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mardi 26 juin 2018

Un salut à tous nos amis italiens... Un saluto a tutti i nostri amici italiani...


Texte mis à jour le 20 août 2018 (voir infra)

Le petit blogueur que je suis apprécie tous les jours l'efficacité des moteurs de recherche, moi qui ne produis aucun effort pour faire connaître ce blog, dès lors que je ne possède aucun compte Facemachin, Tweetchose ou Instatruc ni aucun relais auprès de la presse écrite et audiovisuelle !

Ce qui veut dire que tous les visiteurs de ce site le font soit via le bouche à oreille, soit plus généralement après avoir entré une requête et des mots-clés sur un moteur de recherche.

Et si les moteurs de recherche m'amènent autant de visiteurs, c'est tout particulièrement à cause des images, qui sont, toutes, équipées de 'tags'. La chose n'est pas du tout visible sur les pages, sinon sur la version 'codée' de la page, à laquelle les connaisseurs peuvent facilement accéder. En clair, on agrémente les images d'une balise du type 'alt', dans laquelle on insère des mots-clés, ce qui vous permet de consulter des myriades d'images en accédant à l'onglet 'images' de votre moteur de recherche.

Et comme vous êtes observateurs, vous avez forcément constaté que mes articles étaient systématiquement agrémentés d'au moins une image ! Le fait est que ce blog n'est qu'un échantillon parmi plein d'autres contributions de votre serviteur au réseau mondial. 

Tiens, by the way, offrons-nous un petit quiz : essayez donc de deviner l'endroit où j'ai capté cette image de la louve allaitant Romulus et Rémus (image en relief anaglyphique. Voir plus bas.) !



Cette petite introduction me permet de saluer une catégorie importante de visiteurs de ce site : les Italiens, gli Italiani !

D'où mon message de salutations à tous nos amis transalpins, comme on dit ici, ce pays en forme de botte qui compte des filles parmi les plus sexy du monde ! Mais pas que... Je pense à cette année de FAC (il y a quelque temps maintenant !), que j'ai quasiment séchée en totalité pour aller voir des festivals de cinéma italien (la salle d'art et d'essai se trouvait à Paris, Rue du Dragon ; elle était très étroite, et très allongée). Et là, j'ai découvert Felllini, Visconti, De Sica, Antonioni, Bertolucci, Pasolini et j'en passe. Finalement, à force de voir tous ces films en version originale, j'ai fait de réels progrès dans la compréhension de la langue parlée. Et comme, de surcroît, j'ai une appétence particulière pour la musique, je dois dire que les films qui m'ont laissé la plus forte impression furent, comme par hasard, ceux dont la musique était la plus prégnante. Comment oublier cet adagietto de Mahler dans "Mort à Venise", ou encore les sublimes partitions de Nino Rota pour Fellini, ou encore celles du maestro Ennio Morricone ?

Du coup, pour moi, l'Italie, ce sont d'abord les arts, le cinéma, certes, mais venant après la peinture, la sculpture, la musique, l'opéra.

Victor Emmanuel Roi D'Italie... Tout un programme !

Mais je n'oublie pas le reste. Et comme je vis en France, je ne vous apprends rien, chers amis italiens, sur cette prétention française de détenir la plus reluisante cuisine du monde, les plus grands vins du monde, les meilleurs créateurs de mode du monde, et tutti quanti.

Parlons cuisine : Boccuse, Trois-Gros et tous les autres ont assis le prestige de la gastronomie française dans le monde : la gastronomie, pour clients fortunés. Mais en attendant, qu'on me cite une spécialité culinaire ou alimentaire (populaire) française aussi connue dans le monde que les cannelloni, farfalle, fusilli, gnocchi, lasagne, macaroni, mascarpone, mozzarella, osso buco, parmigiano, pizza, ravioli, risotto, spaghetti, tagliatelle, tiramisu, tortellini... 

Voilà, donc, un pays, l'Italie, qui a, plus que la France, puissamment contribué à la culture populaire à travers le monde. Car où que vous alliez dans le monde, vous donnez le nom en italien, et le serveur du restaurant ou de la buvette (cf. espresso, cappuccino...)  vous comprend instantanément. D'autres spécialités existent ici ou là : on citera le couscous, les sushis, nems, hamburgers, kebabs, le caviar, la paella, la sangria, la tequila, le whisky, la vodka..., mais aucune spécialité française, enfin si, une seule : le champagne ! (À propos...)

Il faut dire qu'en France, depuis les souverains de l'Ancien Régime, la "culture" a toujours été la chasse gardée d'une élite, et ce, malgré tous les efforts déployés par les institutions et autorités culturelles locales et nationales. Ailleurs, et tout particulièrement en Italie, ce n'est pas du tout le cas, ce qui explique que, dans ce pays, des gens comme Pavarotti ou Bocelli aient pu chanter des airs d'opéras dans d'immenses stades, chose inimaginable en France.

Il me revient une petite anecdote : je fais du camping sur un site autrichien, près de Salzburg, lorsqu'un matin, un jeune couple italien m'invite à prendre le petit déjeuner avec eux. Je suis un peu surpris et ne comprends pas très bien les raisons de leur sollicitude, lorsqu'ils m'expliquent qu'ils sont italiens et qu'ils ont été fort intrigués lorsque, la veille, ils m'ont vu aller à la douche tout en sifflotant l'air de "La campanella" de Paganini. Alors, ils se sont dit : "Tiens donc, un garçon noir qui sifflote du Paganini sur un camping autrichien ! Comme c'est drôle ! Il faut qu'on fasse connaissance.".

A l'attention de ceux qui ne connaissent pas Salzburg : on y mange du Mozart à toutes les sauces, notamment des opéras, dont une grande partie - les plus fameux ?! - ont été écrits (pour le livret) par l'Italien Da Ponte. (1)

Vous avez compris que j'avais une tendresse particulière pour l'Italie, dont je parle la langue beaucoup moins bien que l'Allemand, mais je me soigne : tous les jours, notamment sur l'Internet, je travaille mon accent et révise verbes et règles de grammaire. Car je compte bien visiter le pays tantôt, mais pas avant d'être aussi "fluent" que possible dans cette belle langue, la langue, avec l'allemand, des plus grands opéras du répertoire !

Pour l'heure, j'aimerais juste dire à nos amis italiens combien l'Africain que je suis ressent de la honte (vergogna) en assistant à ce spectacle immonde que de prétendus "migrants" nous infligent quotidiennement au Sud de l'Italie, mais je n'oublie pas l'Espagne, la Grèce...

Question : vous souvenez-vous de Michael Jackson et de ses amis  dans le fameux clip "We are the world, we are the children..." ? Nous étions dans les années 1980... Il y avait (déjà) de la sécheresse en Ethiopie, où les enfants tombaient comme des mouches.

Suite de la question : vous souvenez-vous avoir vu, à l'époque, une seule pirogue de "migrants" traversant la Méditerranée ?

Fin de l'interrogation : compte tenu de ce que nous savons de l'évolution du monde, comment expliquer toutes ces traversées sauvages vers l'Europe, maintenant, et qu'il n'y en ait pas eu une seule au cours de toutes ces années de guerres coloniales (années 60), de guerres civiles et de famines (années 70 et 80) ?

Le fait est que j'ai consacré moult articles aux conséquences prévisibles de l'agression de l'OTAN en Libye au printemps 2011. Ces textes sont facilement accessibles sur les archives de ce blog. 

Je constate simplement que l'adage "gouverner c'est prévoir" n'a été observé par aucun des criminels responsables de la tragédie libyenne, et dont la plupart rasent les murs actuellement, dont je me contenterai de rappeler quelques noms : Nicolas Sarkozy, Bernard-Henri Lévy, Alain Juppé, David Cameron, Barack Obama, Jose-Luís Zapatero, Silvio Berlusconi...

Pour ma part, j'ai là un petit stock d'archives déjà ancien, à l'instar de l'image qui suit, représentant un abruti fraîchement débarqué de la pirogue l'ayant amené du Maroc ou de la Mauritanie sur une des Îles Canaries, le tout après une dizaine de jours de mer ! Voyez dans quel état il se trouve, ne pouvant même plus tenir debout, tandis qu'à quelques mètres de là, des touristes bronzent tranquillement, sans même sembler s'étonner du spectacle qui se déroule sous leurs yeux. L'image suivante provient d'un magazine espagnol et date approximativement de la même période. Ceux-là ont échappé à la noyade.

Dans la rubrique "Morituri te salutant!"...



Autre chose ? Allez voir sur le moteur 'Gogol'...


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Mais, à vrai dire, je n'avais pas prévu de consacrer, maintenant, un article à tous ces abrutis qui déshonorent le continent africain et font monter le racisme partout où ils passent. J'y reviendrai, donc, plus tard.

Pour l'heure, mon intention était d'adresser un salut amical à ce peuple italien dont je sais pertinemment qu'il n'est pas raciste, mais qu'il pourrait finir par manifester des crises d'urticaire devant ce déferlement qui ne semble pas vouloir s'arrêter.

Et ce salut, j'aimerais l'illustrer de quelques images de mon cru, tout au moins pour leur aspect final : le fait est qu'elles sont visibles en relief, pour peu que vous possédiez de petites lunettes bicolores (rouge-cyan).






Des pays-monuments dans le monde, il n'y en a pas tant que ça : Grèce, Italie, Inde, Chine, Egypte, Méso-Amérique... Des monuments. Et pour veiller à la conservation des monuments du monde, on a créé l'Unesco !

Vous avez compris ? Oui ? Non ? Alors laissez-moi vous expliquer pourquoi, en raison de son statut de seul pays-musée d'Europe, avec la Grèce, j'estime qu'il serait tragique que l'Italie devienne un dépotoir à clandestins amenés là par une des pires mafias qui soient : une mafia d'Africains s'enrichissant sur une nouvelle mouture du trafic d'esclaves, le tout avec la complicité active de soi-disant organisations "humanitaires". (2)

Citation des artistes maliens Amadou et Mariam : "Avec tout l'argent qu'ils (les clandestins) donnent aux passeurs, ils pourraient créer des entreprises chez eux !". (Lien 01) (Lien 02)





(1) Ci-dessus, j'ai mis un lien vers la seule ouverture de Don Giovanni, avec James Levine. Je suppose que nous sommes au Met (Levine ayant souvent enregistré cette oeuvre et étant coutumier des grands festivals/cf. Salzburg). Mais le plus intéressant est ailleurs, à savoir l'enregistrement intégral de l'oeuvre au Met, précisément, dans une fabuleuse production que nous devons à Franco Zeffirelli, disponible sur DVD chez Deutsche Grammophon.  

(2) En attendant d'émettre un avis plus circonstancié sur la question dite "migratoire", je découvre ça et là des avis divers et variés, qui contribuent à alimenter ma propre réflexion, à l'instar de ce papier de Manlio Dinucci sur le Réseau Voltaire.

(3) Les amateurs d'images en 3D devraient se régaler en visitant, par exemple, ce  site... 

Réponse au quiz : tous les parisiens sont censés savoir où se trouve la Sorbonne... Mais combien d'étudiants de ladite Sorbonne ont jamais eu la curiosité de fureter (à pied) à travers le quartier ? Il se trouve que, Rue des Ecoles, juste en face de la Sorbonne, il y a un petit bosquet (à Paris on appelle ça un "square", minuscule îlot de verdure au milieu du béton...), et il faut entrer dans ledit square pour découvrir cette statue, invisible de la rue.

Cerise sur le gâteau...

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Citation : dans la rubrique "Forza Italia!: With Italy’s football team, the Azzurri (the Blues), having failed to qualify for this summer’s World Cup in Russia, Italians have found a new national team to celebrate. This time they are all women. Italy's 4x400 women’s relay team – Maria Benedicta Chigbolu, Ayomide Folorunso, Raphaela Lukudo and Libania Grenot – took the gold at the Mediterranean Games on Sunday. But what has really kicked up a social media storm is the fact that they are all black. (Source)


20 août 2018

Que dire devant les images de ce pont autoroutier effondré à Gênes ? En français, on a deux expressions voulant dire à peu près la même chose : "Les bras m'en tombent !" ou "Ça me laisse sans voix !".

Ça tombe bien, ou mal : l'auteur de ce blog n'est pas du genre bavard. Le fait est que je n'ai de compte ni sur Facemachin, ni sur Tweetchose et encore moins sur Instatruc ! Voilà qui va me dispenser de rejoindre la cohorte de tous ces "hauts-parleurs", capables de blablater sur tout et n'importe quoi, histoire d'avoir un avis sur tout, autant dire sur rien  !

Savoir se taire, quand les mots ne servent à rien !