesure où notre grand chanteur avait, face caméra, quelque part sur une piste africaine, juré ses grands dieux qu'il allait arrêter de fumer... (Lire). J'observe simplement que, depuis mon "papier", le monde entier a découvert dans quel univers de laisser-aller, de désinvolture et d'incohérences naviguait notre grand rocker. 

Le fait est que, si j'avais été un proche d'Hallyday, je l'aurais convaincu de tenir sa promesse : arrêter de fumer, voire ne pas s'adonner du tout à ce vice. Il se trouve simplement que dans ma famille, personne ne fume. 

Tiens, à ce propos, au sein de notre petite famille, basée quelque part, sur la côte atlantique africaine, il y a quelqu'un qui a eu 99 (quatre-vingt-dix-neuf) ans en février 2017, et qui a passé le cap des cent ans il y a quelques semaines. Par parenthèse, cette personne n'a jamais fumé.

Cent ans, dans un pays où l'espérance de vie des hommes frise les cinquante ans, celle des femmes culminant autour de 60. Autant dire que, dans ce pays, voire dans toute l'Afrique centrale, occidentale, australe, orientale..., les centenaires doivent se compter sur les doigts de la main.

Et je suis en mesure d'affirmer, ici, qu'une telle longévité ne doit rien au hasard. C'est, pour l'essentiel, une question de prophylaxie ! (1)

Cent ans, ça s'arrose, non !?

En ce qui me concerne, une pratique méthodique de la prophylaxie se traduit par zéro rhume sur les quatre dernières années (même pas en hiver !) ; et sur les trente dernières années, j'en suis à zéro bronchite (moi qui ai énormément toussé dans mon enfance), zéro gastro-entérite, zéro constipation, zéro mal de dos, zéro grippe (mais aussi zéro vaccination contre la grippe), zéro migraine (dont j'ai énormément souffert dans mon adolescence), zéro lunettes de vue... Le fait est que, là, maintenant, dans mon "armoire à pharmacie", hormis les préservatifs, le mercurochrome, le dentifrice et du sparadrap, il y a zéro médicament ; pas même une aspirine, substance dont j'ai été un intense consommateur dans mes jeunes années.

Et quand je pense, par exemple, à tous ces jeunes irresponsables, qui continuent de se laisser contaminer par le sida, encore maintenant, malgré les Sidactions, les festivals Solidays et autres campagnes vasouillardes à la télévision, je ne puis m'empêcher de penser : "Ah, les cons !" (Lire)

Mes condoléances aux enfants de Johnny Hallyday !


(1) Première condition pour vivre centenaire, ne pas prendre la mauvaise habitude de se "shooter" aux médicaments voire à quoi que ce soit de chimique. Et comme j'ai la ferme intention de franchir ce cap, disons dans quelques décennies, je m'y prépare activement... C'est ainsi que ma dernière visite dans le cabinet d'un médecin (hors dentisterie) remonte à 1997 et mon dernier passage chez un pharmacien à la mi- juillet 2014 (du sirop pectoral à 2,86 euros le flacon, que j'ai consommé à titre prophylactique après avoir passé trois jours entiers à avaler la poussière soulevée par les chevaux lors d'une compétition de saut d'obstacles). 


Comme on peut le constater, les sabots d'un cheval, ça soulève de la poussière, en fonction du sol et de la météo. Et quand vous avez des centaines de sabots sur un paddock...


Juillet 2014. Elle c'est Louise R... Ce jour-là, je croise le grand acteur français Jean R. en train de déguster une glace en compagnie d'une dame qui devait être son épouse. Bonjour Monsieur R., bonjour Madame ; dites donc, est-ce que Louise R. est une de vos parentes ? Bien sûr, rétorque Jean Rochefort, c'est notre fille !



Petit supplément :




samedi 30 décembre 2017

2017, année bizarre


Je ne le fais pas souvent, mais il m'arrive de jeter un oeil ou deux, de temps en temps, sur les statistiques de visites de ce blog, et voilà que, tout récemment, il semble qu'une petite  vague (en japonais 'nami') de visites nous vienne tant de Russie (ce qui n'est pas nouveau), mais également d'Italie, et je ne peux que féliciter tout ce monde, surtout quand on sait de quel poids Russes et Italiens pèsent sur la culture mondiale ; dois-je citer le Bolchoï, le Marinsky, cette incroyable Bayadère mise en scène par Noureev et qui restera longtemps encore inégalée, L'Ermitage, le Colisée, la Scala, la Fenice..., sans oublier les petits plaisirs de la vie que sont les pâtes, les glaces, le capuccino et autres cafés ristretto, voluto, etc. ?

Il se trouve que l'on se dirige vers la fin d'une année bien étrange, avec des événements que l'on n'a pas toujours envie de commenter. Le fait est que je n'ai toujours pas trouvé le temps de commenter la victoire de Trump, sinon de façon fugace, de même qu'Emmanuel Macron ne m'inspire pas grand chose pour le moment ; et que dire de Kim Jon-Un, sinon que, pour ma part, après avoir vu comment la machine impérialiste américaine a mis par terre le régime de Mossadegh en Iran, s'est associée avec la Mafia pour tenter de maintenir Cuba dans un état de république bananière, déversé des tombereaux de napalm sur les villages nord-coréens, avant de s'en aller répéter l'opération au Vietnam, financé moult barbouzes pour organiser des coups d'Etat ici et là, notamment au Chili..., je sais ce que ce régime militaro-industriello-maffieux basé à Wall-Street est capable d'inventer pour gruger des opinions publiques un peu trop naïves.

Le fait est que, d'un point de vue strictement juridique - je parle du droit international -, la Corée du Nord n'a commis qu'un impair, à savoir le survol par un de ses engins balistiques de l'espace aérien japonais. Sur tous les autres points actuellement en litige, Kim Jong-Un n'a violé aucun traité international, dès lors que son pays n'est engagé par aucune clause de non prolifération nucléaire ou balistique.

Prétendre le contraire revient à violer le sacro-saint principe de la souveraineté des Etats, pierre angulaire de tout le droit international.

Ça, ce sont les faits, et rien que les faits, toutes choses que la presse "meanstream" se garde bien d'examiner en détail, en donnant la parole, par exemple, à des professeurs de droit international !

Mais au risque de surprendre certains lecteurs, j'ai décidé de clore cette année 2017 par l'évocation d'un événement survenu il y a peu, à savoir la disparition de l'Elvis Presley français, j'ai nommé le chanteur Johnny Hallyday, dont l'état de santé, en ce début de décembre 2017, est devenu particulièrement alarmant.


Pourquoi ne pas le dire ? Ce fut assez impressionnant, pas mal larmoyant, avec l'inévitable litanie des hommages en tous genres.

Pour tout vous dire, je ne tenais pas à regarder les images à la télévision, et puis, je m'y suis résolu, en commençant par couper le son.

Et puis j'ai remis le son, surtout pour apprécier la performance des musiciens, certainement la plus belle réussite de ces obsèques à la Madeleine.

Et là, je vous avoue avoir eu la gorge nouée, et aussi avoir ressenti comme une forte poussée de colère, en apercevant, derrière le corbillard, les deux petites silhouettes de ces gamines qu'Hallyday et son épouse étaient allés chercher dans un orphelinat au Vietnam.

La raison de ma colère ? 

On les sort d'un orphelinat vietnamien pour les rendre de nouveau à moitié orphelines à peine dix ans plus tard ! Et il y a des gens qui trouvent ça formidable ? Et Macron qui vient sur le parvis de La Madeleine pour nous bassiner à coups de formules vagues et creuses !

Il me semble qu'Emmanuel Macron aurait pu introduire ou conclure son discours par cette formule simple : "Le tabac nuit gravement à la santé !".

Il se trouve simplement que Johnny Hallyday était un gros fumeur, mais qu'il aurait très bien pu s'épargner cette fin pathétique : tout le monde sait qu'un traitement contre le cancer, ça vous transforme en loque, en débris humain ! Y a-t-il un seul chanteur sur terre qui ignore que poumons et  cordes vocales sont les gagne-pain de tout artiste de scène ?


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Par parenthèse, l'évolution physique de notre grand chanteur, du teint frais et juvénile de ses débuts, à la peau nécrosée de centenaire qu'il affichait vers la fin, constitue la plus impressionnante pédagogie - efficace ?, c'est une autre affaire ! -  contre le tabagisme et les addictions en tous genres. 

Alors, bien évidemment, ce pauvre Emmanuel Macron ne devait pas s'en souvenir, ou alors, il dispose de mauvaises archives, mais moi, j'ai un peu plus de mémoire et me souviens fort bien d'un Johnny Hallyday participant au rallye Paris-Dakar, et promettant, croix de bois, croix de fer que "si on arrive au bout, j'arrête la cigarette.". Nous étions en 2002...

Cette promesse a été faite, en direct, devant les caméras de la télévision publique française (l'émission devait s'appeler Le Bivouac et revenait, tard le soir, sur l'étape du jour du Dakar), où l'on voyait notre idole des jeunes jurer ses grands dieux qu'il allait arrêter la cigarette !

Alors, tant pis pour Emmanuel Macron et son mauvais discours, lequel n'était ni pire ni meilleur que la série de mauvais discours que l'on a pu entendre lors de cette cérémonie, à commencer par celui de Philippe Labro.

Il reste que si notre "grand homme" avait eu le sens des responsabilités, au moment de s'envoler pour le Vietnam pour y récupérer deux petites orphelines qui n'avaient rien demandé à personne, il aurait eu la sagesse de rompre définitivement avec ces addictions qui l'ont prématurément ravagé... Pensez-donc : ces gamines n'auront quasiment connu leur père adoptif que sur un fauteuil roulant ou sur un lit d'hôpital !