Noir ? Le Code Colbert ? C'est tout ?
(Mise à jour du 25.01.2022)
Citation :
Il exista deux versions
du Code Noir. La première préparée par le ministre du roi et
puissant contrôleur général, Jean-Baptiste Colbert (1616 - 1683).
Il fut promulgué en 1685 par Louis XIV, Roi de France du 14 mai 1643
au 1er septembre 1715 . La seconde promulguée par son successeur
Louis XV en 1724. Les articles 5, 7, 8, 18 et 25 du Code noir de 1665
ne sont pas repris dans la version de 1724. Le texte suivant est
celui de Colbert (1665). (...) Le Code Noir, qui était censé freiner
les abus des maitres à l'égard de leurs esclaves, n'a eu pour effet
que de codifier l'esclavage des noirs et la traite, justifiés, en ce
temps là, par l'Église et les philosophes. A travers ses soixante
articles transpire l'hypocrisie du législateur qui, tout en faisant
semblant de considérer l'humanité de l'esclave noir, le présente,
sur le plan purement juridique, comme une marchandise soumise aux
lois du marché et un bien faisant partie intégrante d'un domaine.(source)
Quand on vous dit que le monde est vraiment peuplé de neuneus ! Prenez tous ces guignols prompts à tomber à bras raccourcis sur Rama Yade, coupable d'avoir profané leur sacro-saint Code Noir, alors même qu'elle ne l'a jamais évoqué. Parmi ces guignols figurent bon nombre de représentants d'une certaine "communauté". Et là, on se dit : "ma parole, ils sont devenus fous !". Mais vous connaissez certainement la fameuse réplique tirée des dialogues du film culte "Les Tontons flingueurs" : "Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît."
Le fait est que si ces connards et autres connes avaient juste lu le tout début dudit Code, ils auraient découvert ceci :
Article 1.
Voulons que l'Édit du feu roi de glorieuse mémoire, notre
très honoré seigneur et père, du 23 avril 1615,
soit exécuté dans nos îles ; se faisant, enjoignons
à tous nos officiers de chasser de nos dites îles tous
les juifs qui y ont établi leur résidence, auxquels,
comme aux ennemis déclarés du nom chrétien,
nous commandons d'en sortir dans trois mois à compter du
jour de la publication des présentes, à peine de confiscation
de corps et de biens.
Lu dans Tribune Juive, sous la plume d'un certain Erick Lebahr. Les mises en exergue sont de mon fait.
Rama yade en rade! Rama yade , que j’aimais bien, est elle devenue folle? Ou bien cyniquement opportuniste?
Je suis révulsé par ses propos. L’on aurait pu voir en elle un exemple réussi d’assimilation.
Expatriée aux USA depuis plusieurs années , elle défend à présent le
wokisme! Elle semble voir dans cette lèpre un humanisme bienveillant. Et
elle juge très sévèrement la France, où le racisme serait systémique,
selon elle.
Elle voit dans la statue de Colbert, près de l’Assemblée Nationale,
une “micro agression” … et elle préconise donc le déboulonnage de toutes
les statues qui la dérangent!
Elle fustige le fait que “les élites soient toutes blanches”.
Cette aigreur déplacée est sidérante …
Une preuve supplémentaire que le wokisme et la cancel culture, qui
pervertissent parfois même les esprits semblant les mieux carapacés, ne
sont pas à prendre à la légère. Il faut les traiter pour ce qu’ils sont.
Un bélier supplémentaire de destruction de la civilisation occidentale,
au même titre que l’islamisme.
Ce n’est pas pour rien que ces deux béliers, alliés dans un
improbable mariage de la carpe et du lapin, concourent et convergent
vers ce même but.
En tout état de cause, cette scandaleuse sortie de Rama yade, ex
ministre française black au même titre que Bambuck et d’autres, est une
MACRO AGRESSION contre la France, captieuse et hautement condamnable. Ce
d’autant qu’en son temps, elle avait elle même bénéficié… d’une
discrimination positive! Bien plus que de la méritocratie républicaine.
Des lors, cette trahison n’en est que plus abjecte.
Bien plus que la France, c’est elle qui devrait se regarder dans un miroir! (Source)
Réponse d'un certain Sylvain F. au billet précédent :
Yama
rade a prouvé son propre racisme et son ignorance des faits
historiques. On ne le dira jamais assez : ne pas enseigner la traite
arabo-musulmane à l’école et dans les universités est criminel.
(1) C’est du négationnisme d’État qui fait le jeu des islamistes
et
des indigénistes.
Lu dans Causeur, sous la plume d'un certain Benoît Rayski (même traitement que précédemment).
Rama
Yade ne supporte plus la statue de Colbert. Elle préfère désormais
le wokisme…
Rama Yade a été ministre sous
Sarkozy. Tant qu’elle occupait cette haute fonction, elle
déambulait dans les rues de Paris heureuse et insouciante. Puis les
aléas de la politique ont voulu qu’elle perde son portefeuille.
Et alors tout a commencé à aller mal. La pauvre fille s’est souvenue
qu’elle était sénégalaise et noire. Et à Paris c’est très pénible de
vivre avec cette double-identité tellement bafouée. Et ce qui la bafoue,
c’est la statue de Colbert ! Elle est située devant la façade du palais
Bourbon. « Chaque fois que je passe devant, je ressens comme une
mini-agression » a-t-elle déclaré dans L’Express. (2) Mais qu’est-ce qui l’oblige à passer si souvent devant le Palais Bourbon ?
N’ayant pu déboulonner la statue de l’auteur du Code Noir, elle a
décidé – la mort dans l’âme, on suppose – de s’en éloigner pour s’exiler
à Washington. Là-bas, pas de Colbert, mais des tonnes d’inscriptions Black Lives Matter. Que du bonheur pour Rama Yade !
L’ancienne ministre de Sarkozy a déclaré, toujours dans L’Express (2)
que le wokisme était « un noble combat pour la vérité historique ». La
vérité historique, parlons-en. Quand, sous Louis XIV et Colbert, les
Français voulaient des esclaves, ils les achetaient au Sénégal à des
chefs tribaux qui, moyennant force verroteries, leurs vendaient les
esclaves qu’ils s’étaient procurés en triomphant de tribus rivales. Elle
ne sait pas ça, Rama Yade ? Si, mais elle ne veut pas le savoir, car
cela équivaudrait à admettre que des Noirs se sont mal conduits avec
d’autres Noirs. Ce qui est tout à fait interdit par le wokisme qu’elle
affectionne.
Loin de Colbert, Rama Yade est donc heureuse à Washington. Elle y vit
confortablement. A-t-elle une carte verte qui lui permet de travailler
aux Etats-Unis ? Ou se contente-elle de toucher sa retraite d’ancienne
ministre ? On peut imaginer qu’elle a des loisirs et qu’elle les
consacre à écrire un livre dont le titre sera explosif : « Colbert le
maudit ».
Rama Yade a confessé toutefois qu’à ses yeux tout n’était pas parfait
aux Etats-Unis. Elle a fait état d’une statistique qu’elle juge
accablante et raciste. « les Noirs représentent 8% de la population
américaine. Comment se fait-il que les détenus des prisons US soient à
40% des Noirs » ?
A priori – mais ce n’est pas venu à l’esprit de l’ancienne ministre
de Sarkozy – ils ont bien dû faire quelque chose pour mériter ça. Rama
Yade n’est pas à une connerie près… (source)
"... ils ont bien dû faire quelque chose pour mériter ça !" (sic).
Par parenthèse, cette phrase a dû être prononcée un bon nombre de fois durant certaine nuit de novembre 1938, qui vit des biens appartenant à des Juifs saccagés voire incendiés par la foule, moyennant une colère noire d'Hermann Göring (détail soigneusement escamoté par les "historiens"), et ce, pour des raisons bassement matérielles (cf. "die Güter verlieren wir zweimal!", "nous (le Reich) sommes perdants sur les deux tableaux !" ; entendez : les biens ont été saccagés, donc sont perdus pour le Reich, et, dans le même temps, les assureurs doivent couvrir les dégâts !). Jetez donc un œil dans les archives pour vous convaincre qu'après ladite Nuit de Cristal, pas une seule destruction de biens "juifs" n'interviendra dans l'Allemagne nazie et ses "possessions" ! (3)
Et comme preuve que ladite nuit de cristal n'est pas venue de nulle part, voyez le "re-tweet" de cette pauvre hystérique de Zohra Bitan ; il y est question d'un "héroïque attentat" :
Quant aux "noirs s'étant mal conduits avec d'autres noirs", j'invite cet écrivailleur à lire de toute urgence les récits de "juifs s'étant mal conduits avec d'autres juifs", tels que relatés dans les "Chroniques du Ghetto", d'Emanuel Ringelblum, ou dans le brûlot de Maurice Rajsfus : "Des juifs dans la collaboration".
Zohra Bitan et Rachel Khan font partie de cette clique que j'appelle volontiers des "Möchtegernjuden", de l'allemand : "ich möchte gern" (je voudrais bien). Je précise que cette formule m'a été inspirée par mes deux premières "fiancées" (guillemets de rigueur : j'ai toujours été allergique au mariage, voire à la cohabitation !) : une brunette ayant des airs de famille avec la jeune Romy Schneider, ashkénaze de mère, protestante de père.
Quant à la seconde "fiancée", c'était une pure "aryenne", selon les codes anthropométriques hitlériens : plus blonde que Marilyn Monroe, avec des yeux verts. Et le jour où elle m'a avoué : "Weißt du was ? Ich bin eine Jüdin.", j'avoue que je suis parti d'un énorme éclat de rire : "Toi, juive ? Et puis quoi encore ?". Et elle de m'expliquer doctement, en détachant bien ses mots, qu'elle était née en Allemagne, de deux parents juifs, eux-mêmes nés en Allemagne, de quatre parents juifs, ces derniers étant nés en Allemagne, de huit parents juifs, etc.
Vous imaginez ma stupéfaction : "Et Hitler ?" Et elle de rétorquer : "Quoi Hitler ?".
Je lui sors la litanie : les persécutions, déportations et tutti quanti, et j'entends encore son quasi fou-rire, ponctué d'un tonitruant ! "Ach Quatsch!" ("Foutaises !").
Bien plus tard, fort d'études multiples et variées, je découvrirai que l'espionne nazie préférée d'Adolf Hitler, la sémillante Stephanie von Hohenlohe, était juive, à l'instar du général de brigade Fritz Bayerlein, aide de camp de Rommel lors de l'invasion des Ardennes, un des très nombreux officiers supérieurs juifs opérant au sein de la Wehrmacht.
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Un camp nazi, quelque part en Lettonie, années 1941 ss. Bien nourri et chaudement vêtu : le chef des Kapos du camp.
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Le genre de détails que nos pseudo-historiens de la "Shoah" et de "l'Holocauste" (un sacrifice rituel selon l'Ancien testament !) zappent systématiquement. Ce qui est vrai c'est que je n'ai toujours pas pu mettre la main sur un seul indice de l'existence de Kapos tziganes !
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Quiconque a visité le mémorial de Yad Vashem, en Israël, a dû apercevoir un dessin en tous points identique à celui-ci, à ceci près que le tortionnaire et sa victime portent au bras le même brassard, avec l'étoile et les quatre lettres ! L'auteur du dessin entendait par-là dénoncer un secret de Polichinelle, à savoir l'exfiltration, vers ce qui n'était pas encore Israël, d'un nombre conséquent de collabos des nazis.
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Je n'ai jamais avoué à ces deux filles que j'étais fils de pasteur (un des rares hébraïsants au sud du Sahara, Éthiopie et Afrique du Sud exceptées), et du coup, ni l'une, ni l'autre n'ont compris que je leur cloue le bec à chaque fois qu'il était question de religion (juive).
Je vous confirme, donc, le mépris profond que m'inspirent tous ces "juifs de pacotille", comme je les appelle aussi. Prenez cette pauvre Zohra Bitan : elle serait juive par alliance (le mari). Et comme cela arrive souvent avec les convertis, la voilà se croyant plus juive que juive, sauf que son discours sonne faux, le soutien aveugle à la politique de colonisation israélienne en Palestine étant devenu, pour les Möchtegernjuden, une sorte d'ersatz de religion.
Prenez cette autre "juive" que serait Rachel Khan, dont je me demande si elle serait capable de distinguer la Torah du Talmud (un des textes les plus débiles que j'aie jamais lus !).
Et vas-y que je re-tweete un mauvais message de Sarah El Haïry, qui se lève contre les "discours woke", elle qui n'a jamais entendu le moindre blues, sinon, elle saurait ce que ce terme veut dire, au propre comme au figuré ! Il paraît que la dame serait ministre, secrétaire d'État ou quelque chose comme ça ?
Mais
pourquoi diable de pseudo ou demi-jui(f)(ve)s et autres Möchtegern... viennent-ils s'associer à la cohorte
des neuneus que je dénonce depuis le premier épisode de cette série ?
Là-dessus, j'ai ma petite idée. Observons simplement que, souvent, les
névrosés ne s'assument jamais complètement, d'où cette propension à
"re-tweeter" la prose des autres, façon bouillie prédigérée et
régurgitée.
Observons, par ailleurs, que bien de Möchtegern...
ont la mémoire courte, donc, beaucoup de mal à assumer le fait que,
virés d'Espagne et du Portugal par les rois dits catholiques, c'est dans
l'Empire Ottoman... musulman que les juifs dits séfarades se réfugièrent en masse.
Sauvés du désastre par des nations musulmanes ! Il faut croire que plein de cuistres ont du mal à assumer ce fait indéniable, ce qui explique sans doute l'indifférence qu'ils feignent d'afficher devant le supplice du peuple palestinien, tout en se réfugiant dans le cynisme le plus abject.
Le problème, et il est de taille, c'est que la névrose, et son corollaire, la mauvaise conscience, ne sont pas des maux auto-curables : elles ne s'évacuent pas toutes seules, et elles sont du genre tenace. Pensez à ce formidable poème de Victor Hugo, qui s'achève ainsi :
L’œil était dans la tombe et regardait Caïn.
(1) Ce pauvre neuneu ne sait apparemment pas qui a chassé les Juifs d'Espagne (1492) après huit siècles d'occupation arabo-musulmane, ni pourquoi ces mêmes arabes, si friands d'esclaves, n'ont pas vendu tous ces Juifs, histoire d'en débarrasser la péninsule, et encore moins pourquoi les sultans mahométans n'ont pas eu la bonne idée d'importer des esclaves africains, histoire de développer leur agriculture, alors même que le Djebbel Al-Tariq (Gibraltar) ne se trouvait qu'à un jet de pierre des côtes marocaines !
(2) L'auteur a eu accès à l'article de l'Express, mais il ne l'a pas bien lu (Ça pour un scoop !). Par exemple, Rama Yade ne parle pas de "mini-agressions" mais de "micro-agressions", mais bon !
(3) Je me dois de signaler une archive (rarissime !) concernant un monument juif détruit en 1940, à savoir la Synagogue du Quai Kléber, à Strasbourg. Le fait est qu'on n'a jamais su par qui elle avait été incendiée.
Lectures : 01 - 02 - 03 - 04 - 05 - 06 - 07 - 08 - 09 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14
N.B. S'agissant de ce que les nationalistes chinois ont baptisé, en anglais, "The Jewish opium wars" - Les guerres juives de l'opium (source), je vous ai traduit un extrait tiré d'un document signalé plus haut (cf. lien §05) :
Il n'y a aucun doute sur l'agression gratuite qui a
marqué le début de cette guerre non déclarée, ni de la brutalité singulière avec laquelle les soldats britanniques
[et français ! n.d.t.] ont mis à sac des villes paisibles, brûlé des bâtiments publics, pillé, saccagé
et assassiné...
Il y eut beaucoup de coups de baïonnettes impitoyables. Le
sol sacré de nombreux temples fut souillé ; d'exquises sculptures en bois
furent utilisées pour des feux de camp, et les soldats britanniques [et français] ont vu des
hommes âgés, des femmes et même des enfants s'égorger les uns les autres
dans le désespoir le plus total, tandis que d'autres se jetaient à l'eau pour
se noyer.
(…) La célèbre famille Sassoon, qui est probablement la
famille juive la plus influente d'Angleterre aujourd'hui, et l'une des rares à
avoir été intime avec les trois dernières générations de la famille royale, a établi sa richesse
et son pouvoir lors des guerres de l'opium.
Prochain épisode : Leçon(s) d'Histoire