À propos d'une "victoire imperdable" : retour sur l'idée que les socialistes français se font de la confraternité et de la solidarité entre camarades...
Mai 2007. Ségolène Royal perd l'élection présidentielle avec 47 % contre 53 % pour son adversaire de droite, alors même qu'en 2002, le candidat socialiste, Lionel Jospin, n'avait pas pu se qualifier pour le second tour. La suite ? Contrairement à ce qui s'est passé le 21 avril 2002, après la déroute de Jospin et sa défection théâtrale au beau milieu d'une bataille politique (les élections législatives à venir devant encore décider du camp qui gouvernerait la France pendant cinq ans), en 2007, les Français vont avoir droit à une petite flopée d'ouvrages en forme de pamphlets émanant du propre camp de Ségolène Royal, ainsi que rapporté par Le Monde.
Source : lemonde.fr