Avant-propos (Lire)
Par parenthèse, les âmes charitables et autres escrocs de la soi-disant "grande presse", si pressés d'entamer leur misérable lamento autour d'une soi-disant destruction d'Alep, en Syrie, vont devoir, très vite, se mettre à raser les murs et à mettre une sourdine à leurs trompettes, devant la réalité que les libérateurs russes, iraniens et syriens d'Alep-Est sont en train de découvrir : amas de bombes et d'armements souvent produits en Occident, écoles et mosquées minées, sans oublier les charniers qu'aucun medium de désinformation n'osera évoquer, ce qui ne surprendra pas grand monde, en tout cas, pas moi !
Par parenthèse, les âmes charitables et autres escrocs de la soi-disant "grande presse", si pressés d'entamer leur misérable lamento autour d'une soi-disant destruction d'Alep, en Syrie, vont devoir, très vite, se mettre à raser les murs et à mettre une sourdine à leurs trompettes, devant la réalité que les libérateurs russes, iraniens et syriens d'Alep-Est sont en train de découvrir : amas de bombes et d'armements souvent produits en Occident, écoles et mosquées minées, sans oublier les charniers qu'aucun medium de désinformation n'osera évoquer, ce qui ne surprendra pas grand monde, en tout cas, pas moi !
Ce qui suit est un article tiré du toujours instructif site russe RT, dans sa version anglaise, et que je traduis ici, in extenso.
Les sapeurs russes parcourent Alep à la recherche de mines,
découvrant des obus fabriqués aux Etats-Unis, en Allemagne…
Les équipes russes de déminage continuent d’inspecter les écoles
et les mosquées d'Alep en quête d’engins piégés, de mines et de munitions, après
avoir libéré la ville des rebelles. Les explosifs récupérés viennent de
différentes parties du monde, y compris les États-Unis et l'Allemagne. Depuis
le début de leur mission de déminage dans la ville syrienne, il y a trois
semaines, les sapeurs ont nettoyé 966 hectares, ainsi que le rapportait, mercredi,
le Centre russo-syrien de coopération.
Ils ont déclaré 2 149 bâtiments dans et près d'Alep comme étant sûrs, y compris
44 écoles, 38 mosquées, 10 installations médicales et d'autres infrastructures
civiles cruciales. Ils ont également déminé 350 km de routes dans la région,
poursuivait le rapport.
Les équipes ont découvert et désamorcé quelque 14 700 objets
dangereux, dont 6 700 bombes artisanales (angl. IED : Improvised Explosive
Device). Les munitions découvertes dans les stocks abandonnés par divers groupes
armés vont des petites armes et des grenades à main jusqu'à des roquettes
destinées à des lance-roquettes multiples.
Des images de l'opération de déminage en cours, publiées par
le ministère russe de la Défense, montraient des caisses pleines de munitions
diverses ; sur certaines d’entre elles, on pouvait lire : « produit
en Yougoslavie pour le compte du Corps d’armée des États-Unis. »
« Les munitions que nous avons trouvées étaient
allemandes, américaines, bulgares ... Les stocks dont ils disposaient sont
assez impressionnants », a déclaré le major Ivan Gromov, un responsable du
détachement russe.
L'armée russe à Alep contribue à la restauration d’une vie
normale dans la ville après quatre années d'hostilités. Outre l’élimination des
explosifs, elle pourvoit aux livraisons de l'aide humanitaire et à la
restauration des services publics. Une unité de la police militaire russe a été
déployée à Alep pour préserver l'ordre public et prévenir d'éventuels désordres.
Les militants opposés au gouvernement syrien ont été
contraints de quitter l'est d'Alep après l'offensive victorieuse entamée dans la ville par Damas, le mois dernier. L'évacuation des combattants rebelles et de
leurs partisans civils était destinée à sauver des vies et a été conduite avec
l'aide d'organisations humanitaires internationales. Cela a permis de mettre fin
à des combats constants dans l’ensemble d’Alep, qui s’est trouvée divisée en
parties détenues par le gouvernement et d’autres tenues par les rebelles
pendant des années.
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