Retour sur le fameux "réchauffement climatique"
J'ai déjà évoqué, ici même, l'incohérence d'un certain discours que - fort de quelques années passées à étudier les sciences pures à l'Université Louis Pasteur de Strasbourg - j'estime éminemment inconsistant car ne reposant sur aucune pédagogie. Je veux parler de cette "urgence climatique" dont on nous rebat les oreilles tous les quatre matins, dès lors qu'on nous annonce une croissance de la température moyenne du monde de... deux degrés dans... une centaine d'années, alors même que des milliards d'individus n'ont pas accès à l'eau potable, tandis que d'autres milliards souffrent de maux divers dus à la pollution de l'air, de l'eau et du sol, sans oublier la disparition avérée, là maintenant, de générations entières de mammifères, d'oiseaux et d'insectes (cf. les abeilles) en raison, notamment, de la destruction des habitats naturels et de l'usage immodéré des pesticides par l'agriculture intensive.
Le fait est que, malgré tous les discours des idéologues du climat, un front réfractaire essentiellement populaire reste sourd à toutes les alertes, ce qui s'explique précisément par le caractère anti-pédagogique des théoriciens dudit "réchauffement climatique", incapables qu'ils sont d'expliquer des choses qu'on croirait pourtant explicables.
Nous avons vu comment Donald Trump a accueilli l'annonce de chutes de neige record dans des États comme le Minnesota, le Nebraska..., l'hiver dernier, de même que l'Europe centrale a connu les mêmes chutes de neige record il n'y a pas si longtemps.
Or, face à ces évidences - sur des millions d'années, le climat de la Terre n'a pas cessé de varier, dans les deux sens -, curieusement, aucun expert dudit réchauffement climatique n'a osé venir expliquer au grand public les raisons de ces incohérences (chutes de neige au printemps) qui n'en sont pas : aucune explication, rien, nothing, nichts, nada !
Voyons ce qui suit, tiré du journal télévisé (France 2, 15 mai 2019). Il y est question de chutes de neige inattendues dans le département le plus méridional et, généralement, le plus ensoleillé, donc le plus chaud de France (métropolitaine) : la Corse.
Sans commentaires.