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mercredi 4 janvier 2012

Nicolas S. ou l'inexorable déconfiture du bonapartisme français et du judéo-christianisme

Question : comment certaines personnes peuvent-elles se regarder dans une glace sans avoir envie de vomir ?

Réponse : un début d'explication se trouve ci-dessous, ou quand le cynisme le dispute à l'indécence !




"Le président Bachar al-Assad doit quitter le pouvoir (...) Ses massacres suscitent (...) l'écoeurement et la révolte."

Ceux que ça intéresse liront avec profit la parabole évangélique sur le pharisien, et le publicain, texte (les Évangiles) que le pauvre homme [celui qui se permet de donner des leçons de bienséance à Assad, malgré le lourd passé de la France en matière de liquidations massives (1)] figurant plus haut ne doit pas avoir souvent lu, et que les images qui suivent illustrent amplement.













(1) À ceux qui ne connaissent pas le passé génocidaire de la France coloniale, je conseille une petite recherche sur Internet à propos de Sétif et Guelma (Algérie), Thiaroye (Sénégal), Madagascar, les Algériens et la Nouvelle Calédonie, Louise Michel, le Cameroun (De Gaulle et Pierre Messmer) pour m'en tenir à ces exemples.


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samedi 8 octobre 2011

Libye : quand les émules de Goebbels se prennent pour des journalistes. L'exemple de l'AFP

Lu dans liberation.fr (je n'achète plus aucun journal, pas même après la mort de Steve Jobs sauf occasion rarissime !), un papier signé AFP (tiens Monsieur Mathieu est en vacances ?, pour ceux qui ont lu ma précédente analyse sur un papier de Libération, quotidien français) cité in extenso.

Ceux qui ont déjà lu mes précédentes analyses de texte savent désormais comment procéder pour lire un article de presse entre les lignes. Cette fois, c'est vous qui allez analyser le texte. Je me suis contenté (!) de mettre quelques passages en exergue, mais vous n'êtes nullement obligé(e)s d'en tenir compte (!). Juste une chose, tout de même : qui rédige l'article et à partir de quelles sources ? Reste la question de la justification de la campagne de Libye : qui se résume en trois sigles : ONU, OTAN, 1973.

Et maintenant, c'est à vous.


SYRTE (Libye) (AFP) - Les forces du nouveau régime libyen ont progressé samedi dans Syrte au prix de combats féroces et de lourdes pertes, resserrant inexorablement l'étau autour des derniers partisans du régime déchu.

"Les dernières batailles sont toujours les plus terribles", a estimé le président du Conseil national de transition (CNT, ex-rébellion), Moustapha Abdeljalil, qui a reconnu que les combats à Syrte, à 360 kilomètres à l'est de la capitale libyenne, étaient "féroces".

"Nos combattants, encore aujourd'hui, ont affaire à des tireurs embusqués postés sur des points hauts à Syrte", a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Tripoli avec les ministres de la Défense italien et britannique.

C'est à la chute de l'ensemble de la région de Syrte, théâtre de combats violents depuis le 15 septembre, que le CNT compte proclamer la "libération" du pays. Outre Syrte, seul le bastion assiégé de Bani Walid au sud-est de Tripoli résiste encore.

En deux jours, les combats à Syrte ont fait 18 morts et près de 300 blessés dans les rangs des pro-CNT, selon Hassan Umran, médecin dans un hôpital de campagne à 50 km de la ville côtière où les forces du CNT ont lancé une "grosse opération" pour tenter de venir à bout de la résistance de leurs adversaires.

Elles ont progressé dans le centre-ville et autour de plusieurs zones stratégiques où les hommes restés fidèles au leader déchu Mouammar Kadhafi se sont retranchés.

Les pro-CNT sont parvenus à prendre le contrôle d'un important axe routier reliant le centre-ville au Centre de conférences Ouagadougou et à l'université, plus au sud. Ce Centre, vaste rectangle de béton en forme de blockhaus où se tenaient des sommets africains, et l'université sont des objectifs importants et font l'objet depuis des jours d'âpres combats de rue et à l'arme lourde.

"Nous nous sommes emparés de l'avenue. Nous contrôlons toute la route", a affirmé à un journaliste de l'AFP Naji Mismari, commandant CNT dont les hommes se trouvent désormais à moins d'un 1 km du Centre de conférences.

"Il y a des morts partout dans les maisons, nous avons libéré 17 familles coincées par les combats", a-t-il ajouté.

Plusieurs bâtiments autour du Centre sont également passés sous contrôle des ex-rebelles, a indiqué depuis Misrata le conseil militaire du CNT, parmi lesquels un vaste complexe de 700 logements en construction, d'où opéraient de nombreux tireurs embusqués pour ralentir la progression des anti-Kadhafi.

"Les snipers se trouvent désormais dans des bâtiments en hauteur, plus loin à l'intérieur de la ville", a déclaré un combattant pro-CNT au milieu des villas de luxe dévastées et criblées de balles.

La veille, les forces du CNT ont lancé une vaste offensive coordonnée depuis l'ouest, le sud et l'est, pour acculer les forces pro-Kadhafi vers la mer, avec le soutien aérien de l'Otan.

Mais à mesure que l'étau se resserre, les tirs fratricides augmentent. A plusieurs reprises vendredi, des combattants ont reçu l'ordre d'arrêter de tirer car ils touchaient d'autres pro-CNT quelques kilomètres plus loin.

Sur le plan humanitaire, la situation des civils reste critique. Selon la Croix-Rouge internationale, "plusieurs milliers de civils sont toujours bloqués dans Syrte" et seuls quelques médecins sont présents à l'hôpital Ibn Sina, le principal de la ville, pour soigner les blessés.

"En raison des combats, la plupart des patients ont été déplacés vers les couloirs et l'hôpital est plein de civils, dont de nombreuses femmes avec des enfants en bas âge", a déclaré Cordula Wolfisberg, médecin de la Croix-Rouge qui a pu pénétrer dans l'hôpital jeudi.

Plus au sud, à Bani Walid, vaste oasis au relief accidenté à 170 kilomètres au sud-est de Tripoli, les pro-Kadhafi opposaient eux aussi une résistance opiniâtre, que les pro-CNT tentaient à nouveau de contourner en négociant avec les tribus de la ville.

"Nous avons demandé une réunion afin de pouvoir entrer à Bani Walid sans combat, mais s'il n'y a pas d'accord, nous n'aurons d'autre choix que d'attaquer", a déclaré un commandant sur le front. Des milliers d'habitants ont fui Bani Walid depuis plusieurs semaines et l'exode se poursuit.

© 2011 AFP


Autre lecture (lemonde.fr) :

Syrte (Libye), envoyée spéciale - Soutenus par des tirs d'artillerie lourde et les bombardiers de l'OTAN, les brigades révolutionnaires libyennes sont maintenant engagées dans des combats urbains dont l'intensité peut se mesurer au nombre de cartouches de tous calibres qui recouvrent le sol. Reprenant à leur compte les paroles, devenues légendaires, d'un des derniers discours de Mouammar Kadhafi, les pick-up chargés de civils-soldats ont entrepris, mardi 5 octobre, de traquer l'ennemi zenga zenga, "ruelle après ruelle", dar dar, "maison après maison"...


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jeudi 6 octobre 2011

La Libye : comme un Dien Bien Phu sur un océan de sable

National Geographic. Excellente revue américaine de dépaysement. Le numéro français d'octobre affiche en Une les seigneurs du désert. Quel désert ? Comment ça, quel désert ?! LE désert (en arabe "as-sahara" : الصحراء ). Vous avez compris qu'on ne dit pas "le désert du Sahara" car ce serait un truisme, ou un pléonasme !

Et ce Sahara-là risque fort d'être le Diên Biên Phú d'Obama et de ses supplétifs en Libye ! 



sahara


Faut-il que les soi-disant "grands de ce monde" soient tombés sur la tête pour n'avoir pas pris la mesure d'une expédition militaire aussi hasardeuse que celle issue de la résolution onusienne 1973 ?

Et faut-il que les services de renseignements de ces pays soient devenus si peu performants pour n'avoir pas prévenu leurs employeurs étatiques des dangers d'une telle campagne ?

Pour mémoire, les hélicoptères, si sophistiqués soient-ils, détestent le vent de sable, qui s'engouffre dans les tuyères. Par ailleurs, sur un aussi immense océan de sable, impossible de faire voler des hélicoptères sur de longues distances, car ils ne peuvent pas être ravitaillés en vol. Et dans quelques semaines, le vent de sable va se lever !

Ils ont créé Ben Laden et Al Qaeda en Afghanistan. Aujourd'hui, ils prétendent les combattre, voire annoncent des éliminations, mais personne n'est dupe. Le fait est que personne n'a vu Ben Laden ni l'émir d'Al Qaeda au Yémen morts ! Et si ça se trouve, ils sont bien vivants, sous de fausses identités, dans des villes américaines ou sous protection de la CIA, comme Belhadj à Benghazi ! En attendant, il faut que des soldats occidentaux continuent de mourir en Irak ou en Afghanistan pour que le grand public continue de croire qu'Al Qaeda est bien un ennemi des occidentaux, ce qui est complètement faux !

Ou alors il faudrait nous expliquer pourquoi la collusion d'Al Qaeda en Libye avec les occidentaux n'a toujours pas été dénoncée comme une trahison par la maison-mère !

AQMI a bien été créé pour déstabiliser les pays du nord de l'Afrique. C'est pourquoi il faut débarrasser l'Afrique d'Al Qaeda Maghreb Islamique. Et cela passe par ce qui est en train de se dessiner, une véritable bombe pour la coalition coloniale de l'ONU-OTAN.

Vous savez quoi ? Les seigneurs du désert, ces fameux Targhi, ou Touaregs, sont en train de se regrouper pour aller prêter main forte aux frères de Libye.

Les Touaregs, le premier peuple authentiquement africain. Comment ça ? Parce que eux au moins se rient des frontières coloniales tracées par les Européens. Leur pays c'est le Sahara. Autant dire que l'agression coloniale contre la Libye va avoir une conséquence que les criminels du syndicat ONU-OTAN n'avaient pas prévue : la mobilisation de toutes les composantes du peuple touareg, de la Mauritanie à la Somalie, du Maroc à l'Ethiopie, et du Tchad à l'Algérie, du Mali au Niger.

Kadhafi rêvait des Etats-Unis d'Afrique ? Son souhait risque d'être exhaucé plus vite qu'il ne l'aurait imaginé, en commençant par tout le grand Maghreb. Autant dire que les révolutionnaires tunisiens ou égyptiens, mais aussi marocains, algériens, mauritaniens, maliens, nigeriens..., en attendant d'essaimer vers l'ensemble du continent, auraient intérêt à comprendre le sens de l'Histoire, à savoir qu'ils ont une chance unique de doper leur mouvement en rejoignant le camp des nouveaux coalisés anti-impérialistes que Kadhafi, le bédouin, a initié avec son idée révolutionnaire de Jamahiriya

Première retombée concrète et logique de la révolution en cours : la fin du statu quo au Sahara Occidental, et cette fois, c'est le régime même de Mohamed VI qui pourrait y passer, lui qui ne pense qu'à jouer les harkis pour le compte des Occidentaux. Il est vrai qu'il n'y a pas si longtemps, le Maroc rêvait d'être intégré à l'Union Européenne. Ce qui est certain est que ce régime plus que fantoche survivra difficilement à un double mouvement dans la population marocaine et parmi les indépendantistes du Polisario, surtout si ce double mouvement venait à converger...

Ils croyaient déstabiliser Kadhafi ? Vous allez voir que ce sont leurs propres larbins en Afrique qui risquent de mordre la poussière.

Ah, les cons !




dimanche 2 octobre 2011

Libya: the Dien Bien Phu syndrom. Libya: el síndrome de Dien Bien Phu. Libye : le syndrome de Dien Bien Phu

Et dire que l'équipée des forces de la croisade judéo-chrétienne ne devait durer que quelques jours, dès lors que les populations opprimées par l'infâme Kadhafi se seraient jetées au cou de leurs libérateurs blancs ! Et puis, patatras ! Nos experts avaient juste minimisé quelques détails, que nous n'avons pas cessé d'évoquer, à savoir que Kadhafi n'était pas Saddam Hussein et qu'il n'était pas un mauvais joueur d'échecs, sachant parfaitement qu'une partie ne s'apprécie qu'au tout dernier coup !

Diên Biên Phú, c'est quelque part la fin de l'arrogance coloniale, quand un petit pays, le Vietnam, sous-équipé, vient à bout du terrorisme d'Etat français. Curieusement, les Américains ne retirent rien de l'humiliation française de Dien Bien Phu, puisqu'ils vont se jeter, la tête la première, dans le piège vietnamien, ce qui va conduire à cette autre débâcle de 1975...

Juste un petit rappel : la Libye, c'est grand comme trois fois l'Afghanistan et comme cinq fois le Vietnam. Et au Vietnam aussi, il y avait des harkis : des Vietnamiens qui avaient choisi de combattre aux côtés des envahisseurs venus détruire leur pays sous les bombes !

Quand un pays prétendument civilisé commet des crimes contre l'Humanité de sang froid, avec la certitude de n'être jamais jugé ! Cette image d'enfants vietnamiens dont le village a été "traité" au napalm est célèbre. Cela dit, les crimes américains au Vietnam ne font que suivre de peu ces deux crimes MAJUSCULES que furent Hiroshima et Nagasaki ! Mais entre nous, pas mal d'années avant les Américains, la France "traitait" déjà les villages du Cameroun au napalm ! (Voyez le gouvernorat du Cameroun sous De Gaulle-Messmer, entre 1955 et  1958, sans oublier Sétif, 1945 et Madagascar, 1947 !)

Ambassade américaine à Saigon, 30 avril 1975. Jour de débâcle. Il faut évacuer, dare-dare, tous les harkis (traîtres à leur pays) ; enfin, tous, ça va être difficile !

Le dernier matin

Tout s'effrite. Tout se disloque. Le temps s'étire dans le silence revenu. Il bancale, il s'arrête. Le ciel se retourne et devient bleu comme jamais. Le soleil sourit aux vainqueurs. Il nargue les vaincus.

Il est 3 heures de l'après-midi. Au-dessus de la plaine, imperturbable, un Dakota scintillant de lumière largue des colis inutiles et dérisoires. Il y a quatre longues heures que Diên Biên Phu n'a plus besoin de rien. Rien en tout cas qui puisse venir d'ailleurs. Le camp retranché ne peut plus compter que sur lui-même et puiser dans son propre courage la force d'assumer son destin.

Depuis 11 heures ce matin, plus aucune des positions françaises à l'est de la Nam Youm n'est tenue. Leurs garnisons ont été submergées ; elles ne se sont pas rendues.

Eliane 10 est tombé à l'aube. Il n'y avait plus que deux officiers, retranchés sur le toit d'un abri. Les lieutenants Bailly, du 8ème Choc, envoyé en renfort, arrivé seul, et Le Boudec. Ils étaient grièvement blessés et les Viets les ont laissé brancarder jusqu'à l'antenne chirurgicale. Le Boudec sera le dernier opéré du commandant Grauwin.


The ultimate Generalíssimo: Nguyên Vô Giáp, born on August 25th, 1911


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samedi 10 septembre 2011

Barack Obama's personal Klu Klux Klan in Libya. Obamas persönlicher Klu Klux Klan in Libyen. Quand Obama s'allie à des racistes anti-nègres en Libye. Obama suportando anti-negros en Libya

Ce texte sera bientôt disponible dans une traduction française. Deutsche Übersetzung folgt bald. Estamos traduciendo el artículo. (Lien ci-dessous. Verbindung unten. Lazo abajo)


Source


(...) Obama’s personal Klu Klux Klan: Al Qaeda!

The US, UK, and France, are capitalist plutocracies (ruled by a few rich). The US is a settler colonial state on the stolen land of the indigenous people which denied Africans, Indigenous People, Women, and landless white indentured servants and settlers, the right to vote for hundreds of years. Today in America an electoral college of imminent private citizens votes for the president, not the people!!!

The US President sends its settler colonial citizens to die in wars throughout the world against the will of its citizens; today the US is fighting four wars.

Britain is ruled by a Queen with no constitution and an unelected House of Lords. Therefore their crusade for democracy contrasts with their own dictatorial practice. Britain calls those rebelling against police terrorism in Britain criminals while calling Al Qaeda in Libya pro democracy forces.

France’s Constitutional Council swears in the President of France, but when the same type of Constitutional Council swore in Laurent Gbagbo in Cote D’Ivoire, France used its military to bomb the Presidential Palace and sent French commandos to capture the Ivorian Head of State and humiliate him and his wife who are currently in captivity today.

This hypocritical behavior demonstrates how the US/NATO can finance, arm, train, provide military air cover for Al Qaeda terrorist. They put a NTC mask on Al Qaeda and instruct nations of the world to recognize it as the Libyan government, imposing it with billions of dollars in bombs while fighting Al Qaeda in Afghanistan. Yes!!!!! The National Transitional Council is Al Qaeda!!!!! They are the CIA trained terrorist organization of Osama Bin Laden. They were initially the Libyan Islamic Fighting Group (LIFG) and

Obama, the US President with a Black African father from Kenya and a Black wife and children is sponsoring a Klu Klux Klan, Apartheid, movement in Libya to murder Black people because of the color of their skin. In fact, if the Al Qaeda terrorist saw Obama, his, wife, or his family in Libya and didn’t know who they were, they would be lynched, raped, and tortured.

White Supremacy has massaged Obama’s head like a baby and now he has the mind of a white supremacist with the body of an African. Al Qaeda is Obama’s personal Klu Klux Klan. This means Africans in America and Africans throughout the world must organize to defend themselves because like Malcolm X said, “[the house slave] identified himself with his master more than the master identifies with himself” and “if the masters house caught on fire, the house slave would fight harder to put the fire [capitalist crisis] out than the master.”

Obama is a 21st century House Slave leading an imperialist and white supremacist invasion of Africa and using an apartheid Klu Klux Klan CIA trained Al Qaeda movement to commit genocide by bombing women, children and babies, and specifically targeting Black Africans for enslavement and genocide.

The African masses must act now!

United Africa is invincible!


Français - Deutsch - Castellano 



vendredi 9 septembre 2011

That is what they call a scoop: guess who is actually doing the killings in Libya? Ça pour un scoop, c'est un scoop: devinez quels sont les vrais exécuteurs en Libye ? Das ist, was sie ein Scoop nennen: raten sie mal wer sind eigentlich die Schlächter von Negern in Libya. Eso es lo que llaman "scoop". ¿Saben Uds quién está haciendo los asesinatos en Libia?

This text is to be translated into German, Spanish, French... Ce texte sera bientôt disponible en version française. Die Übersetzung dieses Artikels erscheint bald. Estamos traduciendo esto artículo en castellano.

A U.S. Congressman visiting Libya with insider's look! And do you know what he actually saw?

Source : Mathaba


U.S. Congressman Witnessed European Special Forces Beheading Libyans

Walter Fauntroy, Feared Dead in Libya, Returns Home -- Guess Who He Saw Doing the Killing?


by Valencia Mohammed


Former U.S. Congressman Walter Fauntroy, who recently returned from a self-sanctioned peace mission to Libya, said he went into hiding for about a month in Libya after witnessing horrifying events in Libya's bloody civil war -- a war that Fauntroy claims is backed by European forces.

Fauntroy's sudden disappearance prompted rumors and news reports that he had been killed.

In an interview inside his Northwest D.C. home last week, the noted civil rights leader, told the Afro that he watched French and Danish troops storm small villages late at night beheading, maiming and killing rebels and loyalists to show them who was in control.

"'What the hell' I'm thinking to myself. I'm getting out of here. So I went in hiding," Fauntroy said.

The rebels told Fauntroy they had been told by the European forces to stay inside. According to Fauntroy, the European forces would tell the rebels, "'Look at what you did." In other words, the French and Danish were ordering the bombings and killings, and giving credit to the rebels.

"The truth about all this will come out later," Fauntroy said.

While in Libya, The former congressman also said he sat down with Libyan leader Moammar Gaddafi for a one-on-one conversation. Gaddafi has ruled Libya since 1969, when he seized power in a military coup.

Fauntroy said he spoke with Gaddafi in person and that Gaddafi assured him that if he survived these attacks, the mission to unite African countries would continue.

"Contrary to what is being reported in the press, from what I heard and observed, more than 90 percent of the Libyan people love Gaddafi," Fauntroy said. "We believe the true mission of the attacks on Gaddafi is to prevent all efforts by African leaders to stop the recolonization of Africa."

Several months ago, Gaddafi's leadership faced its biggest challenge. In February, a radical protest movement called the Arab Spring spread across Libya. When Gaddafi responded by dispatching military and plainclothes paramilitary to the streets to attack demonstrators, it turned into a civil war with the assistance of NATO and the United Nations.

Fauntroy's account could not be immediately verified by the Afro and the U.S. State Department has not substantiated Fauntroy's version of events. Fauntroy was not acting as an official representative of the U.S. in Libya. He returned to Washington, D.C. on Aug. 31.

When rumors spread about Fauntroy being killed he went underground, he told the Afro in an interview. Fauntroy said for more than a month he decided not to contact his family but to continue the mission to speak with African spiritual leaders about a movement to unify Africa despite the Arab uprisings.

"I'm still here," Fauntroy said, pointing to several parts of his body. "I've got all my fingers and toes. I'm extremely lucky to be here."

After blogs and rumors reported Fauntroy had been killed, the congressional office of Del. Eleanor Holmes Norton (D-DC) announced on Aug. 24, that she had been in touch with authorities who confirmed Fauntroy was safely in the care of the International Committee of the Red Cross.

Inside his home, Fauntroy pulled out several memoirs and notebooks to explain why he traveled to Libya at a time when it was going through civil unrest.

"This recent trip to Libya was part of a continuous mission that started under Dr. Martin Luther King Jr. when he gave me orders to join four African countries on the continent with four in the African Diaspora to restore the continent to its pre-colonial status," Fauntroy said.

"We want Africa to be the breadbasket of the world," he said. "Currently, all the major roads in every country throughout Africa lead to ports that take its natural resources and wealth outside the continent to be sold to the European markets."

Meanwhile reports from Tripoli are coming in.

It seems in the last two weeks, rebel fighters have fired more bullets into the air to express their excitement than were shot during the assault on Tripoli earlier in August. But away from "jubilant" crowds we meet those who are not so pleased.

Abdulrakham lives in Tripoli’s Abu Slim district, which has historically been pro-Gaddafi. When the rebels arrived, his sister was badly injured. She is still in hospital in Tunisia.

Abdulrakham does not want to show his face on camera and insists on a hidden location for the interview. He says the revolution has brought much fear in its wake.

“There is no peace. There is no safety in the city. We do not let our children outside when it’s dark. We are afraid. We always wait for something bad,” he tells RT. “When Gaddafi was here, at least we didn’t have to sleep awake, like we do now.”

Abdulrakham says he also wanted change and a brighter future for his country, but not this way.

“People are dying on both sides,” he continues. “The city’s been destroyed – and no one cares! Do they seriously think they changed it for the better? Don’t lie to yourself – just look around! Is this what you wanted?”

And what is around is a scene of widespread destruction and social chaos. The badly damaged buildings matched by the rising stench of garbage and decomposing bodies. Armed youngsters roam the streets, barely old enough to understand that what they carry are weapons, not toys.

Many shops, schools, and hospitals are closed, while the city’s cemeteries are growing bigger.