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vendredi 27 mars 2020

Lu dans la presse : mais qui donc est derrière la pandémie du coronavirus ?

Sémantique de la mésinformation

Avertissement : j'ai rédigé le texte qui va suivre, basé sur la traduction d'un article tiré de PressTV, avant de découvrir un autre article sur le même site et sur le même sujet, article que je vous invite à découvrir avant de consulter mon propre texte (traduction + commentaires auxquels je n'ai rien modifié). Si vous lisez l'anglais, ou alors savez vous servir d'un traducteur en ligne, alors vous allez trouver cet article bien plus intéressant que mes propres réflexions, car basé sur les cogitations de rien moins que d'un docteur (PhD) de l'Université de Cambridge, ce que je serai peut-être un jour si j'ai assez d'argent et un peu de temps !!! Il y est question du fameux "nouveau coronavirus" et des interrogations que tout sujet disposant d'un minimum de culture scientifique ne peut pas ne pas se poser. By the way, l'auteur de l'article est un peu comme moi : trop sûr de sa dextérité dactylographique pour se relire avant 'mise en ligne'. J'espère simplement que, comme moi, il 'mettra à jour' quelques coquilles [cf. the disease started from a market a seafood market (...), that  the novel coronavirus]   (Source)


Je suppose que ces images entrent dans la catégorie "Fake news", à en croire quelques crétins !

Ce qui suit aurait fort bien pu être rangé dans la série "Sémantique de la désinformation" ou "Sémantique de la contre-désinformation", à ceci près que c'est le genre d'article que bien des "hauts-parleurs" classeraient volontiers dans la rubrique "Fake news", à l'instar des critiques adressées naguère aux  sujets (j'en fais partie) ayant eu l'outrecuidance de mettre en doute la totalité de la doxa officielle (états-unienne) sur les attentats de septembre 2001.

Le fait est que, face aux incohérences criantes invalidant bien des aspects de la thèse officielle concernant lesdits attentats, une meute hurlante n'a rien trouvé de plus intelligent à faire que de taxer les sceptiques de "complotisme", néologisme imbécile dès lors que ses inventeurs entendent renverser la charge de la preuve !

Et quand ils n'ont pas d'argument à faire valoir, ils usent généralement d'un autre artifice : le black-out, comme dans l'affaire - pendante - des lanceurs d'alerte qui, au sein même de l'OIAC (Organisation Internationale contre l'usage des armes chimiques), entendent dénoncer la manipulation, par leur propre employeur, des rapports concernant une présumée attaque chimique intervenue sur la Douma, quartier de Damas. Là-dessus, c'est motus et bouche cousue, malgré l'insistance des lanceurs d'alertes en question. On en reparlera sans doute ailleurs.

Pour l'heure, voilà que je tombe, sur le site iranien PressTV, sur un article s'interrogeant sur les éventuels parrains ou inventeurs de la pandémie de coronavirus actuellement en cours. Détail intéressant : l'auteur de l'article n'est ni iranien, ni chinois, ni russe..., juste américain des États-Unis.

De son papier, dont je vous livre ma traduction, je retiendrais volontiers cette assertion : "Les États-Unis ont (déjà) été pris en flagrant délit de collecte de matériel génétique des Chinois, des Russes et des Iraniens.".


Mais qui donc est derrière la pandémie du coronavirus ?

La question de savoir si les poulets rentrent chez eux pour se remettre sur leur perchoir a été posée par Malcolm X. Et c'était peu de temps après l'assassinat de JFK. Malcolm X suggérait que les mêmes forces que les États-Unis avaient déployées pour tenter d'assassiner Fidel Castro, entre autres, pourraient avoir agi en retour sous la forme d'un retour de flamme, et tué le président Kennedy.

Et, bien sûr que nous savons qu'il y a une certaine part de vérité là-dedans. Aujourd'hui, nous savons que les mêmes escadrons d'assassins de la CIA qui tentèrent sans succès de tuer Castro étaient en fait impliqués dans le meurtre du président Kennedy. Les mots de Malcolm X étaient donc assez prémonitoires. Cela s'applique-t-il maintenant à la situation actuelle des coronavirus, qui voit les États-Unis sur le point de devenir l'épicentre mondial de la pandémie de COVID-19, à en croire l'Organisation Mondiale de la Santé ?

Je pense que oui, car il existe des preuves circonstancielles considérables que cette pandémie de COVID-19 soit une arme biologique que l'on a déployée contre la Chine et l'Iran, et qui ait rebondi contre ses créateurs. Les experts en matière de guerre biologique disent tous que, traditionnellement, les stratèges dans ce domaine sont toujours sceptiques à l'égard du recours à la guerre biologique précisément parce qu'elle a cette tendance à rebondir et à créer un retour de flamme.

Les virus mutent, même si vous créez un type de virus spécifique à une ethnie, ce qui peut avoir été le cas ici. Les États-Unis ont été surpris en flagrant délit de collecte de matériel génétique des Chinois, des Russes et des Iraniens. Mais le problème est que les armes génétiques spécifiques mutent. Le virus cherche constamment à trouver une meilleure façon d'infecter un groupe plus large de personnes.

Comment la Chine a-t-elle sauvé des millions de personnes menacées de mort des suites d'un coronavirus ?

La Chine a agi de manière extrêmement rapide et très proactive et avec transparence, réussissant à sauver des millions de personnes menacées de mort en raison de l'épidémie de coronavirus, explique Dennis Etler.

C'est ainsi que le virus s'attaquera généralement à des personnes qui n'étaient peut-être pas ses cibles initiales, et c'est peut-être ce qui s'est produit ici. Le gouvernement chinois le dit. Le gouvernement chinois a presque officiellement accusé les États-Unis de déployer une arme biologique.

Les médias russes l'admettent aussi comme étant un récit plausible. C'est ce qui se serait effectivement produit, selon les grands médias russes. Et en Iran, les principaux dirigeants, y compris le chef de la défense civile, voire le guide suprême lui-même, ont largement fait allusion à la même hypothèse. Nous n'en connaissons pas les détails avec certitude, nous ne sommes même pas sûrs que cette hypothèse soit correcte, mais nous devons percer le mystère.

Et à ce stade, nous n'avons tout simplement pas assez d'informations sur le coronavirus et sur les programmes d'armes biologiques. Nous savons que les États-Unis ont de très mauvais antécédents d'utilisation des armes biologiques contre des populations.

Les États-Unis ont largué plus de 100 000 bombes bactériologiques sur Pyongyang, en Corée du Nord pendant la guerre de Corée, comme cela est expliqué dans le livre de Dave Chaddock - This Must Be the Place [Comment les États-Unis ont utilisé des armes bactériologiques pendant la guerre de Corée et l'ont nié depuis]. Ils ont eu recours à un programme japonais de guerre bactériologique ayant causé des choses horribles en Chine et en Corée pendant la Seconde Guerre mondiale, et ils ont embauché les experts qui l'avaient mis au point, et ils en ont fait la base du programme américain de guerre bactériologique.

Les États-Unis ont également attaqué à plusieurs reprises Cuba avec des armes biologiques. Ils avaient en fait un plan visant à neutraliser toute la population cubaine et à en tuer au moins 20% en prélude à une invasion militaire du pays, avec des troupes, bien sûr, protégées par des vaccins et des masques lors de leur intrusion. Et le projet aurait très bien pu être validé ; cela aurait été fait si le président Kennedy ne l'avait pas arrêté.

Nous avons donc de mauvais précédents historiques. Nous avons toutes sortes de preuves circonstancielles sur la possibilité que cela soit bien une attaque biologique qui a fait l'objet d'un retour de flammes, et qui est devenue incontrôlable et affecte maintenant le pays même qui était probablement derrière l'agression. Mais nous devons savoir si tout cela est vrai.

Nous avons besoin d'une enquête internationale à grande échelle. Si nous avions eu ce genre d'enquête après le 11 septembre 2001, nous vivrions dans un monde bien meilleur aujourd'hui. Malheureusement, les mêmes néoconservateurs qui étaient derrière le 11 septembre sont très probablement également à l'origine de l'épidémie de coronavirus. Il est temps d'enquêter, de découvrir la vérité et de poursuivre les coupables.

Kevin Barrett est un écrivain, journaliste et animateur de radio américain titulaire d'un doctorat en études islamiques et arabes. Il a rédigé cet article pour le site Web PressTV. 


Un commentaire ?

Je pense qu'il serait excessif de prétendre que l'État chinois ait réagi avec célérité et transparence, puisqu'il a quand même fallu la mort d'un jeune lanceur d'alerte, médecin lui-même, pour que les autorités chinoises se réveillent enfin. Sinon, les accusations de K. Barrett sont suffisamment graves pour susciter le débat, or, là, rien ; silence radio ! Wait and see...

By the way, soit dit en passant, fort de ma petite culture scientifique ('x' années d'études de la biologie moléculaire à l'Université Louis Pasteur de Strasbourg), je puis affirmer qu'il n'y a pas d'exemple de "nouvelle pathologie" (cf. un 'nouveau virus') apparue "ex nihilo" (du néant) sans une intervention humaine. Pour mémoire : une pneumonie "atypique" en Espagne, les enfants victimes du  talc Morhange, d'autres enfants victimes du thalidomide, la crise de folie collective de Pont-Saint-Esprit, les effets de Tchernobyl, l'épandage de mercure à Minamata et, selon toute certitude, le SIDA, ce syndrome dont on peut dater avec précision l'apparition, ce qui n'existe dans aucune pathologie "naturelle" (cf. peste, choléra, apoplexie/AVC, syphilis, blennorragie, paludisme, malaria, typhus-typhoïde, tuberculose; fièvre jaune..., des maladies qui ont traversé les siècles en changeant parfois de nom) !

Et, là-dessus, je mets quiconque au défi de me citer une maladie "neuve" (= inconnue auparavant) qui n'aurait pas été le fait d'un accident ou d'un acte de malveillance voire criminel.  

J'entends d'ici l'objection : "Mais monsieur, 'coronavirus' est le nom d'une famille de virus qui n'a rien de neuve et, par ailleurs, l'origine animale semble confirmée !".

Ouais ! On nous parle du pangolin, importé en Chine, notamment d'Afrique. Dans ces conditions, qu'on m'explique comment un animal sauvage braconné en Afrique n'y a produit aucune épidémie, Ebola n'ayant aucun rapport avec le pangolin ! (1)

Cela dit, évitons de recourir aux mêmes vieilles méthodes que nous condamnions plus haut, à commencer par le renversement de la charge de la preuve (cf. Il incombe à celui qui allègue un fait d'en apporter la preuve.). Il se trouve que je ne suis pas l'auteur de l'article ci-dessus. Je me contente d'énoncer quelques évidences sur la manière dont les maladies naissent. Observons que le virus de la grippe a trouvé son vaccin, même s'il mute tous les ans. Pour l'heure, on attend encore un vaccin pour le Sida, et mon petit doigt me dit qu'il va se faire attendre encore longtemps, à l'instar du vaccin contre ce "nouveau" coronavirus... 


(1) Comme je ne suis pas complètement idiot, j'entends d'ici une autre objection : "Mais monsieur, Ebola, le SRAS, la grippe H1N1, ces histoires de pandémies provoquées par la promiscuité homme-animal (sauvage), vous en faites quoi ?". J'en pense que ça "matche" totalement avec ma théorie : j'ai dit "origine accidentelle ou intentionnelle (= criminelle)". La Chine qui interdit désormais les animaux sauvages sur ses marchés, c'est une mesure de bon sens. Il reste aux Africains d'arrêter d'alimenter leurs marchés avec du singe et autres bestioles braconnées, dont l'état sanitaire n'est pas vérifiable. Il n'empêche que si vous êtes des criminels désireux de produire des armes biologiques, la meilleure façon de dissimuler vos projets ne consisterait-elle pas à utiliser des organismes pré-existants ?! Quant à la manipulation génétique, Monsanto, par exemple, la pratique très bien avec ses OGM ! Monsanto, vous savez ? Les inventeurs de l'agent orange, balancé par piscines entières au-dessus de la jungle vietnamienne et laotienne...


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Tenez, lisez donc ça : A former American counter-terrorism specialist and military intelligence officer of the CIA has said that the “Coronavirus did not occur naturally through mutation but rather was produced in a laboratory, possibly as a biological warfare agent.”  (Source)

Autre chose ? Lisez les thèses de quelques idéologues du "complotisme" (où l'on ne démontre jamais rien, se contentant de jeter l'anathème sur les auteurs d'avis critiques ou sceptiques, attitude bien peu scientifique !).

Citation : L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) a-t-elle falsifié son rapport sur l’attaque chimique de Douma, en Syrie ? Selon WikiLeaks, des éléments de l’enquête auraient été injustement rejetés du rapport final. L’organisation de Julian Assange a publié des documents internes divulgués par deux prétendus « lanceurs d’alerte ». Un sujet complexe sur lequel il est facile de semer la confusion

Un sujet complexe, mais eux, ils ont déjà tout compris, au point de ranger les sceptiques dans la case "théorie du complot" (cf. deux prétendus lanceurs d'alertes). Questions : qui finance la nébuleuse "Conspiracywatch" ? On parie que la CIA n'est pas très loin ? (Source)


Citation 01

Officiellement l’Institut israélien effectue des recherches sur des vaccins contre des bactéries et virus, comme celles sur l’anthrax financées par le Pentagone, mais il est évident qu’elles permettent de développer de nouveaux agents pathogènes à usage guerrier. Le même expédient est utilisé aux États-Unis et dans d’autres pays pour contourner les Conventions qui interdisent les armes biologiques et chimiques. (...) C'est une petite ville de banlieue, à 18 km au sud-est de Tel-Aviv. Lorsque Israël décide, quatre ans après sa fondation, en 1952, de se doter d’un centre de recherches sur les armes chimiques et biologiques, Ness-Ziona n’est encore qu’un gros bourg de quatre mille habitants. Aujourd’hui, c’est un faubourg, avec trente mille résidents. En 1998, inquiet pour la santé de ses concitoyens, le maire s’est opposé à l’agrandissement du complexe. Sans succès. Le complexe est placé depuis toujours sous le contrôle direct du premier ministre. Que fabrique-t-on derrière les hauts murs parsemés de projecteurs et de censeurs électroniques qui cernent l’endroit ? Mystère.  » Au moins quarante-trois types d’armements non conventionnels, des virus aux toxines de champignons en passant par les bactéries et les poisons de synthèse « , affirmait une enquête du Nouvel Observateur en janvier 1994.  (Source)


Citation 02

Professeur à la faculté de médecine de Sorbonne Université, chercheur et chef du service de parasitologie à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Renaud Piarroux avait révélé que le camp des casques bleus népalais déployés en Haïti après le séisme de 2010 était bien la source de l’épidémie de choléra qui avait ravagé l’île moins d’un an après, faisant 10 000 morts. Il avait aussi proposé une approche de la lutte communautaire par des équipes d’intervention rapide, ce qui a permis d’éliminer ce fléau. Face à l’épidémie de Covid-19 en France, cet épidémiologiste de terrain plaide pour une approche ciblée sur les cas et l’application de mesures de suivi étroit des contacts. (Source)