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samedi 16 mai 2020

Retour sur le pseudo État islamique et l'imposture Daesh


Et dire que pendant ce temps, la presse 'mean'stream se taît ! (1)

Vous savez quoi ? Ou la chose est vraie, ou elle est fausse, et dans un cas comme dans l'autre, il va bien falloir que quelqu'un s'explique.

Il se trouve que je fais partie de ces gens qui n'ont jamais cru en l'existence d'un État islamique, dont quiconque de moyennement sensé savait qu'il ne s'agissait que de marionnettes pilotées depuis l'étranger et copieusement stipendiées, militairement et financièrement, au moins à partir de la campagne criminelle du syndicat mafieux baptisé OTAN, entendez OCAN (Organisation Criminelle de l'Atlantique Nord), en Libye (2011).

Et, fort logiquement, je ne crois pas plus à la consistance de ces soi-disant "djihadistes" officiant dans le Sahel africain, des marionnettes capables d'ouvrir 'x' fronts simultanés sur des milliers de kilomètres de distance (Mali, Niger, Burkina-Faso, Tchad, Nigeria, Cameroun, Centrafrique, voire Côte d'Ivoire...). 

Le fait est que l'histoire nous a montré que les insurrections dites 'nationales de libération' (cf. ANC, FLN, Frelimo, MPLA, Tupamaros, Farc, Sandinistes, Sentier Lumineux, Front Islamique du Salut, ETA, IRA, RAF, Brigades Rouges, Action Directe, etc.) se sont toujours déployées sur un terrain strictement national (Afrique du Sud, Algérie, Angola, Mozambique, Nicaragua, Uruguay, Colombie, Pays Basque, Irlande du Nord, Allemagne, Italie, France...) en se servant des pays riverains comme de zones de repli au sein desquelles il s'agissait de se tenir à carreau (sans bouger le petit doigt !).

De fait, aucun des mouvements révolutionnaires armés évoqués plus haut ne s'est jamais permis de se faire des ennemis dans les pays voisins ! Comment Cesare Battisti, activiste italien, aurait-il pu faire le mort pendant tant d'années en France, si d'aventure les Brigades Rouges avaient commis le moindre attentat, en France ?

Et le fait que Boko Haram, par exemple, s'en prenne simultanément aux armées du Nigeria, du Cameroun, du Tchad, du Niger et d'ailleurs montre qu'il s'agit de tout sauf d'une simple insurrection (locale) nigériane. Ces gens ont de gros moyens, sont renseignés (par qui ?) sur la position des troupes gouvernementales de 5, 6 pays !, et disposent de véhicules 4x4 "made in Japan" dont il serait facile de savoir "qui a signé le chèque" !

Et, comme pour confirmer ma théorie, voilà que les masques tombent, en Syrie par exemple, comme cela nous est révélé par un article du site iranien PressTV.

Et comme je l'annonçais plus haut, ou bien la chose est vraie, ou elle est fausse. Or, pour l'heure, c'est "motus et bouche cousue" du côté de la soi-disant "grande presse" ! 

Ci-dessous, ma traduction de l'article de Press TV annoncé plus haut. 

Des terroristes affiliés à Daech avouent leur coopération avec les forces américaines sur le site syrien d'Al-Tanf

Un certain nombre d'activistes récemment capturés et appartenant au groupe terroriste et takfiriste (baptisé) Daesh, ont avoué avoir étroitement coopéré avec les forces militaires américaines stationnées sur la base d'al-Tanf dans la province syrienne centrale de Homs, pour mener divers actes de terreur et de sabotage.

Au cours des aveux diffusés sur une chaîne de télévision publique syrienne jeudi soir, trois extrémistes - identifiés comme Salah Jaber al-Zaher, Ali Salim Yahya et Amer Abd al-Ghafar Nemah, mais mieux connus par leurs noms de guerre, à savoir Abu Abd al-Rahman al -Salafi, Abu al-Bara'a al-Homsi et Abu Sawan, ont révélé qu'ils avaient été chargés par les forces américaines de viser les troupes du gouvernement syrien dans et autour de l'ancienne ville de Palmyre, la base aérienne militaire de Tiyas - également connue sous le nom de Base aérienne T-4 -, les champs de gaz Shaer ainsi que les puits de pétrole situés à proximité, comme l'a rapporté l'agence de presse officielle syrienne SANA.

"Un jour, un proche collaborateur de notre commandant Hassan Alqam al-Jazrawi est venu vers moi et m'a dit qu'il était en contact avec les Américains à la base d'al-Tanf. L'homme, dont le nom était Hassan al-Wali, a ajouté qu'il était nécessaire de cibler Palmyre et la base aérienne T4, et que les forces américaines nous fourniraient des lance-roquettes et des mitrailleuses, en plus du soutien financier, des voitures et de tout ce dont nous avions besoin.".

"Il a ajouté que les Américains lanceraient également des avions de reconnaissance pour surveiller les mouvements des soldats de l'armée syrienne dans la région de Palmyre et nous informer de leurs activités", a déclaré l'un des terroristes.

Les militants, qui ont été récemment arrêtés lors d'une opération de sécurité dans le désert de Syrie, ont ensuite souligné l'existence d'une coordination entre leurs commandants et ceux de la soi-disant Armée des commandos révolutionnaires.

À un autre stade de leurs aveux, les Takfiris ont abordé les négociations entre leurs dirigeants et de hauts responsables des(dites) Forces démocratiques syriennes (SDF) parrainées par les États-Unis et dirigées par les Kurdes.

L'un des terroristes a déclaré qu'il y avait eu de tels pourparlers entre les deux parties une fois à Raqqah, l'ancienne capitale de facto de Daesh.

"Il y avait une coordination pour toutes les opérations que nous avons menées. Avec l'assentiment des Américains, nous avons déménagé de Raqqa à Dayr al-Zawr. Nous avions la protection de trois véhicules Cougar (mobilité d'infanterie) et de deux Hummers, qui appartenaient aux forces américaines et nous accompagnaient. Des hélicoptères de combat ont également volé au-dessus de Dayr al-Zawr", a-t-il déclaré.

Concernant les sources du soutien financier et logistique, les terroristes ont expliqué que leurs maîtres coordonnaient les affaires chaque mois via la base d'al-Tanf.

"Ils se rendaient à la base tous les mois et apportaient environ trois cargaisons de nourriture, de munitions et d'armes, dont la plupart étaient fabriquées aux États-Unis… Nous avions l'habitude de nous approvisionner à la base. Chaque fois que l'un de nous était blessé, nous l'emmenions là-bas pour un traitement. La base d'Al-Tanf était un refuge pour nous. Nous y allions chaque fois que l'armée syrienne assiégeait une région, y attendions plusieurs semaines et recevions de la nourriture ainsi que les premiers soins.", ont déclaré les membres de Daesh capturés.

Les États-Unis forment des militants anti-Damas à la base d'al-Tanf, située près des frontières de la Syrie avec l'Irak et la Jordanie.
Washington a unilatéralement déclaré une "zone de non-conflit" de 55 kilomètres autour des installations, et a fréquemment menacé de viser les forces syriennes dans la zone.

Source


N.B. Je suppose que vous attendez un commentaire à ce qui précède ? Quand je pense que, dans le Sahel africain, des soldats de l'OTAN, venus soi-disant lutter contre le terrorisme islamiste, tombent régulièrement sous les balles de soi-disant "djihadistes", alors même que c'est ce même OTAN qui leur a fourni les armes dès 2011, tout en soutenant d'autres pseudo-djihadistes en Syrie et en Irak, je pense que la logique de la situation voudrait que l'Afrique se débarrasse définitivement des pompiers-pyromanes étrangers qui l'occupent actuellement. En clair les armées de l'OTAN/OCAN n'ont (plus) rien à faire en Afrique !

(1) Mean : (de l'anglais) en français : vulgaire, méchant, vicieux, épouvantable.


Lectures utiles : 01 - 02 - 03 - 04 - 05

 

jeudi 12 septembre 2019

Retour sur un anniversaire : 11 septembre... Où il est question du mystère du World Trade Center


Préambule : avant de lire ce qui va suivre, commencez donc par jeter un œil sur quelques images bien instructives : (lien).

Je sais, l'anniversaire tombait hier, 11 septembre, et le moins qu'on puisse dire est que la grande presse n'en fait plus ses choux gras : à peine un ou deux gros titres en Une, par-ci, par-là. Et toujours pas le moindre "blockbuster" hollywoodien à l'horizon. Rendez-vous compte : dix-huit ans après, un sujet aussi "vendeur" que 'Nine-Eleven' n'a toujours pas trouvé le moindre producteur de films d'action pour monter une de ces grosses machines pleines de super-héros bodybuildés !

Et que dire des télévisions ?! À une époque où l'on vous reconstitue des dinosaures, la construction des pyramides égyptiennes ou des plus grandes cathédrales, le naufrage du Titanic, l'explosion du Hindenburg, etc., en images de synthèse, toujours pas le moindre infographiste pour nous présenter quelque chose de consistant concernant les fameux "attentats terroristes" de ce fameux 11 septembre 2001.

Illustrations :

 
 
 
 
 


Par parenthèse, est-ce qu'il y a un seul aficionado de jeux vidéo qui ne connaisse pas le fameux "Flight Simulator" ?

Donc, des images de synthèse, on sait faire, et à l'heure actuelle, on devrait avoir à disposition une multitude de versions vidéo des fameux attentats du 11 septembre 2001, voire de plein d'autres événements plus ou moins controversés. La raison du malaise ne résiderait-elle pas simplement dans l'absence de consistance des théories "officielles"  émanant des autorités états-uniennes ?

Au fait, quelqu'un pourrait-il nous expliquer exactement ce qui s'est passé au-dessus du territoire américain ce 11 septembre ? Je veux dire de manière claire et argumentée ?

Je pense à ce passeport que l'on aurait retrouvé dans les décombres du World Trade Center. Un passeport... appartenant à l'un des terroristes des avions-kamikazes et... plus résistant que le béton, le métal et le verre !

Pour ma part, j'ai toujours affirmé, ici même, qu'aucun avion de ligne n'avait percuté l'immeuble du Pentagone. Un aéronef (= objet volant, par exemple un missile), sans doute ; un avion de ligne, certainement pas !

Vous imaginez l'exceptionnelle dextérité de ce pilote (amateur !) capable - sans être dirigé par la moindre tour de contrôle ! - de faire du rase-mottes pour tomber pile-poil sur un bâtiment d'à peine quelques dizaines de mètres de haut, le tout après avoir vidé les soutes du kérosène qu'elles étaient censées contenir. Parce qu'un crash d'avion, avec du kérosène plein les soutes, ça vous fait un geyser de feu sur un bon kilomètre à la ronde ! Posez-vous donc une question simple : pourquoi diable des terroristes, soucieux de faire flamber le grand Satan américain tant détesté, ont-ils pris la peine de limiter les dégâts en allant percuter le Pentagone à l'aide d'un avion vidé de presque tout son kérosène ? Ne parlons même pas d'une défense antiaérienne aveugle en au moins quatre occasions, tout en étant censée être la meilleure du monde !!!! Comme une histoire de fous, vous ne trouvez pas ?

Et l'avion de ligne, où est-il passé ? Vous avez vu des images de la carcasse ? 

Mais ce n'est pas du Pentagone que je voulais parler, mais d'une émission diffusée, précisément, dans la soirée d'hier, sur une chaîne française (W9), et qui m'a permis de voir une séquence qui m'avait échappé jusque-là : l'effondrement du fameux WTC7, immeuble détruit comme les tours jumelles, sans avoir été percuté par le moindre avion !

J'en ai tiré les captures d'écran qui suivent : séquence filmée sous des angles différents.













Un immeuble qui s'effondre, droit comme un 'I' dans sa propre empreinte, par pulvérisation successive des étages, en commençant par le bas, ça n'arrive que lors des destructions contrôlées effectuées par implosion, ainsi que vous avez pu le voir sur la vidéo affichée plus haut.

Ce qui veut dire que quelqu'un avait posé les explosifs ad hoc sur l'ensemble de la structure de l'immeuble. Questions : qui ? Quand ? Et dans quel intérêt ?

Mais j'imagine que la petite clique de crétins qui nous bassinent régulièrement avec leur "théorie du complot" a une explication plausible à nous fournir !

Parce qu'une chose est de blablater : dire "c'est du complotisme", une autre est d'argumenter sur la base de sérieuses compétences techniques, notamment en matière de résistance des matériaux (1), par exemple !  

Lectures (= à lire attentivement) : 01 - 02 - 03 - 04

Citation (cf. lien n°2 ci-dessus) : 
In less than a week came another find, two blocks away from the twin towers, in the shape of Atta's passport. We had all seen the blizzard of paper rain down from the towers, but the idea that Atta's passport had escaped from that inferno unsinged would have tested the credulity of the staunchest supporter of the FBI's crackdown on terrorism.
En moins d'une semaine survient une autre trouvaille, à deux pâtés de maisons des tours jumelles, sous la forme du passeport d'Atta. Nous avions tous vu le blizzard de la pluie de papiers tombant des tours, mais l'idée que le passeport d'Atta ait pu échapper, intact, à cet enfer, serait de nature à mettre à mal la crédulité du plus fervent partisan de la répression du FBI contre le terrorisme.
(1) Pour mémoire, s'agissant de l'effondrement des tours jumelles, portés à haute température, le verre et le métal fondent (= deviennent liquides) mais ne sont pas pulvérisés (littéralement : transformés en poussière) !