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lundi 2 décembre 2024

Un Juif nommé Adolf Hittler

Avertissement : j'entame ici même le rapatriement de moult de mes textes naguère affichés sur Twitter-X, réseau social qui ne m'inspire désormais que de la suspicion et que je m'apprête à abandonner incessamment. Les textes sont repostés tels quels.

 

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Message à mes chers disciples (en anglais dans les Évangiles : followers of Jesus). Sur mon profil Twitter, j'explique que j'avais tenté tantôt de mettre le compteur des "abonnés" à zéro, mais que je n'avais malheureusement pas trouvé le bouton idoine.

Je vois là des gens qui ont des dizaines/centaines de milliers de suiveurs, et qui vous pondent des tweets nuls de chez Nul, avec à peine quelques heures d'espérance de vie. Voyez la marée de merde à propos de l'hôpital de Gaza, que la soldatesque israélienne n'aurait pas visé.

Patatras ! C'est bien la même soldatesque khazar qui vise des ambulances et vient de tuer des milliers d'enfants, non ? Mais ce n'est pas de ça que je voulais vous parler. J'ai déjà eu maille à partir avec la censure sur Twitter, rapport à un coup de gueule consécutif à une arrivée massive de "migrants" à Ceuta-Melilla. Il y eut plein de noyades et j'avais tancé la stupidité de ces gens. Dix jours d'embargo imposés par la censure. Depuis pas mal de temps (années), j'écris sur la Palestine, Gaza, les Moechtegernjuden, et là, va savoir !, je n'ai jamais eu le moindre problème avec la censure. La raison ? Si, sur les "migrants" de Ceuta, j'avais exprimé un avis, sur la Palestine et les envahisseurs khazars, j'ai toujours été factuel. Donc, impossible de me contester. La suite ?

Le Mussolini allemand... Ne serait que l'instrument de puissances supérieures.

La fiche qui précède émane des Renseignements Généraux. Ces fins limiers doivent avoir senti qu'Hitler n'était qu'une marionnette, dont on comprend aisément le rôle qui lui fut dévolu par Rothschild and Co : servir de rabatteur de Juifs vers la Palestine. Un éclairage très instructif sur le sujet nous est fourni par Antony Sutton, qui démontre qu'Hitler a bénéficié du soutien massif de la banque new-yorkaise, dont on connaît pertinemment les donneurs d'ordres !

Sur mon image de profil, j'affiche la photo d'une tombe dans un ancien cimetière juif de Bucarest (Roumanie). J'avais déjà mentionné cette tombe dans un tweet. 

Pourquoi en reparler maintenant ? À cause des faits gravissimes se déroulant actuellement en Palestine. 

Et là, j'attire l'attention de tout le monde : sur ce qu'on vous a raconté concernant Hitler, les camps de concentration, etc., j'estime – retenez bien ces chiffres ! – qu'il y a 5 millièmes de vrai, 495 millièmes de faux/d'approximatif, le reste, ayant été totalement occulté.

 

Faux

Voyez les dénominations du type "camps d'extermination" ou "camps de la mort". Elles ne figurent nulle part dans les minutes du procès de Nuremberg. Ce sont des inventions tardives destinées à tromper le grand public, moyennant d'autres inventions, elles aussi absentes du procès de Nuremberg, comme ces deux escroqueries sémantiques que sont la Shoah et l'Holocauste, deux termes ne voulant strictement rien dire. 

 

Approximatif

Prenez le terme Juif. Question : qu'est-ce qu'Hitler reprochait exactement aux gens de la synagogue, sachant que lui-même avait des ascendances juives, chose que personne n'osera démentir après les archives que j'ai produites ici même ? Et c'est là qu'on découvre les fameux accords dits de Haavara, et voilà que tout s'éclaire : Hitler fut bien co-fondateur de l'État d'Israël ! 

Précision utile : un examen minutieux des diatribes "anti-juives" d'Hitler montre qu'il se servait du radical "judéo" tantôt comme préfixe (cf. Jüdisch-Maurerisch-Bolschevismus), tantôt comme suffixe (cf. Finanzjudentum), en tout cas, jamais dans une connotation renvoyant à l'obédience religieuse. 

Citation :

Wir müssen uns darüber klar sein, daß der Gegner in einem Kriege nicht nur im militarischen Sinne Gegner ist, sondern auch weltanschaulicher Gegner. Wenn ich hier von Gegner spreche, so meine ich selbstverstàndlich damit unseren natürlichen Gegner, den internationalen jüdisch-freimaurerisch gefûhrten Bolschewismus. 

Dieser Bolschewismus hat seine Hochburg natürlich in Rußland. Das bedeutet aber nicht, daß von Rußland allein die Gefahr eines bolschewistischen Angriffes droht. Mit einer solchen Gefahr ist immer von dort zu rechnen, wo sich dieser jüdische Bolschewismus einen maßgeblichen Einfluß gesichert hat. Es werden daher also zwangsläufig die Staaten oder Völker Deutschland gegenüber feindselig eingestellt sein und eine Gefahr fur uns bedeuten, die jüdisch-freimaurerisch-bolschewistisch geführt werden oder zumindest bereits stark beeinflußt sind.    

Wir müssen uns daher stets die Frage stellen: Wer kommt oder käme im Falle eines Krieges als Gegner in Frage, wer ist welt-anschaulicher Gegner, also wer steht unter jüdisch-freimaurerisch-bolschewistischem Einfluss?

Nous devons être conscients du fait que l'adversaire, dans une guerre, n'est pas seulement un adversaire au sens militaire du terme, mais aussi un adversaire idéologique. Lorsque je parle d'adversaire, je fais bien entendu référence à notre adversaire naturel, le bolchevisme international dirigé par la judéo-maçonnerie. 

Ce bolchevisme a bien sûr son fief en Russie. Mais cela ne signifie pas que la Russie soit la seule à représenter un danger d'attaque bolchevique. Il faut toujours s'attendre à un tel danger là où ce bolchevisme juif s'est assuré une influence déterminante. Les États ou les peuples qui sont dirigés par les judéo-maçonno-bolcheviques ou qui sont déjà fortement influencés par eux seront donc forcément hostiles à l'Allemagne et représenteront un danger pour nous. 

Nous devons donc toujours nous poser la question : Qui entre ou entrerait en ligne de compte comme adversaire en cas de guerre, qui est un adversaire idéologique, c'est-à-dire qui est sous influence judéo-maçonnique-bolchevique ?

Heinrich Himmler lors d'une manifestation publique en 1937 (il parle alors de Gegner/adversaire et non de Feind/ennemi). Extrait de la pièce à conviction du Tribunal de Nuremberg n° 1992 (A)-PS.

Voilà qui a l'avantage d'être très clair :  le bolchevisme et ses avatars judéo-maçonniques, le tout étant basé à Moscou. Autant dire que "juif", dans la phraséologie nazie, était un euphémisme, un mot-valise censé recouvrir diverses acceptions hormis la référence à la religion.

 

Occulté

Adolf Jacob Hitler (cf. fiche de police plus haut) avait une ascendance juive, c'est incontestable. Et ceux qui ont dissimulé ce fait au grand public sont des escrocs que nous savons capables de tout, y compris du pire. 

Oubliez ces rideaux de fumée baptisés Shoah ou Holocauste ! La mafia sioniste avait besoin de cohortes de Juifs pour peupler la Palestine et elle a fourni à Hitler les (bons) alibis (appels au boycott, assassinats de diplomates allemands, etc.) pour le pousser à persécuter les Juifs d'Allemagne, d'abord, ceux de l'Europe occupée ensuite, afin d'en contraindre un maximum (les plus aisés !) à émigrer, non pas vers l'Ouest (U.K., USA : tout fut entrepris pour l'empêcher) mais vers l'Orient, en clair, la Palestine. 

Mars 1933. "La Judée déclare la guerre à l'Allemagne.", pas à Hitler, pas au nazisme ! Hitler vient à peine d'être nommé chancelier qu'il envoie la gauche allemande à Dachau, tout en engageant des pourparlers (secrets) avec les activistes juifs allemands afin de recruter un maximum de quidams prêts à s'installer en Palestine. Ce sera l'accord de Havaara, abondamment célébré (donc pas si secret que ça !), notamment par le biais d'une médaille commémorative qu'on peut voir ici.

Vous commencez à comprendre ? En traitant Benjamin Mileikovsky de nazi sans prépuce, Guillaume Meurice, sur France Inter, a tapé dans le mille. Israël est un État suprémaciste créé par des complices d'Adolf Jacob Hitler, lui-même d'ascendance juive. Et il y a fort à parier que les deux Allemands qu'étaient David Grün (vert en allemand), connu plus tard sous le pseudonyme de Ben Gourion, et Chaim  Weizmann, premier président de l'État sioniste, avaient participé aux négociations avec Hitler ayant conduit à l'accord de Havaara.

L'éternel lamento autour de la victimisation fut un paravent bien commode servant à justifier l'injustifiable, comme on peut le voir actuellement en Palestine. Nous avons affaire ici à un cynisme rarement affiché dans l'Histoire. Cinq millièmes de vrai. Tout le reste est faux, approximatif ou occulté. Ces gens nous mentent parce qu'ils ne savent faire que ça ! 

Face à l'ignominie se déroulant actuellement en Palestine, les solutions existent pourtant. Ex. : les pays africains ne se débarrassent du colonialisme que longtemps après 1945. En Droit, les pays non alignés peuvent et doivent décider d'une révocation de la résolution n° 181 ayant dépecé la Palestine. 

1) Le Droit International se veut relatif. En clair, un État n'est engagé internationalement que pour les traités qu'il a dûment ratifiés. L'ONU de 1945 ne comportait que 45 États. La résolution n°181 ne concerne en rien les quelque 150 États ayant rejoint l'Organisation depuis 1945. 

2) Les pays composant l'ONU en 1945 ne pouvaient légalement disposer que de territoires leur appartenant, ce qui n'était pas le cas de la Palestine (Inutile de revenir sur la Déclaration Balfour, sans valeur en Droit International). Ce qui veut dire que le dépeçage par ces 45 États (en fait 33 ayant voté pour) d'un territoire ne leur appartenant pas, de surcroît, sans prendre la peine d'en consulter les habitants, constituait une violation flagrante du sacro-saint principe du Droit des Peuples à disposer d'eux-mêmes. 

3) Contraindre un pays occupé à reconnaître son bourreau, comme ce fut le cas lors des pantalonnades de Camp David et Oslo constituait une autre violation flagrante du consentement des Palestiniens, dès lors qu'aucune négociation équilibrée ne saurait intervenir entre un occupant et un occupé. Pour les raisons qui précèdent, la résolution onusienne n°181 portant partition de la Palestine historique doit être déclarée nulle et non avenue, avec effet immédiat : l'exclusion d'Israël - État bâti sur le mensonge et la purification ethnique par des gangsters racistes et génocidaires -, de toutes les instances internationales. Par chance, la jeunesse mondiale commence à bouger.

Les suprémacistes khazars entendent aller jusqu'au bout de leur projet diabolique : faire main basse sur toute la Palestine, profitant de la lâcheté et de la couardise de la Pourriture Internationale ? Ils s'imaginent peut-être que nous allons nous taire !? 

L'Afrique ? Est-ce qu'il y a un seul être à peau sombre sur Terre, qui n'ait pas connaissance de ce que sont le suprémacisme et le racisme ? Et pourtant, ce continent roupille ! Hormis l'Afrique du Sud et les pays du Grand Maghreb, rien que de l'attentisme et du "surtout pas de vagues".

Les athlètes des pays non alignés (sur le Deepstate US) devraient annoncer leur intention de ne pas participer à des compétitions internationales aux côtés de sportifs israéliens, dont la plupart ont déjà participé à des ratonnades, voire à des tueries en Palestine occupée. La solidarité du monde libre a permis de terrasser l'ogre suprémaciste afrikaner, il y a vingt ans, et elle serait incapable de venir à bout de l'ogre suprémaciste khazar aujourd'hui ? Pour ma part, je n'achète rien qui provienne d'Israël, tout en considérant que le mouvement BDS est un gigantesque fiasco, en raison de son caractère illisible (ça veut dire QUOI B-D-S quand on voit que le "I" d'Israël a été soigneusement escamoté ?), allez savoir pourquoi ! Prenez un autre slogan : Black Lives Matter, limpide et facile à comprendre !

 

Spéciale dédicace 

Chers @elonmusk et@KimDotcom, je possède l'intégrale des minutes du procès militaire de Nuremberg (1946), document quasiment introuvable aujourd'hui, sauf dans de rares bibliothèques nationales. Cette masse de plusieurs dizaines de milliers de feuillets mérite d'être numérisée pour être mise en ligne et y être consultable gratuitement.

Ci-dessus : la Juive Stella Goldschlag travaillait pour la Gestapo. Un simple coup d'œil dans mes archives (ci-dessous l'intégrale des minutes du Tribunal International de Nuremberg, 1946) permet de prendre la mesure des mensonges colportés par un ramassis de pseudo-historiens. Des indices ? Ex. les termes "Shoah", "Holocauste", les expressions "camps d'extermination",  "camps de la mort"  n'y figurent nulle part. 

Autre chose : dans la rubrique "Occulté", où l'on apprend que, parmi les tortionnaires (kapos) de bien des camps nazis, il y avait des Juifs.


Hitler devait détester les Juifs, au point d'avoir aryanisé moult officiers supérieurs juifs, s'être choisi une princesse juive comme espionne et s'être entiché platoniquement pour une blondinette juive prénommée Rosa.

Sinon, il y avait à Auschwitz un service du courrier !    Ce n'est pas une blague ! Les esclaves d'IG-Farben exploités à Auschwitz pouvaient envoyer et recevoir du courrier, voire recevoir de l'argent ! Quand je vous dis 5/1000èmes de vrai, je pense être très en-deçà de la vérité !



jeudi 21 février 2019

Réflexions sur ce que d'aucuns appellent "antisémitisme" #2


Les Juifs primitifs étaient un peuple sémite (Alfred Cort Haddon, Races humaines, trad. par A. Van Gennep, 1930, p. 44). (1)

Épisode §2. Dis papa, c'est quoi un sémite ?
- Euh, à vrai dire, euh, en fait, euh, je vais plutôt te dire ce qu'est un antisémite.
- Tu veux dire qu'il y a des antisémites mais pas de sémites ?
- Ben, ah, tu m'embêtes avec tes questions ! 
- En fait, tu ne sais pas ! Si c'est comme ça, je vais demander à maman.
- C'est ça, demande à maman !
Rigoureusement authentique !

Quiconque a déjà été en contact régulier avec des enfants, voire des adolescents, a dû être confronté à ce genre d'interrogation sur une multitude de sujets, avec l'obligation de devoir "assurer" face à des questions insistantes comme les jeunes aiment à en formuler.

Et puis vous avez cet accélérateur de particules qu'est l'Internet, qui n'est pas que musiques, jeux et vidéos, mais est surtout une incroyable bibliothèque et une formidable base de données que les gamins inspectent rageusement du bout des doigts sur l'écran de leur portable, voire derrière celui de leur ordinateur, ce qui vous vaut d'entendre des choses dans le genre : "monsieur, monsieur, regardez ce que j'ai trouvé sur le net.". Et là, on vous montre des sites ignorés de vous-même, en vous refilant le lien...

J'ai comme l'impression que bien de nos contemporains relativement âgés (j'insiste sur le relativement, dès lors que ce n'est pas qu'une question d'âge) ne semblent toujours pas avoir compris qu'avec l'Internet démocratisé, nous avions définitivement changé d'époque !

Prenez une aire de jeux, comme  il y en a des centaines dans les cités de la banlieue, ou une salle de sports quelconque, avec des jeunes y entrant ou en sortant, la plupart "issus de l'immigration", comme on dit à la télé. 


Et là, vous repérez trois ou quatre spécimens dits 'Beurs', à qui vous lancez, sur l'air de la plaisanterie : 
- Alors, comme ça, vous êtes des antisémites ?!
Éclats de rires garantis !
- Mais, monsieur, c'est nous les sémites ! 
- À la télé, ils disent n'importe quoi !
Et là, je les relance : 
- Ah, parce que vous regardez la télé maintenant ? 
- Euh, ben pas vraiment. Nous on regarde surtout la télé du bled, mais, de temps en temps, pour le foot ou des choses comme ça, on regarde les chaînes françaises... 
Par parenthèse, il faut savoir que la grande majorité des populations allogènes de France que je fréquente depuis quelques années ne regardent presque jamais la télévision française, préférant les chaînes de leur pays d'origine. Et la chose ne date pas de l'ADSL mais de l'avènement de la transmission par satellite (Arabsat, Eutelsat, Astra, Nilesat, Hotbird...). Mais, bien évidemment, l'ADSL a accéléré les choses et fait que j'ai de plus en plus l'impression que les populations immigrées, en France, tournent littéralement le dos à leur pays d'accueil, étant souvent mieux informées sur le temps qu'il va faire à Marrakech, Antalya ou Oran... qu'à Sarcelles, Montreuil ou Mantes-la-Jolie ! 

Mais cela permet également de comprendre à quel point ces jeunes sont parfaitement renseignés sur ce qui se passe ailleurs qu'en France, notamment dans le monde arabe. À titre d'exemple, sur mon boîtier ADSL j'estime que - compte tenu du nombre de chaînes de télévision disponibles - la première langue est le chinois,  suivi de l'arabe et du turc, bien avant l'anglais. Et il suffit de se positionner sur une chaîne "arabe" pour constater que rien de ce qui se passe dans le monde arabo-musulman et, singulièrement en Palestine, n'échappe aux téléspectateurs.

Vous n'avez pas tout compris ? Alors je vais le dire autrement : les média "mainstream" occidentaux ont beau "sucrer", c'est-à-dire édulcorer voire censurer les informations en provenance de Palestine, il se trouve que rien de ce qu'endurent les Palestiniens, soumis à l'occupation, à la spoliation des terres et à l'apartheid israélien, n'échappe désormais à la foule arabe.

Ça vous donne des populations à la conscience politique et sociale particulièrement aiguisée lorsqu'il s'agit de certains sujets. Autant dire que ce que les politiciens et autres politicards de la Ligue dite arabe n'ont pas été en mesure de réaliser depuis des décennies, la télévision par satellite et l'ADSL sont en train de le réussir : la mondialisation dans sa composante "panarabique" (langue véhiculaire voire maternelle, politique, cinéma, littérature, chanson, gastronomie, dessins animés, géographie, histoire, culture, archéologie, tourisme, sports [cf. le Qatar victorieux du Japon lors de la dernière coupe d'Asie de football, dont Israël a été exclu...], l'islam étant un élément important - cf. les chaînes dédiées au Coran et à la pratique religieuse -, mais nullement hégémonique, du puzzle.).

Et que ceux et celles qui n'ont toujours pas compris aillent inspecter les bouquets de chaînes présents sur leur boîtier ADSL et s'amusent à faire le décompte des chaînes en fonction la langue parlée...

Ce qui me permet d'affirmer, depuis mon petit "chez moi", que, grâce aux nouvelles technologies de l'information et à la télévision mondialisée, la nation arabe est visiblement en train de se positionner comme étant la deuxième dans le monde, derrière la Chine, et probablement la première en termes de diversité géographique, la nation chinoise - hormis la diaspora - n'étant basée que dans deux voire trois pays ! 

Vous avez compris que pour, disons 99 % des jeunes "Beurs", cela s'accompagne d'une nouvelle prise de conscience d'eux-mêmes - cf. les opportunités offertes aux diplômés d'émigrer au Qatar, à Dubaï et dans tous les pays émergents de la mosaïque arabo-musulmane - qui explique largement des revendications identitaires du type : "les vrais sémites, c'est nous, les Arabes !" ?  

Autre chose : est-ce parce qu'ils savent à quoi s'attendre de la part de ces populations que nos "grands" médias les snobent ostensiblement ? Sinon, qu'on m'explique pourquoi il est si difficile à des "journalistes" ayant pignon sur rue de se rendre dans telle ou telle cité à forte concentration populaire pour y interroger les habitants, notamment les plus jeunes. Ce qui n'empêche nullement les mêmes "grands" journalistes de nous pondre régulièrement, qui un reportage sur le salafisme dans les cités, qui un autre reportage sur la montée du communautarisme, tous ouvrages puant le bidonnage à mille lieues à la ronde ! (2)

Du coup, je rassure tout le monde, en tout cas tous ceux qui ne mettent jamais les pieds dans ces quartiers peuplés d'"immigrés" et de leur descendance : au moins 99 % des jeunes "Beurs" ont parfaitement conscience de leur appartenance à la grande famille sémitique. Et que ceux et celles qui en doutent fassent comme moi et aillent enquêter sur le terrain - en rencontrant les vraies gens autrement qu'avec des caméras planquées -, à ceci près que moi, je vis depuis une bonne vingtaine d'années maintenant dans des cités à forte population d'"origine immigrée" de la banlieue parisienne, après avoir bien connu les quartiers populaires de Schiltigheim, Neudorf et autres Illkirch, près de Strasbourg. 

J'ai découvert ce qui suit grâce, précisément, à des jeunes littéralement excités par ce qu'ils avaient déniché sur un site israélien, selon lequel "les Arabes ne sont pas des sémites" !


Source

Entre nous, tout ça est bien brouillon, Madame Bridfer étant visiblement une ashkénase, soit une "allemande", en hébreu. Mais ce n'est pas cela qui explique la médiocrité de son travail. Il se trouve que cette personne ne maîtrise pas grand chose et écrit à peu près tout et n'importe quoi, comme cette opposition (ineptie quand tu nous tiens !) entre 'arabe' et 'juif' !

Par ailleurs, il faut une sacrée dose de névrose à des "Allemands" et autres "Slaves" pour vouloir, mordicus, se faire passer pour plus sémites que les "vrais" sémites, comme les jeunes évoqués plus haut se caractérisent eux-mêmes.

Les jeunes ? Les jeunes !

Sofia Aram fait-elle partie des "jeunes" ?

Question subsidiaire : Sofia Aram, humoriste sur France Inter, fréquente-t-elle seulement les quartiers populaires que j'évoque plus haut ?

Il se trouve que cette personne, qu'il m'arrive d'écouter sur cette radio gouvernementale, disons publique, pour ne vexer personne, s'est fendue d'une chronique sur l'agression "antisémite" qu'aurait subie (le pseudo-philosophe)  Alain Finkielkraut, l'autre samedi. Et Aram de s'étonner que l'agresseur (présumé) ose traiter le (pseudo-) philosophe d'antisémite.

Citation (précision utile : j'ai transcrit à la volée la chronique en question, avant de me rendre compte qu'il en existait déjà une version écrite/voir lien plus bas. Néanmoins, j'ai tenu à conserver ma propre transcription.) :
... en marge du 14ème volet des manifestations des Gilets jaunes à Paris, un groupuscule d'hommes en jaune est tombé nez à nez sur Alain F. Cette rencontre du 3ème type entre quelques énervés en fluo et l'académicien suscita chez les premiers un déluge d'insultes clairement antisémites, parmi lesquelles "Barre-toi, sale sioniste, rentre à Tel Aviv !", autres "Bâtard, nique ta mère, saloperie, dégage, tu vas mourir !", etc. 
(...) Et puis soudain, dans ce déferlement ininterrompu de haine, de vociférations accablantes, de racisme décomplexé, d'intimidations et de menaces, ceci... 
Brouhaha ... "espèce de haineux !..., nous sommes le peuple !" 
Oui, oui, vous avez bien entendu : l'un des agresseurs du jour, les joues rosies par le soleil clément de cette journée radieuse, vient de faire une entrée fracassante dans le monde des idées et certainement dans les annales des maladies neuro-dégénératives et psychiatriques en nous offrant ce moment d'anthologie qui consiste à insulter l'auteur de la Défaite de la pensée en le traitant d'antisémite. 
À ce niveau, on frise l'art contemporain ; une sorte de mise en abîme par l'utilisation du terme "antisémite" pour désigner le récipiendaire de l'insulte par le mot-même dont ce dernier serait en droit de se prévaloir pour qualifier les propos de son agresseur. Pris de vertige devant la profondeur abyssale de l'incohérence du locuteur, on se perd en conjectures : l'a-t-il fait exprès ? Sa langue a-t-elle fourché ? Est-il sujet à l'aphasie jargonnesque ?  Ben, pas du tout ! Il poursuit sur sa lancée en se jetant dans le vide de sa pensée en traitant le philosophe de racisme, de haineux, tu es un "naineux", tu vas mourir, tu vas aller en enfer, Dieu va te punir, le peuple va te punir... 
Il faut se remettre (sic !) à l'évidence : il s'agit d'un antisémitisme d'un nouveau genre, qui consiste à qualifier son agresseur de ses propres actes. Ce sinistre individu est bel et bien en train de vomir sa haine en traitant Finkielkraut de haineux, ce qui techniquement ouvre la perspective à tous les violeurs qui pourront à loisir traiter leurs victimes de violeuses ou de violeurs, à Marc Dutroux de traiter ses victimes de pédophiles. 
Ce qui est remarquable, c'est que dans sa lancée, il n'oublie pas de terminer son propos par la menace divine et la vengeance du peuple. Tout est là ; l'indécence du propos est telle qu'il embarque avec lui, en plus de l'antisémitisme, du racisme, de l'insulte et de la menace tous les naufrages de l'époque, et le tout avec l'indécrottable certitude qu'il représente Le peuple. C'est à se demander qui a bien pu lui mettre cette idée idiote dans la tête, mais ce que je sais, c'est que visiblement, ça lui a donné des ailes. 
Ci-dessous  un extrait du texte de Sophia Aram tel que publié sur le site de France Inter (allergique aux fautes de syntaxe, je me suis permis l'une ou l'autre rectification en rouge ou entre parenthèses) :
(...) Cette rencontre du troisième type entre quelques énervés en fluo et l'académicien suscita, chez les premiers, un déluge d'insultes clairement antisémites parmi lesquelles beaucoup de "barre-toi !", de "sale sioniste !", de "rentre à Tel-Aviv !" et autres "nique ta mère !", "bâtard !", "saloperie !", "dégage !", "tu vas mourir !". Pendant qu'un gilet jaune éloigne gentiment le philosophe qui fit preuve d'un stoïcisme patelin qui force le respect, tant il eut (eût !!!) été compréhensible - voire carrément réjouissant - que l'auteur de “Nous autres modernes : (en) quatre leçons“, finisse par leur en inculquer une cinquième en leur faisant bouffer leur gilet jaune. (Source)
Observons, en passant, que, de l'aveu même de Sophia Aram, il s'est trouvé un Gilet Jaune pour "éloigner gentiment" (= le contraire de "méchamment") le philosophe"...

Mais le plus important est ailleurs et concerne "le déluge d'insultes clairement antisémites...".

Et là, je mets quiconque, à commencer par Sophia Aram, au défi de me citer un seul mot, une seule expression de l'énumération figurant plus haut, qui relèverait de l'anti-comment-déjà ? - sémitisme ?!

Observons, par ailleurs, que, malgré une excellente ouïe, Sophia Aram n'a entendu aucun "Sale juif !" dans le bobino sonore agrémentant sa chronique ! 

Chère Sophia Aram, comme je vous comprends ! Comment faire autrement, quand on est la petite "beurette" de service, dans cette grande radio gouvernementale, pardon ! publique qu'est France Inter, et alors que tout le monde vous scrute en attendant de voir et d'entendre ce que vous allez (forcément) dire sur l'affaire de l'agression, euh, (forcément) antisémite dont fut victime le (forcément) immense, intelligent, admirable... philosophe qu'est Alain Finkielkraut ?
Pendant qu'un gilet jaune éloigne gentiment le philosophe qui fit preuve d'un stoïcisme patelin qui force le respect tant il eut été compréhensible - voire carrément réjouissant - que l'auteur de “Nous autres modernes en quatre leçons“, finisse par leur en inculquer une cinquième en leur faisant bouffer leur gilet jaune.
Quel admirable petit numéro de flagornerie, dont on se demande s'il est vraiment sincère (flagornerie/sincérité, bonjour l'oxymore !), sachant que tout le monde, dans la grande maison ronde, vous attend au tournant ! 

Par parenthèse, mes petits camarades de la cité voisine étaient, comment dire ?, morts de rire en entendant la chronique, leur principal commentaire étant : "Elle nous fait une Malek Boutih !", M.B. étant un ex-président de l'association anti-raciste SOS-Racisme, et qui s'est forgé de solides inimitiés au sein des jeunes "Beurs" et, plus généralement, de la jeunesse délaissée des quartiers "difficiles", comme on dit à la télé.

Les plus méchants des commentateurs ont carrément employé le mot "harki", en référence à ces Algériens assez naïfs pour prendre les armes aux côtés des troupes coloniales françaises, avant de finir comme chacun sait... Et voilà notre Sophia Aram rhabillée pour l'hiver ! (Lecture)

Mais, en règle générale, les gosses ne sont pas dupes, qui admettent que, pour des raisons purement tactiques, on puisse dire des choses, tout en n'en pensant pas moins ! Parce que, dans les faits, il est (serait) impossible de ne pas penser comme Mennel, ou encore comme Bilal... (par parenthèse, je ne regarde jamais les variétés à la télévision ; du coup, je ne connaissais ni Mennel ni Bilal), qui n'ont fait qu'exprimer, via des tweets, ce que tous les Arabes, sans exception - sous entendu, y compris Sophia Aram -, pensent de certains sujets, comme la Palestine... Alors, au diable les contorsions de l'humoriste de France Inter, qui ne doit pas penser un seul mot de ce qu'elle a dit l'autre jour sur Finkielkraut. Et, du coup, ces jeunes se montrent fort compréhensifs.... En tout cas, pour l'heure, Sophia Aram a droit au bénéfice du doute.

Vous savez quoi ? Les discussions avec certains adolescents me plongent toujours dans des crises de grande hilarité !

Mais je n'oublie pas l'essentiel : être sémite ou pas : je doute que Sophia Aram, voire les journalistes de France Inter, voire les journalistes français et mondiaux dans leur ensemble, me trouvent un seul universitaire, spécialisé dans les langues et civilisations orientales, qui prétende que "sémite" renvoie à "juif", tout en excluant les Arabes et peuples voisins ou assimilés.

Le fait est que le fils d'émigrés polonais qu'est Finkielkraut est un (germano)slave ou slavo-germain (cf. 'Kraut' : plante, herbe en allemand), tout le contraire d'un sémite. Par voie de conséquence, un slave, un allemand, ou un bantou... peut fort bien être antisémite, quoi qu'en pense la très imprudente Sophia Aram !

Autre chose : l'autre samedi, on a également entendu des "Palestine, Palestine", curieusement absents du bobino de Sophia Aram sur France Inter (!). Les Palestiniens étant de parfaits sémites, force est d'admettre que celui qui crie sa solidarité avec les Palestiniens est forcément un philosémite. Non !? Demandez donc à Dieudonné ce qu'il en pense...

Parce qu'il va vous falloir vous munir d'un gros dictionnaire pour me démontrer que les Palestiniens ne sont pas des sémites !

Pour preuve de la couardise de nos "grands" média, aucun d'eux n'a osé, à ce jour (Dieu sait pourtant que ce ne sont pas les spécialistes qui manquent, à la Sorbonne, à l'Ecole Normale Supérieure, au Collège de France et ailleurs), convoquer tel expert ou universitaire pour tirer au clair cette question liée au supposé "antisémitisme" de certaines populations arabo-musulmanes.

Ce qui explique que des politiciens et autres politicards incultes, stupides ou malveillants continuent de nous bassiner avec la nécessaire lutte contre le fameux anti-machin-truc-tisme, avec moult trémolos (surjoués) dans la voix, mais sans y croire le moins du monde, tant ils savent que, sur la question, ils ont tout faux !

Et dire qu'il suffirait de lire un peu. Et là, pour faire simple, on ne va pas citer tel ou tel expert, dont les ouvrages (difficilement accessibles) sont disponibles à la Bibliothèque Nationale ! Contentons-nous de choses relativement faciles d'accès, car disponibles en ligne (mais on évitera quand même Wikipédia !).

Prenons ce qui suit :
L'adjectif « sémitique » a été forgé par l'orientaliste allemand A. L. Schlözel dans le tome VIII (1781) du Repertorium für biblische und morgenländische Literatur de J. G. Eichhorn, pour désigner des langues dont la parenté était perçue dès le Moyen Âge par les docteurs juifs : l'hébreu, l'araméen et l'arabe. L'appellation était choisie par référence au « tableau des peuples » de la Genèse (X) où Sem, fils de Noé, est donné comme le père d'Abram et l'ascendant d'Eber, éponyme des Hébreux, ainsi que de Yoqtan, ancêtre de diverses populations d'Arabie. 
Cela est purement conventionnel, puisque le texte biblique range parmi les descendants de Sem les Élamites et les Lydiens, dont les langues n'étaient pas sémitiques, et, en revanche, fait des Cananéens des enfants de Cham, alors même que l'hébreu est défini ailleurs (Isaïe, XIX, 18) comme la « langue de Canaan ». Néanmoins, l'usage s'en est universellement répandu et le terme « Sémites » a été appliqué à tous les peuples parlant ou ayant parlé des langues sémitiques, peuples qui ont joué un grand rôle dans le Proche-Orient asiatique dès l'aube de l'histoire et auxquels le monde actuel est redevable de l'écriture alphabétique et des trois grandes religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l'islam. Le critère linguistique est le seul qui permette de définir avec certitude une famille sémitique et de postuler une unité préhistorique des Sémites. 
L'hypothèse d'une origine commune des peuples sémitiques est d'autant plus vraisemblable qu'à la différence des Indo-Européens ou des Ouraliens ils ont occupé une aire continue et bien délimitée comprenant la péninsule arabique, la steppe syro-arabe et ce que l'égyptologue américain J. H. Breasted a appelé le « Croissant fertile », à savoir la côte orientale de la Méditerranée depuis le Sinaï jusqu'au Taurus, la Syrie du Nord et la Mésopotamie. (Source)

Cela dit, soyons précis, et évitons les références vasouillardes à tel ou tel fatras mythologique (cf. la Bible !) : l'Université se fonde essentiellement sur des critères factuels (biologiques, cf. l'ADN ou linguistiques), les seuls qui se laissent facilement analyser d'un point de vue scientifique ; voyez les langues bantoues en Afrique, slaves, finno-ougriennes, indo-européennes, latines, germaniques, etc...
Le critère linguistique est le seul qui permette de définir avec certitude une famille sémitique.
Voilà qui a le mérite d'être clair, non ?!

Et puis, comment passer sous silence (ce que les théoriciens de la lutte contre l'"antisémitisme" se complaisent à faire) la thèse iconoclaste - mais pas tant que ça - d'un Shlomo Sand ?

Source
Vous comprenez maintenant pourquoi tant de dirigeants israéliens, à commencer par les plus emblématiques, se sont empressés de troquer leur patronyme germanique, slave, ou encore khazar en patronyme hébraïque !

Une colossale imposture, sous nos yeux ou presque ! 

On résume ?

L'usage abusif du terme "antisémitisme", utilisé à la manière d'un euphémisme (3), c'est-à-dire, sans jamais définir ce que serait le "sémitisme", constitue une double escroquerie intellectuelle dans la mesure où :
  • il se réfère à une religion et non à une langue, et ce, pour mieux...

  • exclure du champ lexical tous les groupes (hormis l'hébreu : ougaritique, araméen, arabe, sudarabique, éthiopien, guèze, amharique...) relevant bel et bien du "sémitisme" sur la base du seul critère scientifique acceptable, à savoir celui de la langue.

Ce qui veut dire que nous avons là des commentateurs (du type 'imprécateur' ou 'vociférateur') bien imprudents, ou tout simplement cyniques, qui prétendent nier à diverses langues, dont la plus importante : l'arabe, leur caractère sémitique. (Lien)

Ne soyons, donc, pas surpris de voir que, depuis le temps, les innombrables campagnes contre ledit "anti-machin-truc-tisme" aient été irrémédiablement vouées à l'échec car bâties sur le mensonge, à l'instar de châteaux sur du sable !

Pour re-citer notre bon Raymond Devos, trois fois rien fois trois fois rien, ça fait rien de neuf !




(1) Les Juifs, une race (et non pas une religion) !? Depuis les temps anciens, certaines théories ont considérablement évolué !

(2) J'ai encore dans l'oreille telle interview de deux journalistes parisiens ayant supervisé un ouvrage dédié au "communautarisme" de qui vous savez. Ils y évoquaient - comme preuve de la poussée communautariste - les mots d'une observatrice apparemment expérimentée, s'étonnant de la concentration de restaurants hallal dans des quartiers entiers. Et moi de rire aux éclats, en regrettant que cette personne ainsi que son "jeune" intervieweur ne connaissent pas des quartiers parisiens comme le Marais, avec ses restaurants et épiceries casher, ou Belleville, où falafels et couscous ont été progressivement évincés par le pâté impérial et le canard laqué, ou encore le bas du 13ème arrondissement [Avenues et Portes d'Ivry, de Choisy...], avec ses enseignes parfois libellées à 90 % en kanjis !


(3) La raison d'être d'un euphémisme est d'édulcorer un propos, voire de le travestir, dans le but de mentir, sans donner l'impression de mentir, mais tout en mentant ! Prenez le fameux euphémisme "Shoah", dont nous reparlerons ailleurs, et dont "l'importateur" - qui ne lisait ni ne parlait l'hébreu ! - avouait, sans rire, qu'il se l'était approprié sans (même) en connaître la signification !


Lecture 01 : C'est parfois tiré par les cheveux, avec une syntaxe pas toujours rigoureuse, mais c'est globalement intéressant. Problème : les citations, ex. Dans l’édition de 1960 de l’Encyclopedia Judaica on trouve ces faits : En 1960 il y a 500. 000 juifs d’origine hébraïque dans le monde. Les Ashkenazim ou juifs Khazars sont au nombre de 11 millions.  C'est là qu'on aurait aimé lui dire : "Hola, camarade, un peu de méthodologie, que diable ! Quand on cite..., on n'oublie pas de référencer la citation (ex. édition, page) ! 

Lecture 02 : (à peu près le même commentaire que précédemment, hormis sur la syntaxe !)

Lecture 03 : si seulement cette Mme Bridfer, citée plus haut, s'appliquait à lire des études sensées, exemptes de toute idéologie, au lieu de déblatérer sur tout et n'importe quoi sur son blog, elle découvrirait, par exemple, des choses intéressantes comme celle-ci (s'agissant du gag selon lequel on est juif par la mère...) :
L’ADN mitochondrial, contenu dans les organites cellulaires nommés mitochondries, est transmis uniquement par les mères (seul l’ovule transmet ses mitochondries à l’œuf et à la descendance ; le spermatozoïde ne transmet que son noyau). Il reflète donc la lignée maternelle. Un autre marqueur génétique intéressant à utiliser est le chromosome Y : il n’est présent que chez les hommes et reflète donc la lignée paternelle. Un avantage important de l’utilisation de l’ADN mitochondrial et du chromosome Y dans les études génétiques est que ces deux matériaux ne sont pas soumis au phénomène de recombinaison homologue (un brassage génétique) entre chromosomes maternels et paternels. 
M. Richards et ses collègues ont utilisé un ensemble de données sur l’ADN mitochondrial bien plus nombreuses que dans des travaux précédents d’autres équipes. Ils ont trouvé que plus de 80 pour cent des ADN mitochondriaux modernes des juifs ashkénazes ont une origine européenne, qu’une petite proportion de ces ADN proviennent du Proche-Orient, et que pratiquement aucun ne semble provenir du Caucase Nord. En d’autres termes, la lignée maternelle des juifs ashkénazes remonte principalement à l’Europe occidentale préhistorique ! 

Lecture 04
"Ashkenazim are quite distinct from their Mediterranean and Middle-Eastern co-religionists in the incidence of the disease and in the mutations responsible... The genetic family tree of Jews from different parts of Europe shows that they are not a unique group, biologically distinct from other peoples around them. There is, though, evidence of common ancestry that gives Jews at least a partial identity of their own. In most places, there is overlap between the genes of the Jewish population and those of local non-Jews. There has been interchange; sometimes through recent marriage, but more often as a result of mating long ago.... The Y chromosomes of Jews are - unsurprisingly - not all the same; the idea of the sons of Abraham is a symbolic one. They do show that many males, some only distantly related to each other, have contributed to the genes of European Jewry. On the average, most Jewish populations contain more diversity for male lineages than for female (whose history is recorded in mitochondrial DNA). This means that there has been more invasion of the Jewish gene pool by the genes of non-Jewish men than of women. The Y chromosomes of Jewish men from the Balkans are rather unlike those of other European Jews, perhaps because there was more admixture in this unstable part of the world." [Steve Jones. In the Blood: God, Genes, and Destiny. Flamingo, 1997. Excerpts…]