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dimanche 31 août 2025

Un secret de Polichinelle : l'accord de Havaara (1933) entre Hitler et les sionistes

Avertissement : ce qui suit est la reproduction quasi-intégrale (moyennant la révision de nombreux "hashtags" propres à un fameux réseau social) d'un texte paru sur l'ex-Twitter, ce réseau dit social racheté par qui-vous-savez, et qui a pris la fâcheuse habitude de censurer mes textes, les rendant partiellement inaccessibles, voire faisant disparaître des paragraphes entiers, le tout moyenannt une flopée de notifications relative à un prétendu "hateful conduct" (comportement haineux). Le fait est que ledit "comportement haineux a toujours visé le massacre actuellement en cours en Palestine illégalement occupée par un Etat terroriste créé par des margoulins, le tout avec l'aimable complicité d'un certain Adolf Jacob Hitler, dont le grand public finira, tôt ou tard, par découvrir qu'il fut un agent du sionisme, chargé de terroriser un maximum de Juifs européens, afin de la pousser à émigrer non pas vers l'Ouest mais bel et bien vers la Palestine. Les faits dont je fais état étant difficilement contestables, je comprends la panique qui s'est emparée d'un certain nombre d'officines et c'est, donc, par précaution, que j'ai entrepris de réafficher ici même moult textes parus sur X et sauvegardés sur ordinateur.

Le génie de l'Internet 2.0. Nul besoin d'avoir des millions de gogos convertis en groupies pour être un leader d'opinion. Par définition, la pointe d'une pyramide sera toujours plus étroite que sa base ! Raison pour laquelle je considère, fort modestement, que mon travail est plus près du sommet de la pyramide que de sa base.  Et je vous le prouve. 

Pourquoi Israel et ses génocidaires se lâchent actuellement, montrant sans même plus chercher à se cacher ce que le sionisme a d'immonde ? C'est parce qu'ils ont vu que le simple contrôle de ceux que j'appelle les média mainstream du siècle dernier ne suffit plus à manipuler l'opinion mondiale. L'Internet 2.0 a tout ratiboisé. Voyez ces deux rideaux de fumée baptisés Shoah et Holocauste. Rideaux de fumée balancés par des générations de pseudo-historiens, dans le but de camoufler au grand public peut-être la plus grosse arnaque historique des temps modernes, à savoir le fait que Sionisme et Nazisme n'ont été que les deux faces d'une seule et même médaille. 

Or, cette médaille a bel et bien existé ! Hitler est à peine propulsé à la chancellerie qu'il signe un accord essentiel à la construction d'un État sioniste en Palestine. Les deux faces d'une même médaille ! Autant dire que si le Nazisme est rangé dans la catégorie des crimes contre l'Humanité, le Sionisme devrait l'être aussi pour les mêmes raisons.

 
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Traduction : "Médaille commémorative des accords de Haavara, accords de transfert de 1933 entre les sionistes et le Troisième Reich L'accord de la Haavara est intervenu entre l'Allemagne nazie et les juifs allemands sionistes. Il fut signé le 25 août 1933. L'accord fut finalisé après trois mois de pourparlers entre la fédération sioniste d'Allemagne, la banque anglo-palestinienne (supervisée par l'agence juive) et les autorités économiques de l'Allemagne nazie. L'accord avait pour but de faciliter l'émigration des juifs allemands vers la Palestine. Tout en aidant les juifs à émigrer, l'accord les obligeait à céder temporairement leurs biens à l'Allemagne avant leur départ. Ces biens pouvaient ensuite être récupérés en les transférant en Palestine en tant qu'exportations allemandes."
 
Grâce aux archives disponibles, il ne devrait pas être difficile de prouver qu'Hitler fut propulsé à la Chancellerie pour servir les projets sionistes apparus au grand jour dès la fameuse Déclaration Rothschild-Balfour de 1917. L'expansionnisme germanique allait logiquement suivre.
 
 
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 À propos du document "Palästina Treuhand...", traduction : "Accélération de procédure. Nous accusons réception de votre lettre du 30.06.1937 et transmettrons le certificat consulaire au consulat britannique à Francfort dès réception de l'attestation de versement par A. E. W. Nul besoin de nous présenter les passeports. Nous vous recommandons donc d'informer le consulat britannique à Francfort que les passeports ne doivent pas nous être envoyés après avoir été visés, mais qu'ils doivent vous être envoyés à vous-même. Il ne vous restera plus qu'à nous adresser l'attestation de votre départ définitif (pour la Palestine)." 
 
Où l'on voit que la "(End)Lösung der Judenfrage", traduite par les escrocs en "Solution Finale", n'avait rien de secret ni de final, et que les autorités britanniques y ont amplement contribué.
 
Avec l'invasion par Hitler d'une bonne partie de l'Europe, c'est le principe des accords de Havaara qui allait se trouver appliqué à un gros contingent de Juifs de toute l'Europe, contraints de migrer, non pas vers l'Ouest mais vers l'Est (Palestine).
 
Parlons dudit ghetto de "Theresienstadt, dirigé par les nazis, mais l'organisation au jour le jour était assurée par ‘l'administration autonome juive’ à laquelle les nazis déléguaient ce lourd travail.", "administration autonome juive" étant une litote. (Source)
 
Pourquoi une litote ? Parce que, dans les faits, le camp de Theresienstadt était une de ces bases à partir desquelles les sionistes recrutaient les "candidats" (plus ou moins forcés) à l'émigration vers... cf. "The Zionist character of... Terezin".
 
Et dire que 99,99% des tweets ont à peine 24h de durée de vie ! Tant pis pour leurs auteurs ! Mes tweets à moi sont un peu plus importants que d'autres, ce qui me vaut de ne plus être emmerdé par la censure , chose qui m'arrivait encore dans le passé 2 ou 3 fois par an.
 
Lecture utile (en anglais). Ce qui est rapporté ici est en grande partie exact, hormis les dates concernant les exfiltrations vers la Palestine, lesquelles, de mon point de vue, se sont poursuivies tout au long de WWII (ce qui était leur but ultime). (Source)
 
On se re-touite ! "Er wollte ihn überzeugen, daß die "Lösung der Judenfrage" in der Auswanderung der deutschen Juden nach Palästina liegt./Il voulait le convaincre que le "Règlement de la question juive" résidait dans l'émigration... vers la Palestine."
 
PS. Vous ai-je déjà dit que j'ai récemment découvert ça, genre : "Info privée : tu as reçu X visiteurs au cours des 7 derniers jours.". Compte tenu de la taille de mes "threads", mes visiteurs ne peuvent être que des gens ayant qq chose entre les 2 oreilles : un cerveau ! 
 
PS2. Lu (en ligne) : "Quoi qu’on pense de la riposte israélienne, le mot de génocide est fou. Pour qu’Israël arrête, il suffirait que le Hamas dépose les armes et libère les otages. Est-ce que les juifs ont jamais eu un choix pareil ?"
 
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Est-ce qu’on a vacciné les juifs du Ghetto de Varsovie ? Alors que tous les enfants de Gaza ont été vaccinés. Ce terme de génocide est ignoble mais il permet justement de nazifier les juifs, de leur faire perdre tout leur crédit victimaire, de dire qu’ils sont passés dans le mauvais camp, ils sont des bourreaux et donc ils sont eux-mêmes des nazis et des racistes. Donc c’est ça si vous voulez ce qui caractérise l’antisémitisme de ce temps, c’est que c’est un antiracisme, et comme c’est un antiracisme, il est inculpabilisable." Alain Finkielkraut dixit.
 
Pour mes visiteurs non français, il fait partie de cette clique que les medias mainstream du siecle dernier rangent dans la catégorie "philosophe", alors que c'est juste un phraséologue, ou un philologue, si vous préférez.
 
La nuance se trouve entre la "sophia" : la connaissance, la sagesse [les Allemands disent "Ich weiß" (je sais), "die Wissenschaft" (la Science), "die Weisheit" (la sagesse)], d'une part, et le logos (discours), d'autre part. Philosophe versus Philologue !
 
Je m'en vais vous donner les noms d'authentiques philosophes (amoureux de la connaissance/science) : je pense à Albert Schweitzer (médecin, musicien, théologien…), à Théodore Monod, Jean Mallaurie, ainsi qu'à cet absolu génie que fut Alexander von Humboldt, tous ayant tâté des "sciences dures", selon la jolie formule de Mallaurie. 
 
À part cela, je soupçonne ce pseudo-philosophe de Finkielkraut de lire ma prose, quand il parle de "nazifier les Juifs", de "leur faire perdre tout leur crédit victimaire" ou s'interroge : "Est-ce qu'on a vacciné les Juifs du Ghetto de Varsovie…". D'abord, notre escroc – et il n'est pas le seul – s'échine à assimiler l'État criminel israélien à l'ensemble des Juifs, et là, son imposture éclate au grand jour, les vrais Juifs, dits Torahjews, étant absolument hostile à l'idée même d'un État israélien.
 
Quant à la "nazification", notre petite démonstration (sionisme et nazisme = les deux faces d'une même médaille) visible plus haut ne sera contestée par personne. La vaccination des Juifs ? Elle a bien eu lieu, mise en place à grande échelle par Hans Frank, plus haut représentant civil d'Hitler en Pologne. On en trouve la trace dans les minutes du Tribunal de Nuremberg, que Finkielkraut et d'autres seraient bien inspirés de consulter. Vous avez bien lu : les nazis ont procédé à la vaccination de centaines de milliers de Juifs contre le typhus. Voyez la pièce à conviction n°2233-PS du Tribunal International de Nuremberg ! Par parenthèse, à Gaza et dans toute la Palestine, Israel massacre hommes, femmes et enfants ; Israël ne vaccine personne ! Extrait de l'interview de Hans Frank à un magazine berlinois :
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 "Un des grands mérites de l'Administration allemande réside dans la lutte contre le typhus. Il faudra bien qu'on porte à notre crédit d'avoir réalisé plus de 700.000 vaccinations sur des populations particulièrement exposées...". Précision utile : on peut difficilement imaginer qu'Hitler n'ait pas lu les déclarations de son homme de confiance. "Pour qu’Israël arrête, il suffirait que le Hamas dépose les armes et libère les otages." Rubrique : "Ben voyons !" Les destructions de Gaza des années 2008-2009 étaient consécutives à une prise d'otages !
 
Ci-dessous : Gaza, 2008, Plomb durci : un massacre de grande envergure sous les yeux du propagansiste génocidaire pro-israélien nommé Bernard-Henri Lévy.
 
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Tout le monde aura relevé le mantra "riposte israélienne", cet État terroriste et criminel étant toujours présenté par moult escrocs comme celui qui est injustement attaqué, et qui se doit, donc, de riposter ! On rappellera juste aux gogos que les attaques du 7 octobre 2023 ont eu lieu en territoire palestinien illégalement occupé ! Par ailleurs, je n'ai pas très bien compris l'usage que notre phraséologue a voulu faire de l'adjectif "inculpabilisable" ! Si c'est "susceptible d'inculpation", il fallait dire "inculpable".
 
Le fait est que "racisme inculpabilisable" signifie, en bon français, "racisme non susceptible d'être assimilé à une faute, une infraction, un délit, a fortiori, à un crime, donc in(=non)susceptible d'être criminalisé, autant dire parfaitement légitime !
 
En clair : "inculpable" versus son antonyme "in-culpabilisable" ! Et ça, c'est de la sémantique à la portée d'un étudiant de 1ère année de FAC ! 
 
À propos de la philo...sophie véritable, lectures utiles
 
 
 
 
 
 
N.B. À ceux qui vont s'interroger sur sophia versus logos, je signale que les anciens Égyptiens maîtrisaient la technique de l'embaumement des corps et n'ont pas laissé le moindre traité sur la question. À l'époque, la connaissance pouvait être ésotérique : ceux qui savent sont aussi ceux qui en disent le moins. Plus près de nous, dans les archives de l'INA, il y a une interview du grand luthier Etienne Vatelot expliquant à Jacques Chancel dans un grand rire : "Mon propre père, luthier, devait s'enfermer à double tour au moment de préparer ses enduits."
 
Le fils a dû attendre très longtemps avant que son père ne lui transmette le secret de ses vernis. Tout le monde a entendu parler des fameux Stradivarius, Guarneri, Amati.... Il se trouve que c'est souvent le vernis qui faisait la différence ultime entre le violon lambda et le Molitor de Stradivarius. Savoir (faire) et ne rien dire, c'est aussi cela qui fait la différence entre ceux qui maîtrisent la chose et ceux qui se contentent de parler de la chose. 
 
PS3. Toujours pas de fact-checking sous mes messages ? Ça alors !  On reparle du fameux "Camp d'extermination" d'Auschwitz ? Pour mémoire, la dénomination Vernichtungslager n'existe dans aucune archive, le Tribunal International de Nuremberg étant muet sur la chose. On en reparle tantôt. En attendant, vous avez appris ici même :
 
1) que Hitler est un patronyme YIDDISH ; 
 
2) qu'à peine propulsé à la chancellerie, le voilà pactisant avec les sionistes pour organiser un Grand Remplacement en Palestine ; 
 
3) que parmi ses proches et intimes se trouvaient moult Juifs et Juives, à commencer par son espionne préférée, la dénommée Stephanie von Hohenlohe ; 
 
4) que son plus haut représentant civil en Pologne occupée avait procédé à des vaccinations massives des populations les plus exposées au typhus, dont plein de Juifs, etc.
 
Retour sur Auschwitz, le soi-disant "camp d'extermination", dont le maître d’œuvre, le consortium IG-Farben, n'a jamais été condamné pour génocide. Le fait est qu'on recevait et envoyait du courrier à et d'Auschwitz, ainsi que je l'ai déjà évoqué ailleurs. Ci-dessous, à gauche, le réglement intérieur du service du courrier au KZ d'Auschwitz.
 
Image  Les instructions suivantes doivent être respectées dans la correspondance avec les détenus :
  1. Chaque détenu peut recevoir ou envoyer deux lettres ou deux cartes par mois de la part de ses proches. Les lettres adressées aux détenus doivent être lisibles, écrites à l'encre, d'un seul côté et en allemand. Seules les feuilles de taille normale sont autorisées. Les enveloppes sont sans doublure. Une lettre ne peut être affranchie qu'avec cinq timbres de 12 pf. de la Deutsche Reich post. Tout autre envoi est interdit et soumis à confiscation. Les photos ne peuvent pas être utilisées comme cartes postales.
  2. Les envois d'argent ne sont autorisés que par mandat postal. Il faut veiller à ce que l'adresse exacte, composée du nom, de la date de naissance et du numéro, soit indiquée sur les envois d'argent ou postaux. En cas d'adresse erronée, le courrier est retourné à l'expéditeur ou détruit.
  3. Les journaux sont autorisés, mais ne peuvent être commandés que via le service postal du K.Z. d'Auschwitz.
  4. Les détenus peuvent recevoir des colis alimentaires, mais les liquides et les médicaments sont interdits.
 
 
     
 
 
 
 
 

lundi 2 décembre 2024

Un Juif nommé Adolf Hittler

Avertissement : j'entame ici même le rapatriement de moult de mes textes naguère affichés sur Twitter-X, réseau social qui ne m'inspire désormais que de la suspicion et que je m'apprête à abandonner incessamment. Les textes sont repostés tels quels.

 

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Message à mes chers disciples (en anglais dans les Évangiles : followers of Jesus). Sur mon profil Twitter, j'explique que j'avais tenté tantôt de mettre le compteur des "abonnés" à zéro, mais que je n'avais malheureusement pas trouvé le bouton idoine.

Je vois là des gens qui ont des dizaines/centaines de milliers de suiveurs, et qui vous pondent des tweets nuls de chez Nul, avec à peine quelques heures d'espérance de vie. Voyez la marée de merde à propos de l'hôpital de Gaza, que la soldatesque israélienne n'aurait pas visé.

Patatras ! C'est bien la même soldatesque khazar qui vise des ambulances et vient de tuer des milliers d'enfants, non ? Mais ce n'est pas de ça que je voulais vous parler. J'ai déjà eu maille à partir avec la censure sur Twitter, rapport à un coup de gueule consécutif à une arrivée massive de "migrants" à Ceuta-Melilla. Il y eut plein de noyades et j'avais tancé la stupidité de ces gens. Dix jours d'embargo imposés par la censure. Depuis pas mal de temps (années), j'écris sur la Palestine, Gaza, les Moechtegernjuden, et là, va savoir !, je n'ai jamais eu le moindre problème avec la censure. La raison ? Si, sur les "migrants" de Ceuta, j'avais exprimé un avis, sur la Palestine et les envahisseurs khazars, j'ai toujours été factuel. Donc, impossible de me contester. La suite ?

Le Mussolini allemand... Ne serait que l'instrument de puissances supérieures.

La fiche qui précède émane des Renseignements Généraux. Ces fins limiers doivent avoir senti qu'Hitler n'était qu'une marionnette, dont on comprend aisément le rôle qui lui fut dévolu par Rothschild and Co : servir de rabatteur de Juifs vers la Palestine. Un éclairage très instructif sur le sujet nous est fourni par Antony Sutton, qui démontre qu'Hitler a bénéficié du soutien massif de la banque new-yorkaise, dont on connaît pertinemment les donneurs d'ordres !

Sur mon image de profil, j'affiche la photo d'une tombe dans un ancien cimetière juif de Bucarest (Roumanie). J'avais déjà mentionné cette tombe dans un tweet. 

Pourquoi en reparler maintenant ? À cause des faits gravissimes se déroulant actuellement en Palestine. 

Et là, j'attire l'attention de tout le monde : sur ce qu'on vous a raconté concernant Hitler, les camps de concentration, etc., j'estime – retenez bien ces chiffres ! – qu'il y a 5 millièmes de vrai, 495 millièmes de faux/d'approximatif, le reste, ayant été totalement occulté.

 

Faux

Voyez les dénominations du type "camps d'extermination" ou "camps de la mort". Elles ne figurent nulle part dans les minutes du procès de Nuremberg. Ce sont des inventions tardives destinées à tromper le grand public, moyennant d'autres inventions, elles aussi absentes du procès de Nuremberg, comme ces deux escroqueries sémantiques que sont la Shoah et l'Holocauste, deux termes ne voulant strictement rien dire. 

 

Approximatif

Prenez le terme Juif. Question : qu'est-ce qu'Hitler reprochait exactement aux gens de la synagogue, sachant que lui-même avait des ascendances juives, chose que personne n'osera démentir après les archives que j'ai produites ici même ? Et c'est là qu'on découvre les fameux accords dits de Haavara, et voilà que tout s'éclaire : Hitler fut bien co-fondateur de l'État d'Israël ! 

Précision utile : un examen minutieux des diatribes "anti-juives" d'Hitler montre qu'il se servait du radical "judéo" tantôt comme préfixe (cf. Jüdisch-Maurerisch-Bolschevismus), tantôt comme suffixe (cf. Finanzjudentum), en tout cas, jamais dans une connotation renvoyant à l'obédience religieuse. 

Citation :

Wir müssen uns darüber klar sein, daß der Gegner in einem Kriege nicht nur im militarischen Sinne Gegner ist, sondern auch weltanschaulicher Gegner. Wenn ich hier von Gegner spreche, so meine ich selbstverstàndlich damit unseren natürlichen Gegner, den internationalen jüdisch-freimaurerisch gefûhrten Bolschewismus. 

Dieser Bolschewismus hat seine Hochburg natürlich in Rußland. Das bedeutet aber nicht, daß von Rußland allein die Gefahr eines bolschewistischen Angriffes droht. Mit einer solchen Gefahr ist immer von dort zu rechnen, wo sich dieser jüdische Bolschewismus einen maßgeblichen Einfluß gesichert hat. Es werden daher also zwangsläufig die Staaten oder Völker Deutschland gegenüber feindselig eingestellt sein und eine Gefahr fur uns bedeuten, die jüdisch-freimaurerisch-bolschewistisch geführt werden oder zumindest bereits stark beeinflußt sind.    

Wir müssen uns daher stets die Frage stellen: Wer kommt oder käme im Falle eines Krieges als Gegner in Frage, wer ist welt-anschaulicher Gegner, also wer steht unter jüdisch-freimaurerisch-bolschewistischem Einfluss?

Nous devons être conscients du fait que l'adversaire, dans une guerre, n'est pas seulement un adversaire au sens militaire du terme, mais aussi un adversaire idéologique. Lorsque je parle d'adversaire, je fais bien entendu référence à notre adversaire naturel, le bolchevisme international dirigé par la judéo-maçonnerie. 

Ce bolchevisme a bien sûr son fief en Russie. Mais cela ne signifie pas que la Russie soit la seule à représenter un danger d'attaque bolchevique. Il faut toujours s'attendre à un tel danger là où ce bolchevisme juif s'est assuré une influence déterminante. Les États ou les peuples qui sont dirigés par les judéo-maçonno-bolcheviques ou qui sont déjà fortement influencés par eux seront donc forcément hostiles à l'Allemagne et représenteront un danger pour nous. 

Nous devons donc toujours nous poser la question : Qui entre ou entrerait en ligne de compte comme adversaire en cas de guerre, qui est un adversaire idéologique, c'est-à-dire qui est sous influence judéo-maçonnique-bolchevique ?

Heinrich Himmler lors d'une manifestation publique en 1937 (il parle alors de Gegner/adversaire et non de Feind/ennemi). Extrait de la pièce à conviction du Tribunal de Nuremberg n° 1992 (A)-PS.

Voilà qui a l'avantage d'être très clair :  le bolchevisme et ses avatars judéo-maçonniques, le tout étant basé à Moscou. Autant dire que "juif", dans la phraséologie nazie, était un euphémisme, un mot-valise censé recouvrir diverses acceptions hormis la référence à la religion.

 

Occulté

Adolf Jacob Hitler (cf. fiche de police plus haut) avait une ascendance juive, c'est incontestable. Et ceux qui ont dissimulé ce fait au grand public sont des escrocs que nous savons capables de tout, y compris du pire. 

Oubliez ces rideaux de fumée baptisés Shoah ou Holocauste ! La mafia sioniste avait besoin de cohortes de Juifs pour peupler la Palestine et elle a fourni à Hitler les (bons) alibis (appels au boycott, assassinats de diplomates allemands, etc.) pour le pousser à persécuter les Juifs d'Allemagne, d'abord, ceux de l'Europe occupée ensuite, afin d'en contraindre un maximum (les plus aisés !) à émigrer, non pas vers l'Ouest (U.K., USA : tout fut entrepris pour l'empêcher) mais vers l'Orient, en clair, la Palestine. 

Mars 1933. "La Judée déclare la guerre à l'Allemagne.", pas à Hitler, pas au nazisme ! Hitler vient à peine d'être nommé chancelier qu'il envoie la gauche allemande à Dachau, tout en engageant des pourparlers (secrets) avec les activistes juifs allemands afin de recruter un maximum de quidams prêts à s'installer en Palestine. Ce sera l'accord de Havaara, abondamment célébré (donc pas si secret que ça !), notamment par le biais d'une médaille commémorative qu'on peut voir ici.

Vous commencez à comprendre ? En traitant Benjamin Mileikovsky de nazi sans prépuce, Guillaume Meurice, sur France Inter, a tapé dans le mille. Israël est un État suprémaciste créé par des complices d'Adolf Jacob Hitler, lui-même d'ascendance juive. Et il y a fort à parier que les deux Allemands qu'étaient David Grün (vert en allemand), connu plus tard sous le pseudonyme de Ben Gourion, et Chaim  Weizmann, premier président de l'État sioniste, avaient participé aux négociations avec Hitler ayant conduit à l'accord de Havaara.

L'éternel lamento autour de la victimisation fut un paravent bien commode servant à justifier l'injustifiable, comme on peut le voir actuellement en Palestine. Nous avons affaire ici à un cynisme rarement affiché dans l'Histoire. Cinq millièmes de vrai. Tout le reste est faux, approximatif ou occulté. Ces gens nous mentent parce qu'ils ne savent faire que ça ! 

Face à l'ignominie se déroulant actuellement en Palestine, les solutions existent pourtant. Ex. : les pays africains ne se débarrassent du colonialisme que longtemps après 1945. En Droit, les pays non alignés peuvent et doivent décider d'une révocation de la résolution n° 181 ayant dépecé la Palestine. 

1) Le Droit International se veut relatif. En clair, un État n'est engagé internationalement que pour les traités qu'il a dûment ratifiés. L'ONU de 1945 ne comportait que 45 États. La résolution n°181 ne concerne en rien les quelque 150 États ayant rejoint l'Organisation depuis 1945. 

2) Les pays composant l'ONU en 1945 ne pouvaient légalement disposer que de territoires leur appartenant, ce qui n'était pas le cas de la Palestine (Inutile de revenir sur la Déclaration Balfour, sans valeur en Droit International). Ce qui veut dire que le dépeçage par ces 45 États (en fait 33 ayant voté pour) d'un territoire ne leur appartenant pas, de surcroît, sans prendre la peine d'en consulter les habitants, constituait une violation flagrante du sacro-saint principe du Droit des Peuples à disposer d'eux-mêmes. 

3) Contraindre un pays occupé à reconnaître son bourreau, comme ce fut le cas lors des pantalonnades de Camp David et Oslo constituait une autre violation flagrante du consentement des Palestiniens, dès lors qu'aucune négociation équilibrée ne saurait intervenir entre un occupant et un occupé. Pour les raisons qui précèdent, la résolution onusienne n°181 portant partition de la Palestine historique doit être déclarée nulle et non avenue, avec effet immédiat : l'exclusion d'Israël - État bâti sur le mensonge et la purification ethnique par des gangsters racistes et génocidaires -, de toutes les instances internationales. Par chance, la jeunesse mondiale commence à bouger.

Les suprémacistes khazars entendent aller jusqu'au bout de leur projet diabolique : faire main basse sur toute la Palestine, profitant de la lâcheté et de la couardise de la Pourriture Internationale ? Ils s'imaginent peut-être que nous allons nous taire !? 

L'Afrique ? Est-ce qu'il y a un seul être à peau sombre sur Terre, qui n'ait pas connaissance de ce que sont le suprémacisme et le racisme ? Et pourtant, ce continent roupille ! Hormis l'Afrique du Sud et les pays du Grand Maghreb, rien que de l'attentisme et du "surtout pas de vagues".

Les athlètes des pays non alignés (sur le Deepstate US) devraient annoncer leur intention de ne pas participer à des compétitions internationales aux côtés de sportifs israéliens, dont la plupart ont déjà participé à des ratonnades, voire à des tueries en Palestine occupée. La solidarité du monde libre a permis de terrasser l'ogre suprémaciste afrikaner, il y a vingt ans, et elle serait incapable de venir à bout de l'ogre suprémaciste khazar aujourd'hui ? Pour ma part, je n'achète rien qui provienne d'Israël, tout en considérant que le mouvement BDS est un gigantesque fiasco, en raison de son caractère illisible (ça veut dire QUOI B-D-S quand on voit que le "I" d'Israël a été soigneusement escamoté ?), allez savoir pourquoi ! Prenez un autre slogan : Black Lives Matter, limpide et facile à comprendre !

 

Spéciale dédicace 

Chers @elonmusk et@KimDotcom, je possède l'intégrale des minutes du procès militaire de Nuremberg (1946), document quasiment introuvable aujourd'hui, sauf dans de rares bibliothèques nationales. Cette masse de plusieurs dizaines de milliers de feuillets mérite d'être numérisée pour être mise en ligne et y être consultable gratuitement.

Ci-dessus : la Juive Stella Goldschlag travaillait pour la Gestapo. Un simple coup d'œil dans mes archives (ci-dessous l'intégrale des minutes du Tribunal International de Nuremberg, 1946) permet de prendre la mesure des mensonges colportés par un ramassis de pseudo-historiens. Des indices ? Ex. les termes "Shoah", "Holocauste", les expressions "camps d'extermination",  "camps de la mort"  n'y figurent nulle part. 

Autre chose : dans la rubrique "Occulté", où l'on apprend que, parmi les tortionnaires (kapos) de bien des camps nazis, il y avait des Juifs.


Hitler devait détester les Juifs, au point d'avoir aryanisé moult officiers supérieurs juifs, s'être choisi une princesse juive comme espionne et s'être entiché platoniquement pour une blondinette juive prénommée Rosa.

Sinon, il y avait à Auschwitz un service du courrier !    Ce n'est pas une blague ! Les esclaves d'IG-Farben exploités à Auschwitz pouvaient envoyer et recevoir du courrier, voire recevoir de l'argent ! Quand je vous dis 5/1000èmes de vrai, je pense être très en-deçà de la vérité !



vendredi 31 mai 2024

Indésirables réfugiés. L'ombre de la Havaara aux USA (1940-1945)

Ce qui suit est ma traduction d'un article qui aurait pu être plus intéressant s'il avait été mieux documenté. Il y est abondamment question de Juifs dans les camps nazis confrontés audit Holocauste. L'article retrace la longue résistance de l'exécutif US sous Franklin Delano Roosevelt à l'admission massive de migrants européens (surtout juifs) aux États-Unis, sans jamais évoqué ce que nous savons depuis, à savoir que nazis et sionistes avaient conclu d'importants accords d'exfiltration de Juifs vers la Palestine, et cette non mention des accords dits de Havaara amenuisent considérablement l'intérêt de l'article.

Et c'est là qu'on risque de m'interroger sur l'intérêt de traduire un papier dont je dénonce les insuffisances. C'est que ces insuffisances constituent précisément le principal intérêt de l'article, à l'instar du négatif d'une photo argentique.

Relecture en cours


Durant la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont perdu plusieurs centaines de milliers de jeunes hommes et femmes et dépensé des milliards de dollars pour vaincre la tyrannie nazie en Europe. Ce n’est qu’après la guerre que toute l’horreur du régime hitlérien fut révélée. Six millions de Juifs sont morts pendant l'Holocauste. D’autres groupes que les nazis ont qualifiés d’indésirables ont également été massacrés : les gitans, les homosexuels, les communistes et d’autres ennemis politiques. L’héritage de cette époque demeure présent aujourd’hui et soulève encore de nombreuses questions troublantes.

Réfugiés non recherchés

Lorsque Franklin D. Roosevelt est devenu président en 1933, les Américains luttaient pour survivre à la plus grande dépression économique que le pays ait jamais connue. De nombreux Américains craignaient que les immigrants dans le besoin ne prennent des emplois précieux ou n’exercent une pression supplémentaire sur une économie déjà en difficulté.

Les lois américaines sur l'immigration ont toujours imposé des quotas sur le nombre de personnes autorisées à entrer aux États-Unis en provenance d'autres pays. Par exemple, en 1939, le quota permettait à 27370 citoyens allemands d’immigrer aux États-Unis. En 1938, plus de 300 000 Allemands – pour la plupart des réfugiés juifs – avaient demandé un visa (permis d’entrée) aux États-Unis. Un peu plus de 20000 candidatures ont été approuvées. Au-delà des stricts quotas nationaux, les États-Unis ont ouvertement refusé l'octroi de visa à tout immigrant "susceptible de devenir une charge publique". Cette décision est apparue comme étant un problème sérieux pour de nombreux réfugiés juifs qui avaient tout perdu lorsque les nazis ont pris le pouvoir et pourraient avoir besoin de l'aide du gouvernement après avoir immigré aux États-Unis.

Peu de temps après sa nomination au cabinet, Frances Perkins, secrétaire au Travail du président Roosevelt, a proposé un décret concernant les réfugiés et l'immigration. Perkins a suggéré que le Département d'État devrait accorde la priorité aux immigrants cherchant refuge contre les persécutions raciales ou religieuses. Le Département d’État s’est opposé à cette ordonnance parce qu’elle était susceptible de contrarier les relations avec l’Allemagne et d'impacter les citoyens américains sans emploi. Roosevelt n’a jamais appliqué cette recommandation et les responsables du Département d’État en Europe ont continué de rejeter de nombreuses demandes de visa de réfugiés juifs.

En septembre 1935, l’Allemagne nazie a adopté des lois privant les Juifs allemands de leur citoyenneté. Sans citoyenneté, les Juifs étaient juridiquement sans défense ; beaucoup ont perdu leur emploi et leurs biens. Simultanément, des milliers d'opposants politiques à Hitler, des Tsiganes, des catholiques, des homosexuels, et même des handicapés physiques et mentaux sont devenus la cible de la violence et des persécutions nazies. Face au grand nombre d’Allemands fuyant leur pays, le Département d’État a temporairement assoupli les quotas d’immigration. En 1936, le Département d’État a accordé des visas à environ 7 000 réfugiés allemands. En 1938, ce nombre était passé à plus de 20 000, mais un sondage d’opinion révélait que 82 % des Américains étaient toujours opposés à l’admission d’un grand nombre de réfugiés juifs aux États-Unis. Malgré les appels des organisations américaines de défense des droits de l'homme, le Département d'État américain a refusé d'augmenter davantage le quota allemand.

À la veille de la guerre

En mai 1939, quelques mois seulement avant le début de la guerre en Europe, un navire baptisé le St. Louis quitta l'Allemagne avec à son bord près d'un millier de réfugiés, pour la plupart juifs. Beaucoup de ces personnes étaient déjà qualifiées pour obtenir un visa américain, mais n’en avaient pas encore reçu. Elles ont obtenu des visas touristiques cubains temporaires qui leur permettraient d'attendre hors d'Allemagne les visas américains. Cependant, lorsque le Saint-Louis atteignit La Havane, le gouvernement cubain modifia sa réglementation en matière de visa, refusant l'autorisation d’atterrir à la plupart des réfugiés.

Contraint de quitter les eaux cubaines, le St. Louis remonta la côte de Floride. Les garde-côtes américains le suivirent de près pour empêcher les passagers de nager à terre. Le Département d'État refusa d'autoriser les réfugiés à atterrir sans une législation spéciale du Congrès ou un décret du président. Les efforts déployés par les organisations juives américaines pour parvenir à un compromis avaient échoué. Les passagers désespérés envoyèrent au président Roosevelt un télégramme plaidant leur cause ; il n'y a jamais répondu.

Les réalités politiques ont peut-être influencé la décision de Roosevelt de garder le silence. La plupart des Américains étaient soucieux de rester à l’écart de la guerre européenne qui approchait. Beaucoup pensaient que le meilleur intérêt de l’Amérique était d’éviter les conflits étrangers. D’autres ont été déçus par l’expérience de l’intervention américaine pendant la Première Guerre mondiale et voulaient éviter la perte de vies américaines. Ces opinions ont bénéficié d’un fort soutien au Congrès. En outre, le président Roosevelt savait que les États-Unis n’étaient pas encore préparés à la guerre et hésitaient à s’opposer au régime nazi.

Finalement, le Saint-Louis est retourné en Europe et plusieurs pays ont accordé l'asile aux réfugiés. Mais lorsque les troupes hitlériennes traversèrent l'Europe, la plupart des passagers malheureux du Saint-Louis furent finalement capturés par les nazis et envoyés dans des camps de concentration.

À la veille de la Seconde Guerre mondiale, un projet de loi autorisant l’admission d’enfants juifs réfugiés, au-delà des quotas habituels, a été présenté au Congrès. Le président Roosevelt n’a pris aucune position sur le projet de loi et celui-ci est mort en commission à l’été 1939. Les sondages de l’époque indiquaient que les deux tiers des Américains étaient opposés à l’accueil d’enfants juifs réfugiés.

Les années de guerre

Au début de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement américain ne croyait pas aux informations selon lesquelles Hitler mettait en œuvre un plan visant à assassiner des millions de Juifs européens. Mais, en novembre 1942, les preuves étaient accablantes. Une fois de plus, les dirigeants juifs américains ont fait appel à Roosevelt : si le président demandait au Congrès de modifier les lois sur l’immigration, davantage de réfugiés pourraient échapper à l’Holocauste. Encore une fois, Roosevelt a refusé. En lieu t place, il s’est joint aux Britanniques pour condamner le génocide des Juifs par les nazis.

La guerre a entraîné une forte baisse de l'immigration lorsque le gouvernement a imposé des réglementations encore plus strictes en matière de visas. Les autorités craignaient que des espions et des saboteurs ennemis n’entrent dans le pays en se faisant passer pour des réfugiés. Mais à mesure que l’opinion publique américaine prenait conscience de l’énormité des atrocités nazies, elle commença à exiger que les États-Unis fassent quelque chose pour sauver le peuple juif restant en Europe. En novembre 1943, un Comité d’urgence pour sauver le peuple juif d’Europe présenta une résolution de sauvetage au Congrès.

Une fois de plus, le Département d’État s’y est opposé. Cela a provoqué la colère du secrétaire au Trésor Henry Morgenthau Jr., un juif consterné par les massacres nazis. Depuis 1933, le Département d’État s’était opposé à presque toutes les tentatives visant à aider les réfugiés juifs. Le 16 janvier 1944, Morgenthau rencontra Roosevelt et lui présenta un rapport préparé par son département. Le rapport documentait la longue histoire de l’obstructionnisme du Département d’État dans les affaires de réfugiés. (Ce rapport était initialement intitulé "Rapport au secrétaire sur l'acquiescement de ce gouvernement au meurtre des Juifs."

Pour protéger son Département d'État du scandale, Roosevelt a signé un décret ordonnant au Congrès de mettre en œuvre la plupart des dispositions de la résolution de sauvetage. L'ordre créait un Conseil des réfugiés de guerre "pour prendre toutes les mesures dans le cadre de sa politique de sauvegarde des victimes de l'oppression ennemie en danger de mort imminente".

La Commission des réfugiés de guerre

Peu après sa création, le War Refugee Board (WRB) a mobilisé de manière agressive diverses activités de sauvetage, émettant des avertissements pour crimes de guerre et envoyant des colis de nourriture dans les camps de concentration. À l’été 1944, elle lançait une opération dramatique.

Avec la coopération du gouvernement suédois, le WRB a envoyé un homme d'affaires suédois, Raoul Wallenberg, en Hongrie, pour y travailler comme fonctionnaire de l'ambassade. Wallenberg devait mettre en œuvre un plan pour sauver 200 000 Juifs hongrois sur le point d'être déportés vers le camp d'extermination d'Auschwitz. Il loua des bâtiments et les plaça sous la protection diplomatique suédoise. Cela lui a permis d’offrir un refuge à des milliers de Juifs. Il a délivré des passeports de protection spéciaux à de nombreuses autres personnes. Avec le soutien du WRB, les efforts de Wallenberg ont sauvé plus de 20 000 vies. Wallenberg a disparu lorsque l'armée soviétique a occupé la Hongrie à la fin de la guerre. Son sort est inconnu, même si, en 1956, les Soviétiques ont affirmé avoir découvert un rapport faisant état de la mort de Wallenberg en 1947 dans une prison soviétique.

Le WRB a également établi un sanctuaire hors d’Europe pour les réfugiés secourus. Combattant l’opposition du Département d’État, du Congrès et du public, le WRB a convaincu Roosevelt d’autoriser un groupe de réfugiés juifs italiens à occuper un ancien camp militaire près d’Oswego, dans l’État de New York. Pour éviter de violer les lois sur l'immigration, le WRB a amené ces victimes des persécutions nazies dans le pays sous le statut de prisonniers de guerre.

En mai 1944, les bombardiers américains pouvaient atteindre les camps de concentration nazis d’Auschwitz. L'emplacement précis de ces installations était bien connu. Le WRB et les dirigeants juifs ont supplié le ministère américain de la Guerre de bombarder les chambres à gaz et les voies ferrées qui transportaient le fret humain des nazis vers Auschwitz. Après une brève étude, le ministère de la Guerre rejeta l'idée car "elle ne pouvait être mise en œuvre qu'en détournant un soutien aérien considérable, essentiel au succès de nos forces désormais engagées dans des opérations décisives.".

De nombreux experts ont contesté l’argument du ministère de la Guerre. À l’automne 1944 et de nouveau en décembre, des avions américains bombardèrent des cibles industrielles situées à moins de huit kilomètres des chambres à gaz d’Auschwitz. Aucune bombe n'est jamais tombée sur les chambres à gaz et les fours, ni sur les voies ferrées menant aux camps. On estime que 100 000 Juifs sont morts à Auschwitz dans la période qui a suivi les raids américains. Certains disent que si les bombardements avaient été dirigés contre Auschwitz, ces vies auraient été sauvées. D’autres ne sont pas d’accord. Ils soutiennent que les techniques de bombardement imprécises de cette époque n’étaient peut-être pas efficaces. Au lieu de cela, disent-ils, les bombardements auraient pu causer la mort de milliers de Juifs à Auschwitz ou dans les trains qui y conduisaient.

Les gazages se sont poursuivis jusqu'à ce que les Russes prennent le camp en janvier 1945.

On attribue au War Refugee Board le mérite d’avoir sauvé peut-être 200 000 Juifs au cours des derniers mois de la guerre. "Ce que nous avons fait était assez peu", a déclaré le directeur du WRB, John Pehle. "Il était tard. Tard et peu, je dirais."

Les États-Unis auraient-ils pu faire davantage pour sauver les Juifs de l’Holocauste hitlérien ? Beaucoup pensent que, dans les circonstances de la période d’avant-guerre et pendant la guerre elle-même, on ne peut pas reprocher à l’administration Roosevelt de n’avoir pas réussi à secourir davantage de victimes de l’Holocauste. D’autres ne sont pas d’accord. La question ne sera peut-être jamais réglée. Cela continue de nous hanter aujourd’hui.


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