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mardi 26 septembre 2023

Covid and mRNA shots. Scientists alarmed. Covid et mRNA. Des scientifiques tirent la sonnette d'alarme

Oublié le Covid19, les pass sanitaires, les confinements, la vaccination contrainte, la chasse aux sorcières visant les lanceurs d'alertes ? J'observe que le gang majoritaire, il n'y a pas si longtemps, se fait de plus en plus discret face aux révélations qui ne cessent de surgir. En Afrique du Sud, il est question de la publication des accords léonins imposés par Pfizer au gouvernement. Cela aurait dû figurer en Une de tous les organes de presse écrite, figurer en bonne place au sein des journaux télévisés, de même que moult (ir)responsables politiques devraient pouvoir s'expliquer sur leurs déclarations péremptoires d'il y a quelques mois, confrontées aux dernières révélations factuelles. 

Il se trouve que je fais partie du camp des antivax, à l'instar d'un certain Novak Djokovic. Ce qui suit est ma traduction en français d'un intéressant papier paru sur le site en ligne du magazine australien The Spectator.

Relecture en cours


Quand des scientifiques se disent "choqués" et "inquiétés par le contenu des injections d’ARNm

 

Début 2023, Kevin McKernan, spécialiste en génomique, a fait une découverte fortuite. Tout en menant une expérience dans son laboratoire de Boston, McKernan a utilisé des flacons de vaccins à ARNm des firmes Pfizer et Moderna comme contrôles. Il a été "choqué" de découvrir qu'ils semblaient avoir été contaminés par de minuscules fragments d'ADN plasmidique.

McKernan, qui a 25 ans d'expérience dans son domaine, a renouvelé l'expérience, confirmant que les flacons contenaient, selon lui, jusqu'à 18 à 70 fois plus de contamination par l'ADN en question que les limites légales autorisées par l'Agence européenne des médicaments (EMA) et la Food and Drug Administration (FDA).

McKernan a notamment été alarmé de constater la présence d’un promoteur SV40 dans les flacons du vaccin Pfizer. Il s'agit d'une séquence qui est "… utilisée pour introduire l'ADN dans le noyau, en particulier dans les thérapies géniques", explique le chercheur. C’est quelque chose que les agences de réglementation du monde entier ont spécifiquement déclaré comme étant impossible avec les vaccins à ARNm.

Sachant que la contamination n'avait pas été divulguée par les fabricants au cours du processus réglementaire, McKernan a tiré la sonnette d'alarme, publiant ses conclusions sur Twitter (maintenant X) et Substack, en appelant d'autres scientifiques pour qu'ils puissent éventuellement reproduire son protocole.

D'autres scientifiques ont rapidement confirmé les découvertes de McKernan, même si le degré de contamination de l'ADN était variable, suggérant une incohérence du contenu des flacons en fonction des lots. L’un de ces scientifiques était le Dr Phillip Buckhaults, expert en génomique du cancer, partisan de la plateforme vaccinale à base d’ARNm, et qui a lui-même reçu le vaccin Pfizer Covid.

En septembre de cette année (2023), le Dr Buckhaults a partagé ses conclusions lors d'une audience au Sénat de Caroline du Sud. "Je suis un peu inquiet de la présence de cet ADN dans le vaccin – il est différent de l'ARN, car il peut être permanent", a-t-il déclaré aux personnes présentes.

"Il existe un risque très réel", a-t-il déclaré, que les fragments d'ADN contaminants s'intègrent au génome d'une personne et deviennent un "élément permanent de la cellule", entraînant des problèmes auto-immuns et des cancers chez certaines personnes vaccinées. Il a également noté que ces modifications du génome peuvent "durer des générations".

Le Dr Buckhaults affirme que la présence de niveaux élevés d'ADN contaminant dans les vaccins à ARNm "peut être à l'origine de certains effets secondaires rares mais graves, comme la mort par arrêt cardiaque". Il ajoute même : "Je pense qu'il s'agit d'un grave manquement à la réglementation survenu au niveau fédéral."

Les préoccupations du Dr Buckhaults sont partagées par McKernan, qui a présenté ses conclusions à la FDA en juin (2023). Au moment de la rédaction de cet article, McKernan n’avait reçu aucune réponse de la FDA à ce sujet. Le Dr Buckhaults a déclaré, lors de l'audience au Sénat, qu'il avait envoyé ses conclusions par courrier électronique à la FDA, mais qu'il n'avait pas non plus reçu de réponse.

En Australie, la Therapeutic Goods Administration (TGA) maintient que les vaccins Covid ne peuvent pas modifier l'ADN d'une personne. Un porte-parole de la TGA a ainsi déclaré : "L'ARNm contenu dans les vaccins ne pénètre pas dans le noyau des cellules et n'est pas intégré dans le génome humain. Ainsi, l'ARNm ne provoque pas de dommages génétiques et n'affecte pas la progéniture des individus vaccinés."

On a eu aussi droit à ceci : "Tous les lots de vaccins Covid distribués aux Australiens ont été testés pour la présence de contaminants, y compris les niveaux résiduels de matrices d'ADN."

Cependant, une affaire judiciaire déposée devant la Cour fédérale australienne en juillet de cette année allègue que la TGA n'est pas le régulateur approprié des vaccins à ARNm Covid car, selon la définition de la Gene Technology Act (2000), la contamination par l'ADN génère un organisme génétiquement modifié (OGM).

Le plaignant, le médecin et pharmacien victorien Dr Julian Fidge, réclamait une injonction pour empêcher Pfizer et Moderna de distribuer leurs vaccins à ARNm Covid parce qu'ils n'ont jamais obtenu de licence de l'Office of the Gene Technology Regulator (OGTR), qui est l'agence qui supervise tous les produits liés aux OGM.

La TGA n’a pas exigé de tests de génotoxicité ou de cancérogénicité avant de fournir une approbation provisoire et, éventuellement, un enregistrement complet des vaccins Moderna et Pfizer Covid. Les directives de l'OGTR suggèrent fortement que de tels tests devraient être entrepris lorsqu'il existe un risque de préjudice pour la santé humaine.

McKernan, qui a fourni des conseils d'expert sur l'affaire, convient que la contamination par l'ADN des vaccins à ARNm correspond à la définition légale australienne d'un OGM. Et il existe également un deuxième composant des vaccins à ARNm qui correspond à la définition.

Il s’agit de l’ARNm lui-même, qui est en fait un ARN modifié enveloppé dans des nanoparticules lipidiques (LNP). Il semble bien que ce "complexe LNP-mod-ARN" relève de la définition légale d'un OGM et que, comme la contamination par l'ADN, il a la capacité de pénétrer dans le noyau cellulaire et de s'intégrer dans le génome humain.

Il existe déjà au moins un article scientifique évalué par des pairs démontrant que l’ARNm du vaccin Pfizer Covid peut pénétrer dans la lignée cellulaire hépatique humaine et effectuer une transcription inverse en ADN in vitro (c’est-à-dire dans une boîte de laboratoire).

D’autres études citées dans les documents relatifs au dossier montrent la présence de la protéine Spike d’ARNm dans le noyau des cellules humaines et des preuves que les traits immunitaires acquis se transmettent à la progéniture de souris pré-exposées à la plateforme ARNm-LNP du vaccin Covid. Ceci suggère qu’une fois dans le noyau, l’ARNm du vaccin peut être transféré et intégré à l’ADN chromosomique.

Prenant à la fois les complexes LNP-mod-ARN et la contamination de l'ADN récemment découverte présente dans les vaccins à ARNm Covid, l'avocate Katie Ashby Koppens déclare : "Chaque personne à qui ces produits ont été injectés a reçu un OGM qui n'a pas été soumis au processus réglementaire expert du pays. Elle ajoute : « Le génome humain pourrait être modifié de façon permanente, et personne n'en était informé."

Aujourd’hui, McKernan, Buckhaults et d’autres scientifiques appellent à des recherches urgentes pour vérifier si la contamination par l’ADN persiste dans les cellules des personnes vaccinées à ARNm et si le génome humain a effectivement été modifié par les vaccins à ARNm contre le Covid.

 

Rebekah Barnett

mercredi 6 mai 2020

Charles Darwin, le coronavirus et les lions du Serengeti #3


Épisode §3. Comme un air de fainéantise


Comme je n'ai pas trop de temps en ce moment, je vais, donc, faire comme les étudiants peu inspirés et me contenter de deux citations sous forme de copier-coller.

Le premier numéro de cette série était daté du 23 mars 2020. Il se terminait par un N. B. que je reprends tel quel :
Nota Bene : vous vous doutez bien que ce simple tableau de chiffres est extrêmement riche d'enseignements, sinon, je n'aurais pas pris autant de temps pour le mettre en forme et le présenter ici ! Question : parmi la myriade d'"experts": médecins généralistes, médecins spécialistes, voire professeurs (agrégés des universités !) de médecine se répandant quotidiennement sur les ondes (radio et télévision) de chaînes d'information de France et de Navarre - une spécialité française ! - combien d'entre eux et elles seraient capables d'interpréter à bon escient les chiffres qui précèdent ? Bien évidemment, un simple tableau n'explique pas tout ; il faudrait, par exemple, à l'aide d'un tableur, dresser, pays par pays, l'évolution des courbes de la progression - ou régression - de la pandémie, toutes choses qu'on apprend à faire dès la première année de Fac de... Sociologie (hé oui, je suis aussi passé par-là !). Il n'empêche que ce simple tableau me permet d'affirmer péremptoirement que... cette supposée pandémie ne touchera essentiellement que des... bobos !

Précision utile : les lions du Serengeti..., vous avez compris qu'on était en Afrique ? Quand je parle de bobos, ça concerne les Africains qui voyagent, que d'aucuns appellent des négropolitains, à l'instar de l'ex-premier ministre de la Somalie évoqué dans l'épisode précédent. En tout cas, en Afrique, l'affaire semble entendue depuis quelque temps.
Source

Tiens, à ce propos, une autre citation, tirée du quotidien Le Monde. 
L’afro-alarmisme n’a-t-il pas été excessif ? Les scénarios catastrophes spéculant sur l’effet déstabilisateur du Covid-19 en Afrique n’ont-ils pas été un peu hâtifs ? (...) Plus de onze semaines après son apparition sur le continent (le 14 février en Egypte), le séisme sanitaire tant redouté par de nombreux responsables ne s’est, à ce jour, pas produit. Alors que l’Afrique concentre 17 % de la population mondiale, elle enregistrait lundi 4 mai 44 034 contaminations (soit 1,2 % du total mondial) et 1 788 morts (0,7 %), selon le bulletin quotidien diffusé par le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC), à Addis-Abeba. Le continent fait bien meilleure figure que l’Europe ou les Etats-Unis.
Aurait-on péché par excès de catastrophisme ? D’un simple point de vue statistique, l’Afrique inflige un cinglant démenti à des prédictions comme celle qu’énonçait un rapport de la commission économique de l’Union africaine (UA), mi-avril, anticipant 300 000 morts même si le continent adoptait des mesures maximales de précaution. On en est très loin. (...) « On apprécie le fait qu’à ce jour l’hécatombe ne s’est pas produite », relève Yap Boum, épidémiologiste à Yaoundé et représentant régional d’Epicentre, la branche recherche et épidémiologie de Médecins sans frontières (MSF). « Pour l’instant, nous sommes agréablement surpris et un peu rassurés de voir comment l’épidémie évolue, abonde Elisabeth Carniel, directrice du Centre Pasteur du Cameroun. L’Afrique ne connaît pas, en tout cas pour l’instant, l’explosion qui avait été prédite sur la base de modèles en vigueur en Europe. » (Source)

No comment! 


mercredi 15 avril 2020

Sémantique de la désinformation #28


Épisode §28.  À en croire Mme La Rumeur, il semblerait que...

Vu sur le site d'un "célèbre" animateur français de télévision :

Vous n'avez pas tout compris ?

C'est pourtant clair, non ? "Un article du (journal) (Le) Parisien du 5 mai 2013 annonçait-il la création... du coronavirus ? (...) La rumeur enfle..."

Question : sur quoi porte la rumeur ? Elle ne pourrait porter que sur deux choses optionnelles :
  • soit sur l'existence de l'article en question (voyez l'interrogation "annonçait-il... ?")
  • soit sur le contenu de l'article en question, à savoir la création (en laboratoire) du coronavirus.
Entre nous, vous ne trouvez pas étrange cette façon de présenter les choses ? Une "rumeur" ne saurait concerner un fait avéré. Or, que  découvrons-nous à la suite de l'image affichée plus haut ? Ceci :



Sur un point au moins, le premier évoqué dans notre alternative mentionnée plus haut, les faits sont avérés, à savoir que l'article en question existait bel et bien, se référant même aux réactions assez indignées (à l'époque de sa rédaction) d'un certain nombre de représentants de la communauté scientifique. Car il est permis de supposer que ce sont bien des scientifiques qui ont fourni au journal l'infographie du virus spéculatif.

Dans ces conditions, à qui va-t-on faire croire que, tout d'un coup, l'ensemble de la communauté scientifique aurait tourné casaque sur l'origine nullement impossible d'une manipulation du "New Coronavirus" en laboratoire ? (1)



(1) Ce qui ne démontre en rien une quelconque culpabilité de la Chine en la matière. Osons un scénario parmi d'autres, et supposons que, bien des scientifiques et militaires connaissant (dès 2013) d'éventuels projets chinois portant sur un nouveau coronavirus, un/des laboratoire(s) concurrent(s), disons d'obédience militaire, ai(en)t procédé à la confection d'un "sosie" du prototype chinois et l'ai(en)t balancé dans la nature, dans le but avéré de désigner la Chine du doigt... Impossible ? Voyez la traduction que j'ai réalisée, ici même, d'un papier allemand, révélant que le fameux Novitchok était parfaitement connu des Occidentaux grâce à un transfuge soviétique qui en avait rapporté un échantillon dans ses bagages, alors même que la "rumeur" avait tenu à nous faire croire que le poison ne pouvait être que russe...

Question : pourquoi diable les "Occidentaux" ont-ils si longtemps fait peser les soupçons de l'attaque au Novitchok à Salisbury sur les Russes, alors même qu'ils (les "Occidentaux")  possédaient ce poison depuis des décennies ? (2)

Par ailleurs...


... trop tôt pour affirmer que le Covid-19 soit d'origine chinoise...

(2) Et, comme souvent dans les affaires de désinformation, voilà que l'ex-espion soviétique et sa fille, empoisonnés au Royaume-Uni, sont sortis des écrans-radar, comme preuve que la "manip" anti-russe a lamentablement échoué !


Lecture 



vendredi 3 avril 2020

Propos sur la résurrection de Lazare, que Didier Raoult aurait pu sauver du coronavirus


Un quasi miracle pascal, autour de l'hydroxychloroquine

Je commencerai volontiers par une méchanceté, ou un coup de gueule, c'est selon, et il vise une des sommités françaises de la recherche médicale, j'ai nommé Mme Françoise Barré-Sinoussi, dont j'espère vivement qu'elle est bien plus qu'une vulgaire "technicienne de laboratoire" bardée de diplômes et de distinctions. (Précision utile : ce qui précède n'a rien de désobligeant pour les techniciens de laboratoire, venant d'un ancien condisciple de l'Université Louis Pasteur de Strasbourg !).

J'en entends qui s'étranglent : "Non mais sans blague, c'est qu'il ne manque pas de culot !".

J'ai déjà eu l'occasion d'exprimer ici (voir de récents articles) tout le mal que je pensais de ces médecins et autres professeurs de médecine (français) se relayant, depuis quelques semaines maintenant, sur toutes les chaînes d'information à la télévision, la plupart du temps pour ne pas dire grand chose de bien consistant.

C'est ainsi qu'à ce jour, pas un seul de ces "experts" de la médecine n'a daigné venir sur un plateau avec un tout petit ustensile que moi, j'utilise tous les matins, dès lors que j'estime que c'est bien là le tout premier outil du dépistage du corona-machin-chose, à savoir un thermomètre. Le mien est à infrarouge et a coûté moins de dix euros chez Lidl.

Et comme je l'expliquais tantôt sur mon compte Tw..., "pas de toux + pas de fièvre = pas de panique !".

Sinon, que dire de notre prestigieuse lauréate du prix Nobel de médecine (2008) ? Que j'ai quasiment sauté au plafond en découvrant son communiqué.
 
"L'efficacité de l'hydroxychloroquine n'a pas été prouvée de façon rigoureuse. J'attends les résultats de l'essai Discovery (...) il est fait dans les règles de l'art. Soyons patients", a-t-elle déclaré au journal le Monde... 

Des propos secs, desséchés et desséchants de technocrate de la blouse blanche, relayés par ceux d'autres technocrates bien confortablement installés derrière leurs bureaux :

En réaction à cette polémique, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis en garde dans un communiqué publié lundi contre "les faux espoirs, les études réduites et non randomisées, réalisées à partir d'observation". Ces études "ne nous apporteront pas des réponses dont nous avons besoin", a indiqué l'OMS.  (Source)

Ceux-là ne connaissent que leurs formules chimiques, leurs tableaux Excel et leurs routines apprises par cœur et, surtout, loin du terrain, de la sueur et des larmes, celles des vraies gens, par exemple ces familles (soyons patients ! leur dit la dame) à qui on apprend qu'un des leurs a succombé au Covid19.

Mme le prix Nobel n'est pas médecin, juste une "technicienne de laboratoire" bardée de diplômes et de distinctions, et ça se li(sai)t dans son communiqué. 

Dois-je rappeler à Mme le prix Nobel (2008) cette grande personnalité scientifique que fut Marie Curie et les conditions plus que chaotiques dans lesquelles - loin de tout protocole expérimental rigoureux ! - elle dut expérimenter - in situ - la radiologie, à savoir sur les champs de bataille de la Grande Guerre (1914-1918) ?
  
Les technocrates façon Barré-Sinoussi sont précisément tout le contraire de toutes ces gens qui ont les mains dans le cambouis en ce moment-même - près de 500 décès tous les jours, en France -, à l'instar de ce professeur Raoult qui, à la guerre comme à la guerre, fait avec ce qu'il a sous la main, parce que la médecine n'est pas une science totalement exacte (cf. "dans les règles de l'art", sic.) : donc, on innove, on improvise, et l'on apprend de ses erreurs !

Ça tombe bien, je découvre tantôt un tout petit article sur le sauvetage quasi-miraculeux d'un homme qui s'était vu mourir du coronavirus, et qui fut sauvé grâce à..., je vous le donne en mille ? Ci-dessous ma traduction, suivie de  l'original du texte.


Diagnostiqué avec une pneumonie et un coronavirus, Rio Giardinieri, 52 ans, a été admis en soins intensifs à l'hôpital Joe Di Maggio, dans le sud de la Floride. Après plus d'une semaine sans la moindre amélioration, les médecins lui ont dit qu'ils ne pouvaient plus rien faire. Désespérément malade, Giardinieri a commencé à faire ses "adieux" à sa famille et à ses amis.

C'est alors qu'un ami lui a dit qu'il y avait un "remède" potentiel pour le coronavirus, un médicament antipaludique appelé hydroxycloroquine. Bien que les médecins de l'hôpital aient déclaré qu'ils ne pouvaient pas lui prescrire de l'hydroxycloroquine, ils ont mis Giardinieri en contact avec un médecin spécialiste des maladies infectieuses qui a autorisé l'utilisation du médicament. Le lendemain matin, soutient l'intéressé, il s'est réveillé dans une forme "absolument parfaite".

Giardinieri s'est rendu chez Glenn Beck, dans le cadre de l'émission de radio présentée, mardi, par ce dernier, afin de partager sa formidable expérience et expliquer pourquoi il regrette que les informations sur ce traitement prometteur contre le COVID-19 ne soient pas plus facilement disponibles.

"Je ne suis pas un scientifique. Je ne suis pas médecin. Je peux juste vous dire ce que je ressens. Et je sais que je n'allais pas bien. Dans mon esprit, je ne pensais pas que j'allais être encore là le lendemain matin", a déclaré Giardinieri. "Je ne sais pas à quoi d'autre attribuer mon rétablissement, hormis ce médicament... et ce n'est pas seulement chez moi qu'il a fonctionné. Il y a beaucoup de gens pour qui cela a fonctionné. Donc, vous savez, je comprends certainement les positions de l'hôpital. Il ne doivent pas être trop heureux que je raconte l'histoire. Mais les faits sont les faits."


The facts are the facts 

Diagnosed with pneumonia and coronavirus, Rio Giardinieri, 52, was admitted to the ICU at Joe DiMaggio hospital in South Florida. After more than a week without showing any improvement, doctors told him there was nothing more they could do. Desperately ill, Giardinieri started saying his "goodbyes" to family and friends. 

That's when a friend told him there was a potential "cure" for coronavirus, an anti-malaria drug called hydroxycloroquine. Though doctors at the hospital said they couldn't prescribe hydroxycloroquine, they put Giardinieri in touch with an infectious disease doctor who authorized the use. The next morning, he says he woke up feeling "absolutely perfect."

Giardinieri joined Glenn Beck on the radio program Tuesday to share his remarkable story and to weigh in on why he thinks information about this promising treatment for COVID-19 isn't being made more readily available. 

"I'm not a scientist. I'm not a doctor. I can just tell you how I feel. And I know that I was not doing well. In my mind, I didn't believe I was going to be here by the morning," Giardinieri said. "I don't know what else to attribute [for recovery] but that medicine ... and it's not just me that it's worked for. There're many people this has worked for. So, you know, I certainly understand the hospital's position. They may not be too happy about me telling the story. But the facts are the facts."


Un commentaire supplémentaire ?

L'exemple de cet Américain nous montre que, contrairement aux réticences de Didier Raoult, l'hydroxychloroquine peut encore produire des effets même sur un patient à l'article de la mort. Un peu comme un Lazare, ressuscité d'entre les morts par cette bonne vieille nivaquine ! 


Citation :

Les interventions de madame Curie seront d’abord accueillies avec réticence par les militaires et les médecins (on est encore loin de la parité homme-femme) mais sa détermination, ainsi que ses connaissances en viendront vite à bout et Marie Curie sera demandée de toutes parts. (Source)