samedi 30 avril 2011

Madame la présidente...

The following is a letter to the president of the French Employers' Union (MEDEF), announcing her the coming ruin of the image of France and Western countries in Africa, following the events in Ivory Coast and the international aggression against Africa in Libya. One consequence of these events will surely be the collapse in sales of French and Western products in Africa, because Africans are no longer willing to let their continent be the playground of some pathological conquistators!


Das Folgende ist ein Schreiben an die Präsidentin des Französischen Arbeitgeberverbandes (MEDEF), in dem ich ihr den kommenden Untergang des Ansehens von Frankreich und den westlichen Ländern in Afrika ankündige nach den letzten Ereignissen in der Elfenbeinküste und der internationalen Aggression gegen Afrika in Libyen. Die Folge dieser Ereignisse wird sicherlich der Zusammenbruch der Exporte von französischen und westlichen Produkten nach Afrika, und zwar aus einem einfachen Grund, nämlich weil die Afrikaner nicht weiter dulden können, daß manche Beobachter in unserem Kontinenten nichts anderes als den Spielplatz einiger pathologischer Conquistators sehen!


Ceci est un courrier adressé à la présidente du Médef (Mouvement des Entreprises de France), à propos de la Côte d'Ivoire, de la Libye et de l'Afrique en général.

Madame,

J'ai là des coupures de presse datant de 2004-2005. La Côte d'Ivoire était déjà en effervescence et les Français de là-bas au bord de la rupture, avec de véritables scènes de chasse à l'homme blanc et à la femme blanche.

ivory coast
Ci-dessous, c'est une fameuse librairie française d'Abidjan qui flambe.




Je me souviens avoir été en contact téléphonique, à l'époque,  avec une personnalité "franco-africaine" fort connue. Et ça a donné quelque chose comme ça :

- Vous êtes au courant de ce qui se passe en Côte d'Ivoire ?

- Oui, mais encore ?

- De la chasse aux Blancs !

- Je n'en sais rien ; c'est ce qu'on dit.

- Oui, mais quand même ! Des gens ont dû quitter leur maison précipitamment et on voit bien qu'il y a un problème !

- Oui, mais les problèmes sont pour tout le monde, et pas seulement pour les "blancs", comme vous dites.

- En attendant, je m'étonne quand même qu'il y ait des attaques ciblées "contre les Blancs", et que les Africains de France, par exemple, ne se mobilisent pas !

- Parce que vous croyez que nous allons y changer quelque chose ?

- Ah, quand même ! Déclarer solennellement que l'Afrique est une terre d'accueil et d'hospitalité et que nous, Africains, ne saurions tolérer des actes racistes visant les Blancs chez nous ! On ne peut quand même pas rester là à regarder la télévision sans rien faire !

Etc.

Bref, je n'ai rien pu tirer de cette personne, dont je rappelle qu'elle est très connue des Français, dont elle possède la nationalité. Le fait est qu'aucune star africaine ou franco-africaine vivant en France ou en Europe n'a émis la moindre protestation contre les pogroms anti-blancs qui se sont déclenchés en Côte d'Ivoire lors des événements des années 2004-2005. Je comprendrai, plus tard, les raisons de cette attitude de repli, notamment la conviction des Ivoiriens d'interventions réitérées de l'armée française dans des faits de violence contre les populations locales, avec des morts à la clé.

D'où l'émergence d'un fort sentiment anti-français, y compris chez des Africains de Paris, dont un grand nombre ont la nationalité française !

J'évoquais plus haut les événements de 2004-2005, mais de l'avis général, les problèmes commencent bien plus tôt, avec, notamment, ce soulèvement venu du nord de la Côte d'Ivoire et que les troupes françaises auraient aidé à se structurer en imposant une partition de fait du pays, pour couronner le tout avec la pantalonnade de Marcoussis, avec un Laurent Gbagbo obligé d'accepter les rebelles au sein de son gouvernement.

C'est visiblement cela et pas mal d'autres choses encore qui pourraient expliquer cette véritable explosion d'un sentiment anti-français au sein d'une bonne partie de l'intelligentsia africaine, souvent très mal vue en Afrique même, où ses membres sont généralement qualifiés de "nègres blanchis". C'est dire l'importance du divorce entre ces élites et leur ancien mentor. 


La conséquence de tout ça ?

ivory coast

Il paraît que les manigances relevant de la Françafrique sont censées protéger les intérêts économiques néocoloniaux de la France en Afrique. Et pourtant, n'importe quel voyageur peut se rendre compte de la pénétration chinoise un peu partout dans ce continent, alors même que les Chinois n'ont jamais colonisé l'Afrique.

Autant dire que la Françafrique est un fiasco total, puisqu'elle n'a jamais été en mesure de protéger son pré carré colonial, comme elle était censée le faire, au besoin, moyennant des coups d'État et l'installation de marionnettes au pouvoir, ici ou là (pensez au couronnement de Bokassa et à tout ce qu'il a pu rapporter aux entreprises françaises !). Du coup, on en vient à se demander : "tout ça pour ça ?"

Le fait est que les premières victimes de la débâcle de la Françafrique, ce sont vos alter ego, les chefs d'entreprises.





Et le moins qu'on puisse dire est que ce n'est pas la dernière crise ivoirienne qui va arranger l'image de la France auprès des Africains, avec les conséquences qu'on imagine.


Il paraît que vous êtes une férue de sondages ; ça vous fait deux casquettes, avec celle de présidente du Médef.

Je vous invite, donc, à aller prendre le pouls (sondagier) de l'image de la France auprès de la jeunesse africaine, en Afrique même et en France. Vous devriez pouvoir constater l'effondrement de l'image de votre pays auprès des forces vives africaines, y compris parmi les assimilés vivant et bien installés en France.

Et le moins qu'on puisse dire est que la dernière décennie risque de marquer un tournant en matière de désaffection, et tout particulièrement la période qui a vu un personnage particulièrement calamiteux s'installer à l'Elysée en 2007.

"L'Homme africain n'est pas suffisamment entré dans l'Histoire... L'Afrique n'a qu'un poids dérisoire dans l'économie mondiale..."

Paroles particulièrement stupides, venant du dirigeant d'un pays dont les rares exploits économiques, en termes de balance des paiements, sont réalisés en Afrique, l'une des rares régions du monde où la France réalise un excédent commercial.

C'est tout dire ! Je veux dire qu'en 2007, vous avez été 53 % à miser sur le mauvais cheval !

Parce que, du coup, les Africains ont décidé de le prendre au mot : où que l'on aille désormais, en Afrique, l'influence française s'étiole comme peau de chagrin.

Quand j'étais gamin, on ne voyait dans les rues de nos villes que trois ou quatre marques de véhicules : Peugeot, avec les fameuses 403 et 404, Citroën et la 2 CV, Renault et la 4L, ainsi que quelques modèles de British Leyland, notamment la fameuse LandRover, qui se taillait la part du lion parmi les véhicules tous terrains.

Et puis l'on a vu arriver les premières Toyota, puis Honda, Mitsubishi, et tutti quanti. Il faut dire que le rallye Paris-Dakar était passé par-là, qui a puissamment contribué à asseoir le leadership des marques japonaises en Afrique.

Depuis, la peau de chagrin de l'influence française en Afrique ne cesse de rétrécir ; partout, ce ne sont donc que marques  japonaises auxquelles les rares européennes à pouvoir résister sont les Allemandes (Daimler). Puis on a vu arriver les émigrés libanais, tous versés dans les affaires, et qui se sont intégrés en un temps record. Puis ce furent les Chinois, que l'on voit, un peu partout, diriger les grands chantiers de construction, même dans des pays comme le Cameroun et  le Gabon, qui étaient pourtant censés se situer au coeur même de la chasse gardée française, et le fait que Bolloré et Bouygues contrôlent encore tel ou tel secteur d'activité, ici ou là, n'y changera rien : l'élection présidentielle de 2007 aura été le déclencheur de ce qui restera comme une bérézina française en Afrique !

Cerise sur le gâteau : cette immonde agression contre la Libye, sous couvert de résolution onusienne, le tout pour des motifs fallacieux.

Le plus étonnant est de voir ce pays, la France, qui se targue d'avoir résisté à l'occupant nazi (ce qui est en grande partie faux !) se coucher complètement - je pense notamment au Parti socialiste. - en se laissant embarquer dans les délires de gens qui ont visiblement perdu la boussole.

Il y a là ce dernier attentat à Marrakech, alors que des otages français croupissent quelque part dans le désert, à la merci d'Al Qaeda Maghreb islamique, le tout après le meurtre d'un autre otage quelque part au Mali. Je n'oublie pas non plus ces quatre ressortissants français disparus du côté de la Casamance, sans qu'on n'ait jamais su ce qui a bien pu leur arriver. Tout récemment, au cinéma, on commémorait la fin tragique de moines français basés en Algérie.

J'observe, en passant, qu'il n'y a aucun otage allemand, suédois, autrichien, suisse, finlandais... actuellement détenu en Afrique. Le fait est que, ces dernières années, c'est la France et ses ressortissants qui ont connu le plus gros lot de malheurs en Afrique. 

Ou bien c'est la faute à pas de chance, ou bien c'est la faute à l'incompétence !

Il se trouve que nous sommes un certain nombre à ne pas être disposés à voir tels ou tels guignols venir dicter aux Africains ce qu'ils ont à faire ou à ne pas faire. Ces guignols croyaient peut-être pouvoir nous refaire, en Libye, le coup réalisé en Irak avec Saddam Hussein. 

Mauvais calcul ! 

Kadhafi n'est pas Saddam Hussein, et la Libye n'est pas l'Irak. Quant à la spéculation selon laquelle les Africains ne seraient jamais solidaires entre eux, surtout pas des nègres avec des "Arabes", elle va faire chou blanc. Parce que ces guignols avaient tout simplement oublié que le sud de la Libye était abondamment peuplé de noirs, et que la "révolution" de Benghazi avait commencé par des pogroms anti-noirs.

Et voilà comment le(s) guignol(s) que vous avez eu le malheur de soutenir va (vont) perdre cette guerre.

L'Afrique, c'est un milliard d'habitants, peut-être un peu plus, ou un peu moins. En tout cas, ça fait pas mal de monde. Ceux qui ont de la mémoire ou simplement un peu d'instruction savent comment le Mahatma Gandhi est venu à bout de l'occupant britannique, notamment sur le plan économique,  en invitant ses concitoyens indiens à ne plus s'habiller qu'avec du coton local, ce qui eut pour conséquence de précipiter la débâcle de l'industrie textile britannique.


L'agression contre la Libye est d'abord et surtout une tentative de mise au pas d'un pays capable de servir de moteur de développement pour tout un continent, le tout sans se prosterner devant la GRANDE BANQUE internationale. Kadhafi a mis de l'eau dans le désert, quand d'autres en sont encore à parcourir des kilomètres jusqu'au marigot le plus proche. Kadhafi a permis à l'Afrique de se doter de son premier satellite de télécommunications et fourmille d'idées pour le développement du continent. Kadhafi porte l'Afrique sur son coeur, ce qui ne relève nullement de la frime. 


libya


C'est pour en finir avec les velléités d'indépendance de ce dirigeant que cette agression a été organisée contre la Libye, sous le couvert du "syndicat" du crime basé à l'ONU.


Cette agression en Libye va finir en fiasco pour vous et vos amis. Mais ça, c'est votre problème !



P.S. 

1. Autre suggestion de sondage : allez donc sonder les jeunes Africains comme les moins jeunes, en leur demandant  de vous citer les trois plus prestigieuses personnalités politiques africaines d'aujourd'hui. Et je suis prêt à parier tout ce que vous voudrez que les deux premiers nommés seront, dans l'ordre ou dans le désordre : Mandela et Kadhafi


2. À nos amis en France, en Europe, en Amérique et ailleurs : nous sommes quelques-uns à être assez intelligents pour ne pas faire l'amalgame entre, par exemple, le peuple des Etats-Unis et des dirigeants américains peu inspirés, ou entre le peuple français et de mauvais dirigeants français, etc. La preuve est qu'aux Etats-Unis même, ou en France, il y a des citoyens de ces pays qui combattent vigoureusement la politique de leur gouvernement. Que les choses soient donc claires : notre combat est dirigé contre les projets criminels d'un certain nombre de gouvernements occidentaux, sous l'égide de ces "syndicats" que sont l'ONU et l'OTAN. Pour autant,  notre sympathie pour les peuples reste intacte !

vendredi 29 avril 2011

From Guantánamo to Benghazi: Obama's fuzzy policy

Avertissement : pour l'essentiel, ce document ne contient que des passages en anglais. Et soit dit entre nous, ce n'est pas de la mauvaise volonté mais je n'ai franchement pas trop de temps en ce moment, donc, j'invite les francophones et les non-anglophones à faire usage d'un traducteur en ligne. Ce n'est pas parfait, mais ça aide [on sélectionne quelques paragraphes à la souris, puis l'on copie (touches 'ctrl' puis 'C'), on colle ('ctrl' - V) et la traduction se fait toute seule, ou presque.]


Barack Obama, Anno dazumal! 


This German phrase should mean: B.O., long, very long ago!, or: B.O...., how time flies!

Remember: not so long ago...

obama


obama
obama
obama
obama
obama



À propos, can "the divine surprise" lose the coming election? 

Yes, he can! 

The reason?

For having disappointed his most ardent supporters!

Do you think that Black America, Latin America, Poor America, Middle Class America..., and especially the American Youth will trust him again?

Remember Guantánamo!


Council on foreign relations

The Candidates on Military Tribunals and Guantánamo Bay

The Democratic candidates have called for Guantanamo’s closure, saying the camp violates civil liberties and the Geneva Conventions. The Republican candidates have, with a few exceptions, reasserted their support for the activities at Guantanamo as legitimate for the country’s counterterrorism struggle. The 2006 Military Commissions Act divided the presidential contenders down party lines. That legislation, which passed, allows prosecution of Guantánamo prisoners in a military court, and abolishes habeas corpus for “enemy combatants.” The Democratic candidates in Congress voted across the board against the act, while nearly all of the Republican candidates serving in Congress voted to pass it. Meanwhile, the Bush administration has been steadily reducing the number of detainees and has been seeking to return dozens of cleared prisoners to their countries of origin. It has also considered closing Guantanamo and moving the prisoners to other detention centers.



Announcing the closure of the controversial detention facility would be among the most potent signals the incoming administration could send of its sharp break with the Bush era, according to the advisers, who spoke on the condition of anonymity because they are not authorized to speak for the president-elect. They believe the move would create a global wave of diplomatic and popular goodwill that could accelerate the transfer of some detainees to other countries. But the advisers, as well as outside national security and legal experts, said the new administration will face a thicket of legal, diplomatic, political and logistical challenges to closing the prison and prosecuting the most serious offenders in the United States - an effort that could take many months or longer. Among the thorniest issues will be how to build effective cases without using evidence obtained by torture, an issue that attorneys for the detainees will almost certainly seek to exploit.
(...)
Although as a candidate Obama publicly expressed his desire to close the detention facility, his transition team stressed this week that the president-elect has not assembled his national security and legal team and that no decisions have been made "about where and how to try the detainees," Denis McDonough, an Obama foreign policy adviser, said in a statement issued Monday.
(...)
The incoming administration will also have to prepare military or federal prisons where it plans to hold those it intends to prosecute and must assuage state and local concerns about housing the detainees. The Obama administration is also likely to use its diplomatic leverage to seek guarantees that some transferred detainees will be closely monitored, commitments that the Bush administration has found wanting in the case of countries such as Yemen. Approximately 100 Yemeni prisoners remain at Guantanamo Bay. Human rights advocates and some advisers expect the new administration to outlaw torture and enhanced interrogation techniques, detain people seized on the battlefield in Iraq and Afghanistan under the traditional laws of war, and insist on criminal prosecution against terrorism suspects seized elsewhere.







Le président américain revient sur ses engagements et autorise la reprise des procès. Il n’y avait pas de meilleur critique du système de Guantánamo que Barack Obama. "Notre système judiciaire ne peut pas être basé sur la décision d’un seul homme", disait-il il y a quelques mois, en promettant notamment de mettre fin à la détention sans jugement mise en place par George Bush. Or, le président démocrate n’est pas seulement revenu sur son engagement de fermer la base militaire. Lundi soir, il annonçait la reprise des procès militaires d’exception, interrompus depuis deux ans. Le triomphe du "pragmatisme". Barack Obama reste déterminé à fermer Guantanamo. Il reste convaincu que la justice ordinaire des Etats-Unis est "un élément clé» pour juger les terroristes «de manière cohérente avec notre sécurité et nos valeurs". Il n’en reste pas moins que, en renouant avec le principe des commissions militaires pour des dizaines de détenus et en relançant la procédure de détention sans jugement pour une quarantaine d’autres, le président américain finit de faire une croix sur l’essentiel de ses engagements à propos de Guantánamo.




Guantánamo: Obama's final climb down

U.S. President goes back on his commitments and allows the resumption of trials.
(...)
There was no better criticism of the Guantánamo's system than Barack Obama. "Our judicial system cannot be based on the decision of one man," he said a few months ago, promising in particular to end the detentions without trials set up by George Bush. But the Democratic president not only went back on his promise to close the military base. Monday night, he announced the resumption of emergency military trials, that had been suspended for two years. The triumph of "pragmatism". Barack Obama remains committed to closing Guantanamo. He remains convinced that the ordinary courts of the United States are a "key element" to judge terrorists "consistently with our security and our values.".
(...)
Nevertheless, reestablishing the principle of military commissions for dozens of inmates, and restarting the procedure for detention without any trial for about forty others, the U.S. president finally gave up his main commitments about Guantánamo.



And now Benghazi!

McCain wants Obama to recognize Libyan rebel council






Senator Mc Cain


"We discussed the question of U.S. recognition and the question of U.S. help to the alliance in protecting civilians who are subjected to a true humanitarian tragedy," Jalil told the Qatar-based Al Jazeera television, monitored in Cairo. McCain, the top Republican on the U.S. Senate Armed Services Committee, also said he was worried the battle between Gaddafi's troops and rebel forces was reaching a stalemate that could "open the door to radical Islamic fundamentalism." He said NATO should intensify its air campaign, particularly in the besieged city of Misrata, the largest rebel bastion in western Libya. "It is still incredibly puzzling to me that the two most accurate close air support weapons systems, the A-10 and the AC-130, have been taken out of the fight," he said.


Hey, let me ask a question, er...; no, two, er..., no, three questions :

1. "John Mac Cain wants Obama to recognize Libyan rebel council...", including Al Qaeda members actually present in Eastern Libya, according to Wikileaks?

2. State Secr. Hillary Clinton should have apparently disappeared from the surface of the Earth. Can anybody tell us where is Ms Clinton presently? I wonder why it is Senator Mac Cain who visited the new friends of Barack Obama in Eastern Libya, instead of Ms Clinton! 

3. Is it true that the American Republicans are presently urging Obama's government to budget cuts in Washington, according to this?...



But this time Republicans are holding us all hostage to their demands, saying, “We’ll shut down the government if you don’t agree to big, big changes” that are made outside of the normal budget process. They want dramatic cuts in the things We, the People (government) do for each other, such as investment in infrastructure, unemployment benefits, research, disease control, transportation programs, etc. They are even cutting the Social Security Administration -- the people who get you on the list when you are 65 and send out the checks! They are demanding that no compromises be made, they want the government gutted or shutted.


... And this:... 

"How can Democrats have an honest discussion and work toward a compromise when the other side is not so secretly hoping for a government shutdown because of their uncompromising, extremist views. Democrats widely support working toward a compromise while Republicans are strongly opposed to any kind of deal that doesn't allow them everything they want. They are like the kid on the playground who threatens to take the football home if he doesn't get to play the position he wants."




How funny are some comments on the Internet!

libya






À propos : sharing water with neighbours...




Source : Webistan

jeudi 28 avril 2011

Criminal association. Association de criminels



... to protect civilians... (U.N. Resolution 1973)

Of course, the bombing of Gaddafi's office occurred in accordance with Resolution 1973! 

The most remarquable thing in this sort of issue is to see how cynical brains might behave when they got the feeling that they were granted immunity for prosecution. 

And it is precisely this type of behavior that distinguishes great criminals as the syndicate which has currently the leading part in the U.N., from simple thugs, then  the ordinary thug would always try to take a look once left, once right, and once behind him, as to ensure that no one is  monitoring him. To the contrary of great criminals, who do  not  care at all whether people are looking at them or not,  since they can put their boots on the law, or even spit on it!

That is presently what we have got in Africa's Libya.

obama

... pour assurer la protection des populations civiles (Résolution 1973).


Il faut croire que le bombardement des bureaux de Kadhafi relevait de la résolution 1973 !


La chose la plus remarquable, dans ce genre de situation, c'est de voir comment le cerveau de certains individus cyniques peut se comporter face au sentiment d'impunité. Et c'est précisément ce genre de comportement qui distingue les grands criminels, comme ceux qui composent le syndicat régnant actuellement à l'ONU, des simples voyous, dès lors que le voyou ordinaire sera toujours tenté de jeter un œil, une fois sur sa gauche, une fois sur sa droite, et une fois dans son dos, comme pour s'assurer que personne ne le surveille. Au contraire des grands criminels, qui ne se soucient pas le moins du monde si les gens les regardent, car eux peuvent poser leurs bottes sur la loi, voire cracher dessus !

Et c'est précisément ce qui est en cours actuellement, dans cette terre d'Afrique qu'est la Libye.


libya

And what a feeling of absolute triumph for some great criminals, when they realize that they have got the total support of the intelligentsia, the very one which is railing, day and night, night and day, against the abuses of human rights and freedom!

Et quel sentiment de triomphe absolu pour le grand criminel, que de se voir soutenu par une intelligentsia, celle-là même qui vitupère à longeur de journée contre les atteintes aux droits et aux libertés !

Here we have got Le Monde, the prestigious (and still shrinking) daily paper of the French intelligentsia. One of their chroniclers is the so called Plantu, a famous cartoonist, who is not my favourite cartoonist, I must confess ("... I can't find the "Human Rights" file.).

Some people were killed by that bombing sponsored by the  NATO-UN syndicate; many others got injured. Of course, according to our great cartoonist, all of them must have been guilty to be there at that time or to have belonged to the relatives or collaborators of Gadhafi. Shame on them! 

Now I understand why that paper always loses readers - as most of the French press - and why I buy it perhaps once or twice a year. 


... since they can put their boots on the (international) law, or even spit on it!

Voici Le Monde,  prestigieux quotidien (qui se réduit comme peau de chagrin) de l'intelligentsia française. Un de leurs chroniqueurs est le fameux dessinateur Plantu, dont j'avoue qu'il n'est pas mon dessinateur préféré.   

Certaines personnes ont été tuées lors de ce bombardement parrainé par le "syndicat" OTAN-ONU ; de nombreuses autres ont été blessées. Bien évidemment, à en croire Plantu, ils étaient tous coupables de s'être trouvés là, à ce moment-là, ou pour avoir appartenu à  la famille ou avoir été des collaborateurs de Kadhafi. Honte à eux !  

Je comprends maintenant pourquoi ce journal perd chaque jour un peu plus de lecteurs - à l'instar de l'ensemble de la presse quotidienne française d'ailleurs - et pourquoi, pour ma part, je ne l'achète plus qu'une ou deux fois dans l'année.


De la propagande et rien d'autre !


... car ils pensent qu'ils peuvent poser leurs bottes sur la loi (internationale), voire cracher dessus !



Fort heureusement, et à la surprise générale, l'Union Africaine ne s'est pas couchée, abstraction faite de trois pays prostitués - le Gabon, le Nigeria et l'Afrique du Sud - qui ont commis l'infâmie d'apporter leurs voix au syndicat onusien, lequel, sans ces trois voix-là, aurait fait chou blanc !

Mais bon, il faut croire que les dirigeants africains, dans leur grande majorité, ont compris, en tout cas, commencent à comprendre, qu'un continent peuplé à 60 % de jeunes de moins de vingt ans ne peut pas être asservi indéfiniment, et que l'agression qui vise la Libye concerne tous les Africains.

Le fait est que les Harkis de Benghazi ont commencé leur "révolution", sponsorisée par le 'syndicat' onusien, par des massacres de nègres dans l'Est du pays, ce qui fait qu'aucun gouvernement d'Afrique noire - nous reparlerons de la prostituée gambienne plus tard ! - ne prendra le risque de reconnaître les Harkis de Benghazi, lesquels y regarderont à deux fois avant de s'installer dans la moindre ambassade en territoire africain !

En attendant, face à l'agression coloniale, les Africains savent ce qu'il leur reste à faire, sachant que nous ne sommes pas loin derrière la Chine et l'Inde, soit autour du milliard d'habitants. Imaginez maintenant que chaque représentant de ce milliard d'Africains prenne une petite résolution, à savoir faire ce que le Mahatma Gandhi avait préconisé pour son pays, en encourageant les Indiens à porter du coton "made in India" plutôt que "made in Britain" (ce qui avait conduit à l'effondrement de l'industrie textile britannique !).

La chose va consister à identifier, d'une part, les ennemis de l'Afrique : ceux qui la bombardent actuellement et ourdissent des plans pour en assurer le contrôle, et, d'autre part, les vrais amis du continent africain, dont nous n'avons à redouter aucun bombardement ni aucune ingérence dans nos affaires.


Concrètement, l'Afrique fait actuellement face à une agression internationale pilotée, voire soutenue par les pays suivants :

Organisation (militaire) du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN)

Albanie, Belgique, Bulgarie, Canada, Croatie, République Tchèque, Danemark, Estonie, France, Allemagne, Grèce, Hongrie, Islande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Espagne, Turquie, Royaume Uni, Etats-Unis.

À ces agresseurs organisés autour de l'OTAN, il faut ajouter un certain nombre de comparses ou de supplétifs extérieurs, comme l'émirat du Qatar.

Et face à ces agresseurs, il nous sera facile d'identifier des pays dont nous n'avons strictement rien à craindre, qu'il s'agisse de pays résolument non alignés, comme la Suisse ou la Suède, ou de pays au passé délibérément pacifique, comme la Finlande, sans oublier tous les pays à forte diaspora africaine d'Amérique centrale et du Sud, ainsi que d'Asie, avec   à leur tête, de mon point de vue, l'Inde, ce continent qui ressemble tellement au nôtre, avec ce fort soubassement religieux fondé sur l'animisme, et que l'on ne retrouve aussi puissament ancré ailleurs, qu'en Afrique.

Vous avez compris ? Je suis à la recherche d'un ordinateur portable. Ce ne sera certainement pas un Dell ; plus probablement un modèle Acer (Taiwan), ou un Toshiba (Japon)... Un téléphone portable ou une tablette numérique ? Pourquoi n'essaieriez-vous pas un modèle coréen (Samsung), ou finlandais (Nokia), ou encore suédois (Ericsson) ? Une voiture ? Un téléviseur ? Un clavier électronique ? Un caméscope ? Des chaussures de basket ? Des tennis ? De l'habillement ?

De la Libye à l'Afrique du Sud, des Îles du Cap-Vert à Madagascar, et de Sao Tome et Principe aux Seychelles, en passant par les Comorres, si les Africains décidaient, demain..., que dis-je ! aujourd'hui !, de se montrer un peu plus solidaires les uns des autres, surtout face à une agression coloniale, alors cela devrait finir par se savoir.

Les Africains veulent être respectés par le reste du monde ? Mais qu'est-ce qu'on attend ?


Fortunately, and surprisingly, the African Union seemed to refuse to sleep around, apart from three prostitutes - Gabon, Nigeria and South Africa - which committed the infamy to back  the war against an African brother because without these three African voters the criminal resolution would have failed!

Anyway, apparently most of our African leaders seem to have understood that times were changing and that a continent that is populated to 60% by young people under their twenties cannot be indefinitely ruled by colonial powers, and that the aggression against Libya addresses the whole continent.



libya

The fact is that the Harkis of Benghazi started their UN-sponsored "revolution" slaughtering  blacks and dark skinned people in Eastern Libya, so that no African government  - we'll talk later about the Gambian prostitute! – would ever take the risk to recognize those criminals, as we can be sure that no Benghazi's Harki would dare to come to Africa as an ambassador!

Meanwhile, given the colonial aggression, all Africans do know what they have to do now, considering the fact that our population is not far behind China's and India's: around one billion people or even more. Now imagine that each African would take a little resolution, i.e. compared to what Mahatma Gandhi did as India struggled for independence, when he called for his country by encouraging the Indians to wear cotton "Made in India" instead of "made in Britain" (which led to the collapse of the British textile industry!).

First: we have to identify the enemies and the real friends of Africa. To the first group belong  those countries who are currently bombing our country, weaving lots of plans to capture our natural resources with the help of some Harkis, as usual! To the second group belong our true friends, from whom we have to fear neither bombing nor interference in our domestic affairs.

The fact is that Africa is facing an assault that is internationally led or supported by the following countries:

Albania, Belgium, Bulgaria, Canada, Croatia, Czech Republic, Denmark, Estonia, France, Germany, Greece, Hungary, Iceland, Italia, Latvia, Lithuania, Luxembourg, Netherlands, Norway, Poland, Portugal, Romania, Slovakia, Slovenia, Spain, Turkey, United Kingdom, United States.

In addition to these aggressors we have some external surrogates as the emirate of Qatar.

And faced with these perpetrators, it will be easy for us to identify countries from which we have nothing to fear, being resolutely non-aligned or deliberately peaceful, like Switzerland, Sweden, Finland or Austria, not to mention all the countries with large African diaspora in Central and South America, but also our coming big partners in Asia, at the first place of which I would place India, that continental state, so similar to us with its strong foundations based on religious animism, something that cannot be found anywhere, but in Africa.

Suppose that I were looking for a laptop. It would never be by Dell nor by Apple, most likely by Lenovo (China), or Toshiba (Japan)... A mobile phone or a digital tablet? Why do not you try a model from South Korea (Samsung) or Finland (Nokia), or Sweden (Ericsson)? A car? A TV-set? An electronic keyboard? A camcorder? Shoes? Clothing? Is there any item that couldn't be found whether in Africa, Central and South America or Asia? 

From Libya to South Africa, from the Islands of Cape Verde to Madagascar and from Sao Tome and Principe to the Seychelles, through the Comorres Islands, if Africans decide, tomorrow... But what am I saying?… today!, to be a little more supportive of each other, especially against colonial aggression, then it should eventually come out.

Does Africa demand respect from abroad? What are we waiting for?




P.S. 

You know what ? Palestina seems to hold together, at last! What about recognizing the new STATE OF PALESTINA by the whole African Union?

Vous connaissez la nouvelle ? Les Palestiniens semblent enfin vouloir se mettre ensemble. Et si l'ensemble de l'Union Africaine reconnaissait le nouvel ÉTAT PALESTINIEN ?


Links


Here you have got some European friends of Africa, or countries which deserve to be considered as such ones.

Ci-dessous, quelques pays européens amis de l'Afrique, ou qui gagneraient à être mieux connus des Africain(e)s. 


Austria :       1  -  2  -  3
Österreich ist nicht nur ein Land für Urlauber! Aber eines muß ich sagen: die Milch der Vorarlberger Kühe ist besonders köstlich! 

Finland :       1  -  2  -  3
Kun kuulen "Suomi", mielestäni "Sibelius"! (traduit avec Google)

Malta :          1  -  2  -  3
Jidher li dawn jistgħu jitgħallmu l-Ingliż f'Malta.


Sweden :        1  -  2  -  3
Sverige är ett land av stora och vackra blonda flickor. I själva verket var Birgit Nilsson hon blondin?


Taiwan :    1  -  2  -  3
Je sais, la grande Chine, celle qui occupe le Tibet, n'aime pas trop que l'on évoque la petite, l'île des irréductibles autrefois appelée Formose, autrement dit, Taipei, dont les produits de haute technologie font l'admiration de tous.



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