jeudi 25 août 2011

Crimes de guerre du syndicat ONU-OTAN en Libye avec la complicité de trois prostituées africaines. How three African prostitutes got involved into the UNO-NATO's war crimes in Libya

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Regardez-les bien : ce sont trois chefs d'Etat africains qui, demain, et pour l'histoire, compteront parmi les principaux responsables du carnage colonial déclenché depuis des mois par le syndicat criminel ONU-OTAN en Libye.

Trois prostituées. Toujours promptes à baisser leur pantalon et le reste devant leurs maîtres blancs. Trois nostalgiques africains des temps coloniaux, où ils avaient été dressés à répéter "oui missié", "non missié", "pardon missié", "merci missié" (yo mista, no mista, excuse me mista, thank you mista).

Devant le Conseil d'Insécurité de l'ONU, l'Allemagne, l'Inde et le Brésil ont eu l'intelligence de s'abstenir, trop conscients de ce qui se tramait. Mais il a fallu que les seuls pays africains membres dudit Conseil joignent leurs voix à celles des assassins d'Africains.





10 voix pour l'agression, 5 abstentions. C'est dire qu'il aurait suffi que les trois Africains s'abstiennent - conformément à ce qui avait été préconisé par l'Union Africaine ! - et, par 7 voix contre 8, la résolution ne passait pas ! 

Quelle honte ! Mais quelle honte !!!!!!

Regardez-les bien, ces trois prostituées... Et que les Africains, surtout les plus jeunes, se souviennent... et ne passent jamais l'éponge !


Résolution 1973 (source)

Aux termes de la résolution 1973, adoptée par 10 voix pour et 5 abstentions (Allemagne, Brésil, Chine, Fédération de Russie et Inde), le Conseil a décidé également que cette interdiction ne s’appliquera pas aux vols dont le seul objectif est d’ordre humanitaire ou encore l’évacuation d’étrangers.

M. MANJEEV SINGH PURI (Inde) a expliqué que son pays s’était abstenu lors du vote sur le projet de résolution, convaincu qu’il « n’existait pratiquement aucune information crédible sur la situation sur place » qui puisse justifier la décision d’établir une zone d’exclusion aérienne. « Nous ne savons pas plus comment les mesures prises seront appliquées », a-t-il fait remarquer, avant d’ajouter: « Nous demandons donc aux autorités libyennes de cessez-le-feu et de répondre aux aspirations légitimes du peuple libyen ». 

M. PETER WITTIG (Allemagne) a souhaité que le colonel Qadhafi renonce immédiatement au pouvoir, soulignant que son régime a perdu toute légitimité. L’objectif est maintenant de promouvoir la transformation politique de la Libye, a-t-il insisté. Dans ce processus, les fondations de la démocratie doivent être jetées, a-t-il dit, estimant que le Conseil national de transition est pour cela un interlocuteur important. Il a aussi salué la mission de l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la Libye, M. Abdul Ilah Khatib. Pour l’Allemagne, il est important d’empêcher le dirigeant libyen d’avoir accès aux moyens financiers qui lui ont permis de rester au pouvoir. L’Allemagne soutient donc pleinement les sanctions économiques et financières imposées en vertu de la présente résolution, a assuré le représentant. Cependant, a-t-il expliqué, l’Allemagne s’est abstenue de voter en faveur de la résolution parce qu’elle ne souhaite pas s’engager dans une confrontation militaire, ce qui est envisagé par certains paragraphes.

Mme MARIA LUIZA RIBEIRO VIOTTI (Brésil) a demandé que le vote exprimé aujourd’hui par sa délégation ne soit pas interprété comme une tolérance du comportement des autorités libyennes ni comme une indifférence par rapport à la protection des civils et au respect de leurs droits. Le Brésil est solidaire de tous les mouvements de la région qui expriment des demandes légitimes en vue d’une meilleure gouvernance, d’une plus grande participation politique et d’une justice sociale, a-t-elle précisé. Mme Ribeiro Viotti a condamné le non-respect par les autorités libyennes de leurs obligations en vertu du droit international humanitaire et des droits de l’homme. Elle a cependant estimé que le texte présenté aujourd’hui envisage des mesures qui vont bien au-delà de l’appel de la Ligue des États arabes qui demandait des mesures fortes pour faire cesser la violence. « Nous ne sommes pas convaincus que l’utilisation de la force, telle que prévue au paragraphe 4 du dispositif, permettra d’atteindre l’objectif commun qui est de mettre un terme à la violence et de protéger les civils », a-t-elle fait remarquer.

Mme JOY OGWU (Nigéria) a constaté que les autorités libyennes ont continué à violer les termes de la résolution 1970, adoptée le 26 février dernier par le Conseil de sécurité, et les dispositions du droit international. L’ampleur de la catastrophe humanitaire explique la raison pour laquelle le Nigéria a voté en faveur de ce texte, a-t-elle expliqué. Le texte met l’accent sur la protection des civils et sur l’assistance humanitaire, ce qui répond à beaucoup de nos préoccupations, a-t-elle dit. Le Nigéria continue à penser que l’occupation étrangère n’est pas un moyen qui permet d’assurer la paix en Libye. « En outre, nous aspirons à respecter l’unité et l’intégrité territoriale de la Libye. Nous sommes également encouragés par le fait que la voie politique est bien précisée dans la résolution adoptée ». Mme Ogwu a estimé que cette résolution envoie le message sans équivoque au peuple libyen que la dignité et la sécurité de la population sont essentielles.

M. BASO SANGQU (Afrique du Sud) a souhaité que la situation en Libye puisse se résoudre de façon pacifique, en trouvant une solution politique d’ensemble. Il faut aussi préserver l’unité, la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Libye, a-t-il demandé. Il a apprécié qu’un Envoyé spécial pour la Libye ait été désigné. M. Sangqu a rappelé que la résolution 1970 n’avait pas été suivie d’effet, les autorités libyennes ayant agi au mépris de ce texte. « Nous pensions donc que le Conseil de sécurité ne pouvait rester silencieux face à de telles violences », a-t-il expliqué. Le représentant a estimé que le texte adopté aujourd’hui répond aux attentes des populations de la région. « Pour le principe, nous avons donc appuyé cette résolution avec les mises en garde nécessaires sur le respect de l’intégrité et de la souveraineté territoriale », a-t-il dit, en rejetant toute occupation ou intervention étrangère qui se ferait sous prétexte de la protection des civils.




Pour mémoire : Indice de développement humain (2010) : Libye (53e), Gabon (93e), Afrique du Sud (112e), Nigeria (142e)..., Senegal (144e), Gambie (151e), Tchad (163e), Zimbabwe (169e) sur 169 pays répertoriés.

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