C'est nouveau, ça vient de sortir. Déniché et traduit à partir du compte Twitter de Kim Dotcom, qui nous livre une nouvelle couche sur le sabotage de NordStream allant dans le sens des premières révélations faites par Seymour Hersh. Les éléments factuels et potentiellement vérifiables vont rendre la position de Joe Biden et du DeepState US rapidement intenable, surtout si l'on pense que ce lanceur d'alerte-ci n'est pas celui qui a informé Hersh. Autant dire que nous sommes partis pour avoir une série de témoignages concordants qui, en bonne logique, devraient conduire les parlementaires et, accessoirement, le peuple des États-Unis, à exiger une enquête approfondie sur cet acte de terrorisme inqualifiable. Par parenthèse, ceux et celles qui ne savent pas qui est Kim Dotcom feraient bien de combler leurs lacunes : l'homme est tout sauf un affabulateur et des biscuits, il doit en avoir plein les poches.
Révision en cours
EXCLUSIF. De la part d'un lanceur d'alerte au sujet du sabotage sur Nordstream2.
Je vous écris en tant que citoyen éveillé du monde, souhaitant une résolution pacifique du conflit en Ukraine. Mon identité n'a pas d'importance. Ce qui compte, c'est le partage de mon histoire afin que le monde puisse comprendre la vérité sur le sabotage du NordStream, de manière à progresser en évitant les mensonges et les inexactitudes.
Comme beaucoup d'entre vous le savent peut-être, une série d'attentats clandestins à la bombe et de fuites de gaz sous-marines se sont produites sur les gazoducs Nord-Stream-1 et Nord-Stream-2, le 26 septembre 2022. Comme il y a eu beaucoup de spéculations sur la nature de ce sabotage, je vais m'appliquer à fournir des détails et des faits supplémentaires qui livreront une image plus claire de la situation.
Avant les attentats du 11 septembre 2001, j'ai commencé à travailler avec des sous-traitants au Johns Hopkins Applied Physics Lab dans le Maryland. Nous travaillions sur l'Advanced Seal Delivery System (ASDS), un mini-sous-marin secret conçu pour les Navy Seals afin d'effectuer des missions clandestines furtives. Ce sous-marin est transporté à dos de sous-marins nucléaires et se détache pour exécuter ses missions. J'ai été choisi pour travailler sur ce projet, et mon rôle était d'aider à la programmation du simulateur grandeur nature à température contrôlée pour le sous-marin sur lequel les Navy Seals allaient s'entraîner.
Le simulateur comportait des écrans qui affichaient une simulation 3D du désamarrage de l'ASDS d'un sous-marin nucléaire, pour aller exécuter sa mission, puis retourner à quai. J'ai passé d'innombrables heures dans le simulateur, m'assurant que tout fonctionnait comme prévu. J'ai piloté le simulateur lors de missions simulées, tout comme les pilotes Navy Seal le feraient avant leurs missions réelles. Même en 2001, nous avions la capacité de programmer une variété de scénarios, y compris le sabotage de pipelines.
Bien que je n'aie pas piloté de mission simulée spécifiquement pour les pipelines Nord-Stream, j'ai simulé des scénarios de sabotage clandestin de pipelines. Je peux confirmer que les États-Unis ont cette capacité depuis des décennies, et l'ASDS est dans l'inventaire américain, entièrement capable d'exécuter le sabotage du Nord-Stream. Des enregistrements de radars accessibles ici ( flightradar24.com) devraient aider le public à faire la lumière sur la manière dont le sabotage de Nordstream a été mené.
Comme l'a exposé Seymour Hersh, les explosifs ont été posés lors des exercices maritimes Baltops 22. Bien que la spéculation demeure quant à la méthode exacte de placement des explosifs, je crois que le Advanced Seal Delivery System (ASDS) a été utilisé par les plongeurs de la Marine. Cela reflète la façon dont j'aurais mené la mission dans le simulateur.
Une fois les explosifs posés, ils pouvaient être déclenchés par une bouée acoustique. Le 25 septembre, vers 22 h 52 UTC (1), un Sikorsky MH-60R Seahawk de la marine américaine est apparu sur un radar en mer Baltique, à l'est de l'île de Bornholm. Les données radar indiquent que cet hélicoptère à la pointe de la haute technologie et équipé d'une bouée acoustique est resté en vol stationnaire pendant une durée indéterminée. À portée du site de l'explosion, le Sikorsky américain est visible sur le radar avant, pendant et après l'explosion, jusqu'à environ 1h43 UTC, lorsqu'il disparaît du radar dans la Baltique, après avoir plané pendant plus de trois heures dans l'obscurité. Cet hélicoptère était présent sur les lieux de l'explosion avant, pendant et après l'événement, équipé d'une bouée acoustique capable de déclencher l'explosion.
Par ailleurs, le 25 septembre (2022), vers 23h28 UTC, un Boeing P-8A Poseidon de l'US Navy équipé d'une bouée acoustique et de No-Callsign (sans immatriculation ou indicatif d'appel) est apparu sur le radar à l'est des îles Féroé. Ce Boeing P-8A Poseidon s'est dirigé directement vers le site de la première explosion du NordStream près de l'île de Bornholm, atteignant un point d'observation à 1h08 UTC le 26 septembre, un peu plus d'une heure après la première explosion à 00h03 UTC.
Important : Le P-8A Poseidon a décollé >AVANT< la première explosion et se dirigeait vers les coordonnées où l'explosion allait se produire.
À ce stade, le Poséidon avait terminé la première partie de sa mission, confirmant la détonation des explosifs. Il a ensuite survolé la terre près de Miastko et a rencontré un Boeing KC-135R Stratotanker de l'US Air Force pour un ravitaillement en vol à 1h20 UTC le 26 septembre. Le Poséidon a tourné avec le Stratotanker jusqu'à 2h28 UTC, après quoi il était prêt à accomplir la deuxième partie de sa mission. Il est retourné au premier site d'explosion pour observation à 02h42 UTC. Il a ensuite effectué une boucle serrée à basse altitude, vers 24000 pieds, à l'aplomb du site de l'explosion pour une observation optimale. Ensuite, il est descendu à une altitude très basse de 7275 pieds en boucles serrées jusqu'à ce qu'il disparaisse du radar à environ 3h05 UTC. À ce stade, le Poséidon a probablement largué une bouée acoustique pour lancer le compte à rebours de la deuxième vague d'explosions. Le même Boeing P-8A Poseidon de l'US Navy sans indicatif d'appel est réapparu sur le radar à 6 h 22 UTC le 26 septembre, à l'est de l'île de Bornholm. Il s'est rendu sur le site de la première explosion pour une seconde inspection à 7h00 UTC, puis est reparti et a disparu du radar vers 9h04 UTC à l'est des îles Féroé.
Après la deuxième vague d'explosions à 17h03 UTC, le 26 septembre, le Sikorsky MH-60R Seahawk original de la marine américaine a réapparu sur le radar dans la Baltique vers 18h42 UTC. Il a ensuite plané pendant plus de deux heures jusqu'à environ 20h50 UTC, moment auquel il est sorti du radar. Pendant ce temps, il a pu observer les conséquences de la deuxième vague d'explosions.
Comment les États-Unis ont-ils fait sauter les pipelines Nordstream (Preuves Radar). J'exhorte le public à examiner par lui-même les données radar accessibles au public et à assister aux événements au fur et à mesure qu'ils se déroulent, car ils sont facilement vérifiables. - Ingénieur ASDS (
Mon commentaire (Kim Dotcom) : J'ai été contacté par ce lanceur d'alerte qui m'a demandé de publier ce fil. J'ai examiné les preuves radar et cela semble bien confirmer que le gouvernement américain ait fait exploser les pipelines NordStream. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que Joe Biden a ordonné cet acte de terrorisme.
N. B. : on peut toujours consulter mes trois précédentes traductions sur le même sujet - 1 - 2 - 3
(1) Le temps universel coordonné ou UTC (en anglais : coordinated universal time) est une échelle de temps adoptée comme base du temps civil international par la majorité des pays du globe. (Wikipedia)