Grisé par les "bons" sondages, dont certains n'avaient pas hésité à le voir présent au second tour d'une présidentielle, et propulsé en avant par ses petits amis de la presse dite "mainstream", moyennant une, deux, trois, quatre, cinq... émissions quotidiennes en majeure partie dédiées à sa cause sur les chaînes dites d'info, voilà que celui que j'ai nommé Zemmour-la-baudruche s'est senti pousser des ailes, alignant les meetings à travers la France, sans oublier un passage assez raté à Londres.
Et puis, un jour, en marge d'un déplacement à Marseille, notre baudruche médiatique a été prise en flagrant délit de vulgarité, allant jusqu'à échanger un doigt d'honneur avec une manifestante.
Aux dernières nouvelles, le bonimenteur de foire aurait déclaré sa candidature pour l'élection présidentielle française d'avril 2022. Pour l'heure, nous nous contenterons d'un port-folio à base de captures d'écran.