Je tombe, l'autre jour, sur l'information qui suit :
On y apprend notamment ceci :
Au moment de l'enregistrement de ce message vidéo, Johnny Hallyday était déjà engagé dans un rude combat contre la maladie. Le soutien de sa communauté de fans lui paraissait alors essentiel dans sa noble démarche : "Venez nombreux car tous les bénéfices de cette soirée permettront de financer l'institut Rafael et une future maison du cancer et de l'après-cancer...
Je rassure tout le monde : c'est probablement la dernière fois que j'évoque feu Johnny Hallyday sur ce blog. Il est vrai que j'ai été le tout premier à taper sur l'ex-idole des jeunes fraîchement disparue. Rendez-vous compte ! Alors que de partout montaient les clameurs des fans éplorés, quelqu'un a osé s'en prendre à l'inconséquence d'un quidam pris en flagrant délit de mensonge, disons d'auto-parjure, dans la mesure où notre grand chanteur avait, face caméra, quelque part sur une piste africaine, juré ses grands dieux qu'il allait arrêter de fumer... (Lire). J'observe simplement que, depuis mon "papier", le monde entier a découvert dans quel univers de laisser-aller, de désinvolture et d'incohérences naviguait notre grand rocker.
Le fait est que, si j'avais été un proche d'Hallyday, je l'aurais convaincu de tenir sa promesse : arrêter de fumer, voire ne pas s'adonner du tout à ce vice. Il se trouve simplement que dans ma famille, personne ne fume.
Tiens, à ce propos, au sein de notre petite famille, basée quelque part, sur la côte atlantique africaine, il y a quelqu'un qui a eu 99 (quatre-vingt-dix-neuf) ans en février 2017, et qui a passé le cap des cent ans il y a quelques semaines. Par parenthèse, cette personne n'a jamais fumé.
Tiens, à ce propos, au sein de notre petite famille, basée quelque part, sur la côte atlantique africaine, il y a quelqu'un qui a eu 99 (quatre-vingt-dix-neuf) ans en février 2017, et qui a passé le cap des cent ans il y a quelques semaines. Par parenthèse, cette personne n'a jamais fumé.
Cent ans, dans un pays où l'espérance de vie des hommes frise les cinquante ans, celle des femmes culminant autour de 60. Autant dire que, dans ce pays, voire dans toute l'Afrique centrale, occidentale, australe, orientale..., les centenaires doivent se compter sur les doigts de la main.
Et je suis en mesure d'affirmer, ici, qu'une telle longévité ne doit rien au hasard. C'est, pour l'essentiel, une question de prophylaxie ! (1)
Cent ans, ça s'arrose, non !?
En ce qui me concerne, une pratique méthodique de la prophylaxie se traduit par zéro rhume sur les quatre dernières années (même pas en hiver !) ; et sur les trente dernières années, j'en suis à zéro bronchite (moi qui ai énormément toussé dans mon enfance), zéro gastro-entérite, zéro constipation, zéro mal de dos, zéro grippe (mais aussi zéro vaccination contre la grippe), zéro migraine (dont j'ai énormément souffert dans mon adolescence), zéro lunettes de vue... Le fait est que, là, maintenant, dans mon "armoire à pharmacie", hormis les préservatifs, le mercurochrome, le dentifrice et du sparadrap, il y a zéro médicament ; pas même une aspirine, substance dont j'ai été un intense consommateur dans mes jeunes années.
Et quand je pense, par exemple, à tous ces jeunes irresponsables, qui continuent de se laisser contaminer par le sida, encore maintenant, malgré les Sidactions, les festivals Solidays et autres campagnes vasouillardes à la télévision, je ne puis m'empêcher de penser : "Ah, les cons !" (Lire)
Mes condoléances aux enfants de Johnny Hallyday !
(1) Première condition pour vivre centenaire, ne pas prendre la mauvaise habitude de se "shooter" aux médicaments voire à quoi que ce soit de chimique. Et comme j'ai la ferme intention de franchir ce cap, disons dans quelques décennies, je m'y prépare activement... C'est ainsi que ma dernière visite dans le cabinet d'un médecin (hors dentisterie) remonte à 1997 et mon dernier passage chez un pharmacien à la mi- juillet 2014 (du sirop pectoral à 2,86 euros le flacon, que j'ai consommé à titre prophylactique après avoir passé trois jours entiers à avaler la poussière soulevée par les chevaux lors d'une compétition de saut d'obstacles).
Petit supplément :En ce qui me concerne, une pratique méthodique de la prophylaxie se traduit par zéro rhume sur les quatre dernières années (même pas en hiver !) ; et sur les trente dernières années, j'en suis à zéro bronchite (moi qui ai énormément toussé dans mon enfance), zéro gastro-entérite, zéro constipation, zéro mal de dos, zéro grippe (mais aussi zéro vaccination contre la grippe), zéro migraine (dont j'ai énormément souffert dans mon adolescence), zéro lunettes de vue... Le fait est que, là, maintenant, dans mon "armoire à pharmacie", hormis les préservatifs, le mercurochrome, le dentifrice et du sparadrap, il y a zéro médicament ; pas même une aspirine, substance dont j'ai été un intense consommateur dans mes jeunes années.
Et quand je pense, par exemple, à tous ces jeunes irresponsables, qui continuent de se laisser contaminer par le sida, encore maintenant, malgré les Sidactions, les festivals Solidays et autres campagnes vasouillardes à la télévision, je ne puis m'empêcher de penser : "Ah, les cons !" (Lire)
Mes condoléances aux enfants de Johnny Hallyday !
(1) Première condition pour vivre centenaire, ne pas prendre la mauvaise habitude de se "shooter" aux médicaments voire à quoi que ce soit de chimique. Et comme j'ai la ferme intention de franchir ce cap, disons dans quelques décennies, je m'y prépare activement... C'est ainsi que ma dernière visite dans le cabinet d'un médecin (hors dentisterie) remonte à 1997 et mon dernier passage chez un pharmacien à la mi- juillet 2014 (du sirop pectoral à 2,86 euros le flacon, que j'ai consommé à titre prophylactique après avoir passé trois jours entiers à avaler la poussière soulevée par les chevaux lors d'une compétition de saut d'obstacles).
Comme on peut le constater, les sabots d'un cheval, ça soulève de la poussière, en fonction du sol et de la météo. Et quand vous avez des centaines de sabots sur un paddock...
Juillet 2014. Elle c'est Louise R... Ce jour-là, je croise le grand acteur français Jean R. en train de déguster une glace en compagnie d'une dame qui devait être son épouse. Bonjour Monsieur R., bonjour Madame ; dites donc, est-ce que Louise R. est une de vos parentes ? Bien sûr, rétorque Jean Rochefort, c'est notre fille !