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samedi 16 mai 2020

Retour sur le pseudo État islamique et l'imposture Daesh


Et dire que pendant ce temps, la presse 'mean'stream se taît ! (1)

Vous savez quoi ? Ou la chose est vraie, ou elle est fausse, et dans un cas comme dans l'autre, il va bien falloir que quelqu'un s'explique.

Il se trouve que je fais partie de ces gens qui n'ont jamais cru en l'existence d'un État islamique, dont quiconque de moyennement sensé savait qu'il ne s'agissait que de marionnettes pilotées depuis l'étranger et copieusement stipendiées, militairement et financièrement, au moins à partir de la campagne criminelle du syndicat mafieux baptisé OTAN, entendez OCAN (Organisation Criminelle de l'Atlantique Nord), en Libye (2011).

Et, fort logiquement, je ne crois pas plus à la consistance de ces soi-disant "djihadistes" officiant dans le Sahel africain, des marionnettes capables d'ouvrir 'x' fronts simultanés sur des milliers de kilomètres de distance (Mali, Niger, Burkina-Faso, Tchad, Nigeria, Cameroun, Centrafrique, voire Côte d'Ivoire...). 

Le fait est que l'histoire nous a montré que les insurrections dites 'nationales de libération' (cf. ANC, FLN, Frelimo, MPLA, Tupamaros, Farc, Sandinistes, Sentier Lumineux, Front Islamique du Salut, ETA, IRA, RAF, Brigades Rouges, Action Directe, etc.) se sont toujours déployées sur un terrain strictement national (Afrique du Sud, Algérie, Angola, Mozambique, Nicaragua, Uruguay, Colombie, Pays Basque, Irlande du Nord, Allemagne, Italie, France...) en se servant des pays riverains comme de zones de repli au sein desquelles il s'agissait de se tenir à carreau (sans bouger le petit doigt !).

De fait, aucun des mouvements révolutionnaires armés évoqués plus haut ne s'est jamais permis de se faire des ennemis dans les pays voisins ! Comment Cesare Battisti, activiste italien, aurait-il pu faire le mort pendant tant d'années en France, si d'aventure les Brigades Rouges avaient commis le moindre attentat, en France ?

Et le fait que Boko Haram, par exemple, s'en prenne simultanément aux armées du Nigeria, du Cameroun, du Tchad, du Niger et d'ailleurs montre qu'il s'agit de tout sauf d'une simple insurrection (locale) nigériane. Ces gens ont de gros moyens, sont renseignés (par qui ?) sur la position des troupes gouvernementales de 5, 6 pays !, et disposent de véhicules 4x4 "made in Japan" dont il serait facile de savoir "qui a signé le chèque" !

Et, comme pour confirmer ma théorie, voilà que les masques tombent, en Syrie par exemple, comme cela nous est révélé par un article du site iranien PressTV.

Et comme je l'annonçais plus haut, ou bien la chose est vraie, ou elle est fausse. Or, pour l'heure, c'est "motus et bouche cousue" du côté de la soi-disant "grande presse" ! 

Ci-dessous, ma traduction de l'article de Press TV annoncé plus haut. 

Des terroristes affiliés à Daech avouent leur coopération avec les forces américaines sur le site syrien d'Al-Tanf

Un certain nombre d'activistes récemment capturés et appartenant au groupe terroriste et takfiriste (baptisé) Daesh, ont avoué avoir étroitement coopéré avec les forces militaires américaines stationnées sur la base d'al-Tanf dans la province syrienne centrale de Homs, pour mener divers actes de terreur et de sabotage.

Au cours des aveux diffusés sur une chaîne de télévision publique syrienne jeudi soir, trois extrémistes - identifiés comme Salah Jaber al-Zaher, Ali Salim Yahya et Amer Abd al-Ghafar Nemah, mais mieux connus par leurs noms de guerre, à savoir Abu Abd al-Rahman al -Salafi, Abu al-Bara'a al-Homsi et Abu Sawan, ont révélé qu'ils avaient été chargés par les forces américaines de viser les troupes du gouvernement syrien dans et autour de l'ancienne ville de Palmyre, la base aérienne militaire de Tiyas - également connue sous le nom de Base aérienne T-4 -, les champs de gaz Shaer ainsi que les puits de pétrole situés à proximité, comme l'a rapporté l'agence de presse officielle syrienne SANA.

"Un jour, un proche collaborateur de notre commandant Hassan Alqam al-Jazrawi est venu vers moi et m'a dit qu'il était en contact avec les Américains à la base d'al-Tanf. L'homme, dont le nom était Hassan al-Wali, a ajouté qu'il était nécessaire de cibler Palmyre et la base aérienne T4, et que les forces américaines nous fourniraient des lance-roquettes et des mitrailleuses, en plus du soutien financier, des voitures et de tout ce dont nous avions besoin.".

"Il a ajouté que les Américains lanceraient également des avions de reconnaissance pour surveiller les mouvements des soldats de l'armée syrienne dans la région de Palmyre et nous informer de leurs activités", a déclaré l'un des terroristes.

Les militants, qui ont été récemment arrêtés lors d'une opération de sécurité dans le désert de Syrie, ont ensuite souligné l'existence d'une coordination entre leurs commandants et ceux de la soi-disant Armée des commandos révolutionnaires.

À un autre stade de leurs aveux, les Takfiris ont abordé les négociations entre leurs dirigeants et de hauts responsables des(dites) Forces démocratiques syriennes (SDF) parrainées par les États-Unis et dirigées par les Kurdes.

L'un des terroristes a déclaré qu'il y avait eu de tels pourparlers entre les deux parties une fois à Raqqah, l'ancienne capitale de facto de Daesh.

"Il y avait une coordination pour toutes les opérations que nous avons menées. Avec l'assentiment des Américains, nous avons déménagé de Raqqa à Dayr al-Zawr. Nous avions la protection de trois véhicules Cougar (mobilité d'infanterie) et de deux Hummers, qui appartenaient aux forces américaines et nous accompagnaient. Des hélicoptères de combat ont également volé au-dessus de Dayr al-Zawr", a-t-il déclaré.

Concernant les sources du soutien financier et logistique, les terroristes ont expliqué que leurs maîtres coordonnaient les affaires chaque mois via la base d'al-Tanf.

"Ils se rendaient à la base tous les mois et apportaient environ trois cargaisons de nourriture, de munitions et d'armes, dont la plupart étaient fabriquées aux États-Unis… Nous avions l'habitude de nous approvisionner à la base. Chaque fois que l'un de nous était blessé, nous l'emmenions là-bas pour un traitement. La base d'Al-Tanf était un refuge pour nous. Nous y allions chaque fois que l'armée syrienne assiégeait une région, y attendions plusieurs semaines et recevions de la nourriture ainsi que les premiers soins.", ont déclaré les membres de Daesh capturés.

Les États-Unis forment des militants anti-Damas à la base d'al-Tanf, située près des frontières de la Syrie avec l'Irak et la Jordanie.
Washington a unilatéralement déclaré une "zone de non-conflit" de 55 kilomètres autour des installations, et a fréquemment menacé de viser les forces syriennes dans la zone.

Source


N.B. Je suppose que vous attendez un commentaire à ce qui précède ? Quand je pense que, dans le Sahel africain, des soldats de l'OTAN, venus soi-disant lutter contre le terrorisme islamiste, tombent régulièrement sous les balles de soi-disant "djihadistes", alors même que c'est ce même OTAN qui leur a fourni les armes dès 2011, tout en soutenant d'autres pseudo-djihadistes en Syrie et en Irak, je pense que la logique de la situation voudrait que l'Afrique se débarrasse définitivement des pompiers-pyromanes étrangers qui l'occupent actuellement. En clair les armées de l'OTAN/OCAN n'ont (plus) rien à faire en Afrique !

(1) Mean : (de l'anglais) en français : vulgaire, méchant, vicieux, épouvantable.


Lectures utiles : 01 - 02 - 03 - 04 - 05

 

Réflexions sur le "shoah-business" #5


Épisode §5.  Vous avez dit "fake news" ?


Vous savez quoi ? Après une bonne vingtaine d'années passées à farfouiller dans une multitude d'archives, j'en suis venu à penser qu'au bas mot, 99 % des informations qui nous sont livrées par les historiens au sujet des camps de concentration nazis sont fausses ou, à tout le moins, truffées - volontairement ou non - d'erreurs, d'inexactitudes, voire d'occultations. Autant dire que pour 1 % de vrai, on doit compter avec 99 % de faux, d'approximatif, de scotomisé (terme tiré de la psychanalyse).

Source : Institut National de l'Audiovisuel (France)

Source
Et je vais vous fournir une démonstration aussi courte que percutante de ma théorie. Prenez le gros titre reproduit ci-dessus. Disons qu'il est faux à... 98 % (au moins !).

Et vous vous interrogez : "Mais elle est où, l'erreur ? Ne sont-ce pas les soviétiques qui ont libéré Auschwitz en janvier 1945 ?".

Vous brûlez ! C'est bien l'Armée Rouge qui a libéré Auschwitz en janvier 1945. Mais regardez bien le titre : il n'est pas question, ici, d'Auschwitz, mais du seul Auschwitz-Birkenau, un quartier parmi la cinquantaine composant le complexe d'Auschwitz !

Hé oui, Auschwitz se composait d'une cinquantaine de sous-camps... De fait, Birkenau s'étendait sur 2 km², soit deux cents hectares, quand l'ensemble d'Auschwitz couvrait près de dix mille hectares (> 96 km²) (1). Nous sommes bien dans un rapport de deux à cent !

Birkenau représentait bien 2 % d'Auschwitz, mais c'est TOUT AUSCHWITZ que les soviétiques libèrent en 1945.

Mensonges, approximations, omissions..., telle semble être la doxa sur laquelle reposent moult essais ou thèses d'historiens patentés, auxquels il faut bien adjoindre toute une cohorte de journaleux et autres journaleuses, toutes gens auxquelles, pour ma part, je n'accorde plus guère d'importance. 


(1) Information dénichée dans le journal intime de Johann Paul Kremer, médecin à Auschwitz (source).


Lectures : 01 - 02 - 03 - 04 (le titre à lui seul [Enseigner...] est une fake news !) - 05 (ceux-là au moins ont compris l'essentiel : le travail forcé !) - 06
 

vendredi 27 décembre 2019

Sémantique de la désinformation §23


Ce qui va suivre pourrait ressembler à un intermezzo (encore un !).

Que dire des visiteurs de ce modeste blog, sinon qu'ils et elles sont plutôt formidables, en me remettant régulièrement devant des "papiers" signés de ma main, et qui étaient largement sortis de ma mémoire. 

C'est ainsi que les statistiques des visites de ce blog font régulièrement (ré)émerger d'anciens articles, que je relis alors avec beaucoup d'intérêt, en me félicitant au passage (eh oui, j'ose l'affirmer !) de ne pas souvent me planter dans mes analyses !

Jugez-en plutôt avec quatre anciens articles ayant fait l'objet de consultation récente via tel ou tel moteur de recherche, articles auxquels j'ai tout au plus modifié une virgule ou une coquille oubliée ici ou là.
  • Prenez cet extrait d'un journal de 20 heures sur la chaîne publique France 2 ; nous sommes en pleine agression "otanienne" en Libye. (Source)

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5QBKJrHl8gF4OsiPYiu9T3I72kgZRzTq8DQU2bchw0XNXuBSAnvHTcK1ZMeWRAANEflVzlPF4yz8K_J01ker1i-Epb86Bu7HVr9UmiRG2fG62DBy81xX5kmIB4rE9QhE0sch0cxlCDZLW/s1600/france2-bhllevy03.jpg

  • Toujours en matière de désinformation institutionnelle, voyez la radio officielle qu'est France Inter ; nous sommes en 2012.


  • Tout le monde sait que, désormais, la Tour Eiffel est cernée par un mur de plexiglas (dont l'entretien coûte une fortune, nous dit-on...), contre lequel je me suis élevé de manière assez véhémente : "entre mur de la honte et mur des cons". 

paris, tour eiffel, concentration, palestine, mur, terrorisme, Source, al qaeda, daech, isis, security, islamisme, terrorist

  • Un de mes nombreux papiers sur la Syrie, cette fois à partir d'une longue citation tirée du Figarovox.


Mais au fait, je suppose que tout le monde sait, désormais, que la fameuse attaque dite chimique sur la Douma, près de Damas, était une fake news, à l'instar de quasiment toutes les pseudo-attaques chimiques imputées au régime de Bachar el-Assad. Pour vous en convaincre, tout en vous interrogeant sur le silence-radio de la grande presse sur les dernières révélations intervenues du côté de l'OIAC, allez, donc, jeter un œil sur les moteurs de recherche... Par exemple ici... 

La morale (provisoire) de l'histoire ? Pour un blogueur lambda, je ne suis pas trop mécontent de la pertinence de mes analyses, ce qu'un certain nombre d'internautes semblent avoir noté, et ce, sur les cinq continents, ce qui m'épate toujours un peu ! 

Lectures : 01 - 02 - 03


samedi 14 septembre 2019

Sémantique de la désinformation #14


Épisode §14. On imagine les supporters de Juán Guaido sautant au plafond !

En tout cas, rien de tel que des sauts de cabri ou de kangourou pour se remuscler les abdos !

Parce que, si la nouvelle se confirme, alors j'en connais un certain nombre, qui doivent sauter au plafond en ce moment-même !

Par parenthèse, Charlie Hebdo est un hebdomadaire satirique français qui, dans une version antérieure, je veux dire du temps où ce journal était encore digne d'être lu, avait une rubrique baptisée "Les couvertures auxquelles vous avez échappé cette semaine" (1).

On aurait pu reprendre la formule ici, avec ce scoop dont je n'ai entendu parler nulle part dans la presse française.

Citation : Juán Guaido may have some explaining to do. Photos have emerged depicting the Venezuelan opposition leader with gang members, confirmed by Colombian police to be leaders in the violent drug trafficking outfit, Los Rastrojos.
The photos first appeared in a tweet on Friday, shared by Wilfredo Canizares of the Fundacion Progresar (Progress Foundation), a Colombian NGO. They depict the US-sponsored “interim president” of Venezuela Juan Guaido posing chummily with two known drug lords, known under the aliases “The Brother,” and “The Minor.” (Source)
Traduction : Juán Guaido va probablement devoir fournir quelques explications. Des photos sont apparues, montrant le chef de l'opposition vénézuélienne en compagnie de membres de gangs, dont la police colombienne a confirmé qu’il s’agissait des leaders d’une violente organisation de trafic de drogue baptisée Los Rastrojos.
Les photos étaient apparues pour la première fois dans un tweet, ce vendredi, partagé par Wilfredo Canizares de la Fundacion Progresar (Fondation Progress), une ONG colombienne. Y figurent le "président par intérim" du Venezuela, parrainé par les États-Unis, Juán Guaido, en train de poser complaisamment avec deux fameux barons de la drogue  connus sous les sobriquets de "Le Frère" et "Le Cadet".


Pour mémoire, Juán Guaido est cette marionnette vénézuélienne insipide, sur laquelle je me suis déjà exprimé un certain nombre de fois ici même, et qui a reçu le soutien franc et massif d'un certain nombre de dirigeants étrangers bien imprudents, dont j'imagine qu'en ce moment-même, ils doivent se sentir bien à l'étroit dans leurs souliers.
Quant à notre bien discrète "grande presse", elle vient simplement nous confirmer ce que nous savions déjà : finalement, la forme la plus commode de la désinformation, c'est l'omerta : le motus et bouche cousue !  


(1) J'entends d'ici les hurlements indignés : "Mais monsieur, vous semblez faire fi de l'odieux attentat dont ce journal a été la victime !". J'entends bien, et je m'associe aux clameurs indignées suscitées par cet attentat. Il se trouve que j'ai toujours tenu Cabu pour le plus grand caricaturiste (mondial) depuis Daumier, que, par ailleurs, je me suis longtemps demandé ce que le génial Cabu faisait encore dans ce journal. Il se trouve aussi que j'ai été pétrifié par la nouvelle de cette chose que j'ai du mal à nommer. Toujours est-il que j'ai aussi lu le salutaire réquisitoire - arrivant un peu tard - délivré par  l'historique Delfeil de Ton (L'Obs) contre la dérive entamée depuis un certain temps par la direction de Charlie, dérive expliquant que j'aie cessé de lire ce torchon après les départs de Cavanna, Willem, Delfeil de Ton, Gébé... Croire que le fonds de commerce de l'islamophobie bête et méchante, initié par de mauvaises caricatures danoises, allait suffire pour tirer un mauvais journal de la mouise s'est avéré contre-productif, et ce, de la plus cruelle des manières !

Par parenthèse, voici ce qu'on peut lire sur l'attentat dans Wikipédia : "En novembre 2011, le siège du journal est endommagé par un incendie criminel. Le , un attentat perpétré par les frères Kouachi tue douze personnes, dont huit collaborateurs de l'hebdomadaire." Et là, je défie quiconque d'oser désigner formellement les auteurs de l'attentat contre Charlie Hebdo, les frères Kouachi étant, à l'époque, de simples suspects, suspects liquidés dans le cadre d'une double exécution extrajudiciaire. Suspects, c'est-à-dire présumés innocents, ce qu'ils restent depuis leur exécution, et ce, de manière définitive !


Lectures : 01 - 02 - 03 - 04- 05


jeudi 12 septembre 2019

Retour sur un anniversaire : 11 septembre... Où il est question du mystère du World Trade Center


Préambule : avant de lire ce qui va suivre, commencez donc par jeter un œil sur quelques images bien instructives : (lien).

Je sais, l'anniversaire tombait hier, 11 septembre, et le moins qu'on puisse dire est que la grande presse n'en fait plus ses choux gras : à peine un ou deux gros titres en Une, par-ci, par-là. Et toujours pas le moindre "blockbuster" hollywoodien à l'horizon. Rendez-vous compte : dix-huit ans après, un sujet aussi "vendeur" que 'Nine-Eleven' n'a toujours pas trouvé le moindre producteur de films d'action pour monter une de ces grosses machines pleines de super-héros bodybuildés !

Et que dire des télévisions ?! À une époque où l'on vous reconstitue des dinosaures, la construction des pyramides égyptiennes ou des plus grandes cathédrales, le naufrage du Titanic, l'explosion du Hindenburg, etc., en images de synthèse, toujours pas le moindre infographiste pour nous présenter quelque chose de consistant concernant les fameux "attentats terroristes" de ce fameux 11 septembre 2001.

Illustrations :

 
 
 
 
 


Par parenthèse, est-ce qu'il y a un seul aficionado de jeux vidéo qui ne connaisse pas le fameux "Flight Simulator" ?

Donc, des images de synthèse, on sait faire, et à l'heure actuelle, on devrait avoir à disposition une multitude de versions vidéo des fameux attentats du 11 septembre 2001, voire de plein d'autres événements plus ou moins controversés. La raison du malaise ne résiderait-elle pas simplement dans l'absence de consistance des théories "officielles"  émanant des autorités états-uniennes ?

Au fait, quelqu'un pourrait-il nous expliquer exactement ce qui s'est passé au-dessus du territoire américain ce 11 septembre ? Je veux dire de manière claire et argumentée ?

Je pense à ce passeport que l'on aurait retrouvé dans les décombres du World Trade Center. Un passeport... appartenant à l'un des terroristes des avions-kamikazes et... plus résistant que le béton, le métal et le verre !

Pour ma part, j'ai toujours affirmé, ici même, qu'aucun avion de ligne n'avait percuté l'immeuble du Pentagone. Un aéronef (= objet volant, par exemple un missile), sans doute ; un avion de ligne, certainement pas !

Vous imaginez l'exceptionnelle dextérité de ce pilote (amateur !) capable - sans être dirigé par la moindre tour de contrôle ! - de faire du rase-mottes pour tomber pile-poil sur un bâtiment d'à peine quelques dizaines de mètres de haut, le tout après avoir vidé les soutes du kérosène qu'elles étaient censées contenir. Parce qu'un crash d'avion, avec du kérosène plein les soutes, ça vous fait un geyser de feu sur un bon kilomètre à la ronde ! Posez-vous donc une question simple : pourquoi diable des terroristes, soucieux de faire flamber le grand Satan américain tant détesté, ont-ils pris la peine de limiter les dégâts en allant percuter le Pentagone à l'aide d'un avion vidé de presque tout son kérosène ? Ne parlons même pas d'une défense antiaérienne aveugle en au moins quatre occasions, tout en étant censée être la meilleure du monde !!!! Comme une histoire de fous, vous ne trouvez pas ?

Et l'avion de ligne, où est-il passé ? Vous avez vu des images de la carcasse ? 

Mais ce n'est pas du Pentagone que je voulais parler, mais d'une émission diffusée, précisément, dans la soirée d'hier, sur une chaîne française (W9), et qui m'a permis de voir une séquence qui m'avait échappé jusque-là : l'effondrement du fameux WTC7, immeuble détruit comme les tours jumelles, sans avoir été percuté par le moindre avion !

J'en ai tiré les captures d'écran qui suivent : séquence filmée sous des angles différents.













Un immeuble qui s'effondre, droit comme un 'I' dans sa propre empreinte, par pulvérisation successive des étages, en commençant par le bas, ça n'arrive que lors des destructions contrôlées effectuées par implosion, ainsi que vous avez pu le voir sur la vidéo affichée plus haut.

Ce qui veut dire que quelqu'un avait posé les explosifs ad hoc sur l'ensemble de la structure de l'immeuble. Questions : qui ? Quand ? Et dans quel intérêt ?

Mais j'imagine que la petite clique de crétins qui nous bassinent régulièrement avec leur "théorie du complot" a une explication plausible à nous fournir !

Parce qu'une chose est de blablater : dire "c'est du complotisme", une autre est d'argumenter sur la base de sérieuses compétences techniques, notamment en matière de résistance des matériaux (1), par exemple !  

Lectures (= à lire attentivement) : 01 - 02 - 03 - 04

Citation (cf. lien n°2 ci-dessus) : 
In less than a week came another find, two blocks away from the twin towers, in the shape of Atta's passport. We had all seen the blizzard of paper rain down from the towers, but the idea that Atta's passport had escaped from that inferno unsinged would have tested the credulity of the staunchest supporter of the FBI's crackdown on terrorism.
En moins d'une semaine survient une autre trouvaille, à deux pâtés de maisons des tours jumelles, sous la forme du passeport d'Atta. Nous avions tous vu le blizzard de la pluie de papiers tombant des tours, mais l'idée que le passeport d'Atta ait pu échapper, intact, à cet enfer, serait de nature à mettre à mal la crédulité du plus fervent partisan de la répression du FBI contre le terrorisme.
(1) Pour mémoire, s'agissant de l'effondrement des tours jumelles, portés à haute température, le verre et le métal fondent (= deviennent liquides) mais ne sont pas pulvérisés (littéralement : transformés en poussière) !



vendredi 23 août 2019

Sémantique de la désinformation #13


Épisode §13. Mirage paradigmatique

Tout le monde sait ce qu'est un mirage ?  Il s'agit généralement d'un phénomène optique généré par des conditions particulières de topographie et de luminosité.

Quant à la notion de paradigme, en linguistique, elle se définit comme l'ensemble des unités d'un certain type apparaissant dans un même contexte et qui sont de ce fait dans un rapport d'opposition (1), de substituabilité (Source). C'est ainsi qu'on peut considérer qu'une phrase simple est constituée d'une séquence paradigmatique (suite de paradigmes) formée à partir d'un déterminant (article, adjectif possessif ou démonstratif...), d'un substantif précédé ou non d'un adjectif, d'un verbe suivi ou non d'un complément (d'objet, circonstanciel, etc.).

Prenons quelques phrases simples :
- le chien aboie
- l'avion se pose sur la piste
- le chat de ma voisine miaule toute la journée

La première phrase se présente sous la forme la plus simple, faite de trois termes appartenant respectivement à trois paradigmes : déterminant, substantif, verbe.

Dans la catégorie/le paradigme des déterminants, je peux fort bien substituer un élément par un autre, ex. article indéfini, adjectif possessif ou démonstratif, ce qui nous donnerait par exemple :
- un chien aboie
- mon chien aboie
- ce chien aboie 

Dans la catégorie des verbes, je peux substituer 'aboyer' par un autre 'verbe' (et uniquement un verbe !), ex. 'grogner' et l'on voit que ma phrase simple est faite d'éléments appartenant à trois catégories distinctes et non interchangeables, tandis qu'à l'intérieur d'une même catégorie, les éléments constitutifs sont, eux, parfaitement interchangeables.
- le chien grogne
- un chien grogne
- mon chien grogne, etc.

Ce qui précède vaut pour la syntaxe. Mais on peut faire la même démonstration avec la sémantique, en considérant, par exemple, les synonymes et les antonymes. Autant on peut échanger des synonymes, autant les antonymes s'excluent mutuellement.

Ainsi, une même couleur est claire ou sombre (antonymie) ; pas les deux ; de même qu'un bruit est atténué ou strident, pas les deux. Ainsi, on peut dire d'un cheval qu'il est rapide ou véloce (synonymie), mais il ne saurait être noir et alezan, de même qu'un boxeur ne saurait être grand et petit. En clair, les paradigmes tenant à la couleur (la robe) d'un cheval ou à la taille d'un personnage sont exclusifs les uns des autres.

Je rassure tout le monde : la suite va être beaucoup plus courte. Compte tenu de ce qui précède, tout le monde comprend le sens d'un énoncé du type : 

- Démêler le vrai du faux !

En clair, le verbe "démêler" signifie, au sens propre comme au sens figuré, séparer des éléments au départ "emmêlés", dont nous savons pertinemment qu'ils ne sont pas identiques (= appartiennent à des paradigmes distincts), ici ce qui est vrai, par opposition à ce qui est faux.

Cela étant posé, essayez maintenant de comprendre la signification du slogan qui suit, apparu dans le nouvel habillage de la chaîne publique d'information France Info :

Source

 À votre avis, dans le spot publicitaire ci-dessus, "vrai" et "info" sont des synonymes ou des antonymes, autrement dit, ils appartiennent à un même paradigme ou à des paradigmes distincts ?

Si l'on reprend la formule "démêler le vrai du faux", force est d'admettre qu'éblouis par je ne sais quel mirage ou quelle illusion d'optique, les communiquants de France Info ont estimé que vrai et info étaient des antonymes.

C.Q.F.D. (Ce qu'il fallait démontrer !)

Entre nous, vous n'êtes pas mort(e)s de rire ?



(1) C'est ici que je préciserais "d'opposition ou de substituabilité", selon la catégorie (le paradigme) concerné : si les termes entrent dans un même paradigme (et ici, il est surtout question de sémantique), ils sont substituables, dans le cas contraire, ils sont (potentiellement) en opposition. Et pourquoi précisé-je qu'il est surtout question de sémantique ? Parce que si, d'un point de vue syntaxique, on peut considérer que la couleur d'un objet entre dans le paradigme "couleur", on peut naturellement dire : une rose blanche ou une rose rouge (syntaxe/substitution), le sens profond des mots nous dit que la rose est soit blanche, soit rouge (sémantique/opposition), pas les deux !


jeudi 15 août 2019

15 août : retour sur une imposture religieuse, la soi-disant Assomption de la Vierge


Cette fois, ça va être très court. Il se trouve que, fils de pasteur, j'ai appris à lire dans une Bible, ou à peu près, soit bien avant d'entrer en CP (dans ma famille, on est quelques-uns à avoir sauté des classes !).

Et, à chaque fois, c'est le même sentiment d'écoeurement, devant cette imposture absolue que les catholiques ont baptisé "Assomption de la Vierge".

Du coup, dans ce pays prétendument laïc qu'est la France, c'est porte close partout, des administrations aux principaux magasins, sauf dans les églises catholiques.

 
 

Vous aurez remarqué que nos bons catholiques y tiennent, à leur Sainte (toujours) Vierge, même après qu'elle a mis bas un enfant !

Parce que, vierge avant d'enfanter, je veux bien, mais toujours vierge après, là il va falloir qu'on m'explique !

Mais bon, le plus important (!) est ailleurs. Et là, je défie quiconque de me citer, dans les Évangiles, un passage relatif à une quelconque "Assomption de Qui-que-ce-soit", hormis le Christ.

Le fait est que ce dogme catholique autour du 15 août ne repose sur rien. En d'autres termes, on pourrait dire que l'Assomption de la Vierge est une "fake news" !

Mais j'entends d'ici l'objection : "Mais mon bon monsieur, tout fils de pasteur que vous soyez, ne nous avez-vous pas avoué, tantôt, ne plus être croyant ? Ce qui veut logiquement dire que, pour vous, c'est toute la Bible qui devrait être une énorme fake news !"

Objection recevable. Le fait est que je ne crois pas en Dieu, et, surtout, que je tiens les (trois) monothéismes comme étant les (trois) plus grosses escroqueries intellectuelles de l'histoire de l'Humanité.

Tout simplement. J'y reviendrai peut-être un de ces jours...




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